Les citations d'auteurs et de poètes célèbres :
Les joies de la famille sont de douces joies ; l'amour d'une femme donne des instants d'un bonheur délicieux.
Toute joie est enceinte d'une peine qui naîtra viable et vivra longtemps, non sans causer, dès les couches, la mort de sa mère.
Faut-il qu'il m'en souvienne, la joie venait toujours après la peine.
Faire rire les gens, ça leur fait oublier qu'ils sont méchants. Quand on rit, on est dans un état de joie, d'extase, on oublie les défauts.
Un cœur ne se trouve qu'en se donnant : être aimé, c'est sa joie ; aimer, c'est sa vie.
La joie est la plus grande babillarde du monde.
À défaut du vrai bonheur, nous appelons bonheurs nos joies éphémères.
Les heureux de ce monde sont les hommes qui ont quelques joies pour compenser leurs peines.
Le désir est une joie anticipée.
La joie qu'un homme éprouve en faisant du bien s'accroît de l'estime et de l'amour des autres.
La communauté de joie et de douleur entre deux personnes provoque ces doux épanchements où elles confondent leurs deux âmes en une seule.
Les filles de joie ne sont pas uniquement faites pour ne consoler que les hommes de peine.
Comme la joie est vite fatigante ! Pour rien au monde je ne voudrais être trop heureux. La joie fait au cœur l'effet d'une glace qui brûle.
La joie de faire du bien est plus douce que celle de le recevoir.
Rien n'est durable dans la vie : la douleur et la joie se succèdent, mais hélas ! surtout la joie est passagère.
Le bonheur qui fait trop de bruit importune les malheureux, il faut savoir mettre des sourdines à ses joies.
La femme est encore plus indispensable à l'homme dans ses douleurs que dans ses joies.
Les grosses joies procèdent de la fureur, elles épouvantent.
Si nous retranchions de nos joies l'excès qui les attriste, il nous en resterait assez pour appeler le sourire sur les lèvres de tous les malheureux.
La joie semble si peu naturelle qu'on est toujours disposé à suspecter d'ivresse un homme trop joyeux.
Il n'y a réellement que la douleur qui soit à nous, tout le reste, y compris nos joies, est à autrui.
Dans les sentiers de la joie, tous ne peuvent se baisser pour cueillir une fleur.
La joie est souvent mère de quantité de folies.
Il est dur de voir bouillonner partout la vie excepté dans ses veines, et voir revenir partout la sève, la joie, l'espérance, excepté dans son cœur.
S'instruire par les baisers, c'est marier l'étude et la joie.
Qui sème dans les larmes recueille dans la joie.
La joie s'envole et le souci la remplace avec le désenchantement.
On attendrit autant de cœurs par la joie que par les larmes.
À défaut d'être heureux, donner un peu de joie aux autres, c'est là tout mon horizon.
Analysez la joie du monde, et vous verrez que le plus souvent ce n'est que celle du joueur à qui la chance sourit un instant.
La joie de faire le bien est plus douce et plus touchante que la joie de le recevoir.
Il y a toujours une douleur cachée au fond de chaque joie mauvaise.
L'espérance est une espèce de joie qui, semblable à l'or en feuilles, se développe et s'étend sur tous les moments de la vie.
Dans la joie et dans la douleur, le cœur comme un vase, a sa mesure ; une fois plein, une feuille de rose ou une goutte d'absinthe le feront déborder.
La vraie amitié se mesure encore moins aux joies qu'elle nous donne qu'aux chagrins qu'elle nous évite.
Il est des joies qui s'évanouissent comme un doux parfum et qui, comme certaines étoiles qui disparaissent dans la nuit, laissent après elles une longue trace lumineuse.
Celui qui se refuse des joies se rattrape sur des satisfactions.
Les joies vives, comme les liqueurs fortes, donnent l'ivresse, mais font trouver insipide tout ce qui n'est plus elles.
La vie est comme l'herbe des champs, et la joie comme la fleur de l'herbe.
Si un malheur amène toujours son frère, la joie amène rarement sa sœur.