Toute la famille gravite autour de la femme, et la société est fondée sur la famille.
La famille est la source de laquelle découlent les vertus ou les vices qui font le bonheur ou la ruine des nations ; c'est à elle que sont remises les traditions du passé et les destinées de l'avenir.
Y-a-t-il rien de comparable aux douceurs que l'on peut goûter dans les affections de la famille ?
Qu'est-ce que la famille ? — Des haines voilées par des affections feintes.
Qu'est-ce que la famille ? — Des gens qui s'aiment en bloc et se détestent en détail.
Qu'est-ce que la famille ? — Monsieur, Madame, et Baby, sans la belle-mère.
Qu'est-ce que la famille selon vous ? — Une pépinière de bâtons de vieillesse.
Qu'est-ce que la famille selon vous ? — Ce qu'on traîne ou ce qui vous pousse.
Qu'est-ce que la famille selon vous ? — Des têtes diverses sous un même bonnet.
Qu'est-ce que la famille ? — Une assurance mutuelle.
Qu'est-ce que la famille ? — On la porte dans son cœur ou sur les épaules.
Dans les familles on ne transige jamais : on y est aimé ; on n'y est pas supporté. Transiger, c'est promettre d'aimer moins.
Étant données les conditions de ce qu'on appelle vulgairement la vie de famille, avec ses froissements et ses jalousies, avec les exigences des uns et les prétentions des autres, parfois même avec d'inévitables antipathies, la situation n'est tenable pendant longtemps que pour ceux qui ont très peu de sensibilité ou beaucoup d'esprit.
Pour les nations une alliance finit les guerres, et pour les familles souvent elle les commence.
Il faut savoir aimer les siens, sa propre famille, avant de pouvoir aimer les autres.
La devise de notre famille : Qui s'y frotte s'y pique.
L'honneur de la famille m'est plus cher que la vie.
Tenez-vous à garder votre originalité ? Vivez loin des villes ; n'ayez qu'une société, la famille ; qu’un livre, la nature ; qu’un ami, un chien !
La famille n'est qu'une horde de parents assommants qui ignorent tout à fait comment vivre et sont incapables de deviner quand ils devraient mourir.
On ne peut être mieux qu'au sein de sa famille.
Il n'y a de vrai bonheur, de vraie tranquillité, que dans le sein des familles.
Le droit au divorce est comme un coin au cœur de la famille ; sous le coup des événements, il pénètre et s'enfonce jusqu'à ce qu'il fasse tout éclater.
Triste société que celle où la famille en arrive, par crainte des charges, à bénir sa stérilité.
Il n'y a point de tableau plus charmant que celui de la famille
Sans la famille, l'homme peut être citoyen d'une république, capable de défendre son corps de toute violence ; mais il ne s'appartient plus, et brisé par l'impuissance de vivre des plus saintes et des plus chères affections de sa nature, il languit sans épanchement et sans consolation.
Le bonheur pour un couple avec un enfant se trouve dans l'existence paisible de la famille.
Cents familles à dix mille livres de rente sont plus utiles qu'une seule à un million.
L'enfant, lien du père et de la mère, achève la famille et en fait l'unité.
Rien ne ressemble plus à la famille que le clan uni et solidaire.
Il arrive un moment, dans la vie des familles, où les enfants deviennent les juges de leurs parents.
Quand les traditions de famille se perdent, l'esprit national s'anéantit.
On est de la même famille lorsqu'on s'entend bien.
À chaque famille qui s'éteint, c'est une force sociale qui se perd.
La famille est le plus doux des liens.
Le bonheur repose en famille, sous ce petit toit.
Dans une famille unie tous ont en vue l'avantage de tous, parce que tous s'aiment et que tous ont part au bien commun. Il n'est pas un de ses membres qui n'y contribue d'une manière diverse selon sa force, son intelligence, ses aptitudes particulières : l'un fait ceci, l'autre cela, mais l'action de chacun profite à tous, et l'action de tous profite à chacun.
Rendez-moi ma santé, mon temps, ma famille, mon bonheur perdu.
Dans les familles bien ordonnées chacun travaille instinctivement à la joie de tous, tous se sentent nécessaires à tous et se complètent mutuellement. Chaque don particulier est encouragé, sollicité, utilisé, applaudi. On s'aiguillonne et on se tempère par l'action réciproque. Si la société humaine pouvait réaliser le même programme, le monde serait, non plus une galère où se battent les forçats, mais un lieu de félicité.
Fais honorer le nom de famille en mémoire de ton père qui l'a porté. Fais aimer le nom de baptême en souvenir de ta mère qui l'a choisi.
Vous, jeunes hommes, auxquels Dieu a donné la santé, la force, l'intelligence, vous êtes coupables, si vous ne vous mettez pas en mesure de soutenir votre famille et de défendre votre pays.
Une goutte de sang vaut mieux que mille amis?