Aimer une personne sans respect, c'est n'aimer que le corps.
Il faut soigner son corps, sa santé, ses intérêts, non par égoïsme, mais par respect pour le prochain, qui ne peut ni se laver, ni se promener, ni se défendre à notre place.
Le corps n'est pas seulement le poison de l'âme, il en est le tombeau.
L'amour-propre nous cache les difformités de notre âme et de notre corps. La raison a beau chercher à nous les dévoiler, nous n'en convenons qu'au moment où ce même amour-propre les trouve contraires à ses intérêts.
La fête des corps n'a pas d'âge pour ceux qui acceptent que les caresses et les abandons puissent s'offrir et se recevoir sans s'imposer, sans exigence, sans aucune censure.
Étreindre un corps de femme, c'est aussi retenir contre soi cette joie étrange qui descend du ciel vers la mer.
La douleur du corps est le seul mal de la vie que la raison ne peut guérir ni affaiblir.
La beauté physique toute seule ne produit qu'une statue immobile, c'est l'expression morale des traits, c'est l'attitude majestueuse du corps, c'est la sévérité harmonieuse de l'ensemble qui fera une Vénus de Milo ou une Vierge de Raphaël.
Dans un vilain corps, souvent loge une belle âme.
Une vie, c'est fait avec l'avenir, comme les corps sont faits avec du vide.
Tout corps animé est un laboratoire de chimie : Deus est philosophus per quem.
Chez une femme, la figure attire, mais c'est le corps qui retient.
Un esprit sain dans un corps débile.
Que faut-il pour être heureux ? Un corps sain, une honnête aisance, un esprit éclairé.
Ne jamais oublier qu'un corps sain, sensible et calme rend le mental harmonieux, détendu, silencieux, de façon à libérer l'esprit.
La femme, c'est le corps de l'homme.
On ne fait rien dans ce monde sans avoir le diable au corps.
Il est des mystiques qui attachent un prix particulier à la conquête des âmes logées dans de beaux corps.
Au son du corps : Bonne chiasse chic de rien.
La femme est le chef d'œuvre de Dieu, surtout lorsqu'elle a le diable au corps.
On voit souvent de grands cœurs en de petits corps.
Chaque partie de nous-mêmes doit retourner à l'élément d'où elle est venue : l'esprit au fluide éthéré et le corps à la terre. Le corps, ce n'est pas un bien qui nous appartienne en propre, c'est un domicile passager que nous habitons dans notre vie. Il faut bien qu'à la fin celle qui l'a formé le reprenne.
Le corps est le domicile de l'âme ; vous l'ornez magnifiquement et vous ne laissez à votre âme que des haillons, vous souffrez qu'elle soit nue et déchirée ; mais c'est le maître et non la maison qu'il faut parer. À la bonne heure, que le lin soit pour votre corps, que la pourpre et le diadème soient pour l'âme. Elle est la souveraine ; ne la faites pas déchoir de son trône.
Si le corps se fortifie par des travaux modérés, c'est par de sages instructions que l'esprit se perfectionne.
Le temps n'accroît pas seulement nos corps, il accroît aussi nos peines.
Un beau corps avec une mauvaise âme, c'est un beau navire avec un mauvais pilote.
Le corps est un résumé du monde ; l'âme est un abrégé de l'histoire du monde.
Le corps est un logis que le temps use et gâte petit à petit.
Les pressentiments sont les ombres visibles d'un corps invisible.
L'âme a ses nudités comme le corps.
La beauté ne vient pas d'un beau corps, mais de belles actions.
Le corps c'est l'âme visible et le temple du Saint-Esprit.
Tout est affaire de décors, changer de lit changer de corps.
Le corps est le temple de l'esprit.
Un médecin, c'est quelqu'un qui verse des drogues qu'il connaît peu dans un corps qu'il connaît moins.
Le corps s'appesantit par l'oisiveté?