Recueil de poésie et de citations ainsi que des proverbes.
Les citations célèbres sur les vertus.
Notre citation favorite sur les vertus :
Il est cinq règles universelles qui régissent le monde. Ces règles sont : La justice qui lie le pays et ses sujets ; l'amour entre les parents et les enfants ; le lien qui unit les époux ; la subordination entre les aînés et les cadets ; ce doux accord et ces devoirs mutuels qui unissent des amis. Trois vertus conduisent à l'accomplissement de ces règles : la prudence qui fait discerner le bien du mal ; l'amour universel qui lie tous les hommes entre eux ; et le courage qui donne la force de suivre le bien, de fuir et de détester toute sorte de méchanceté. (Confucius). Si vous recherchez un proverbe ou un dicton, découvrez notre dico des proverbes sur les vertus ainsi qu'une collection des meilleurs proverbes sur être vertueux.
Généralement, nous estimons beaucoup moins, chez les autres, les vertus qui nous sont inutiles que les vices dont nous pouvons tirer profit. Bien des gens n'ont pas certains défauts et certains vices, parce qu'ils souffrent plus des désagréments qu'ils en éprouvent, qu'ils ne jouissent des avantages qu'ils en retirent.
Les vertus des femmes sont difficiles, parce que la gloire n'aide pas à les pratiquer. Vivre chez soi ; ne régler que soi et sa famille, être simple, juste et modeste, sont des vertus pénibles, parce qu'elles sont obscures : il faut avoir bien du mérite pour n'être vertueuse qu'à ses propres yeux.
Les vertus privées sont d'autant plus sublimes, qu'elles n'aspirent point à l'approbation d'autrui, mais seulement au bon témoignage de soi-même, et la conscience du juste lui tient lieu des louanges de l'univers.
Pour mériter l'affection d'autrui, il faut l'aimer, et cultiver les vertus qui répandent des charmes sur sa vie.
Joseph Droz - L'essai sur l'art d'être heureux (1806)
Les vertus de l'homme heureux sont agréables et faciles. Les vertus du malheureux sont difficiles et fâcheuses. L'homme heureux n'a qu'à s'abandonner à ses vertus, et il faut que le malheureux se sacrifie aux siennes.
La bienfaisance est la première de toutes les vertus ; mais, venant de plusieurs sources, le principe d'où elle émane, détermine seul le mérite de celui qui l'exerce.
Les vertus ont des bornes au-delà desquelles elles cessent d'être des vertus, et chacun peut aisément s'y méprendre. La prudence, qui est la vertu la plus nécessaire dans la conduite de la vie, peut dégénérer en une funeste irrésolution.