Le travail c'est bien une maladie, puisqu'il y a une médecine du travail.
Pour que le travail s'accomplisse avec intérêt, voire plaisir, il faut en supprimer le caractère obligatoire.
Pourquoi le travail est-il la meilleure manière de jouir de la vie ? Parce que c'est une occupation pénible (désagréable en soi et qui n'a de charmes que dans ses conséquences), et que le repos, résultant de la simple cessation d'une longue fatigue, cause un plaisir sensible, un bien-être véritable.
Le travail est le sel qui empêche le bonheur de se corrompre.
Le propre du travail est d'abréger le temps ; les jours ont des ailes de plomb pour l'homme oisif, et ils s'envolent avec la rapidité de l'aigle pour celui qui travaille.
L'ordinateur va rendre le travail humain presque inutile ; cela peut vous déplaire, vous révolter, mais c'est en route. Ce n'est pas à prendre à la légère, c'est un sujet très très sérieux, désespérément sérieux.
Le travail est ce qui avilit et dégrade l'homme, ce qui tue la vie. Toute notre énergie se dépense, non à organiser un bonheur dont on n'a même pas l'idée, mais à défendre notre droit de vivre, à disputer notre existence au travail.
Le travail est le bienfaisant antidote de l'ennui, il est son meilleur remède.
Choisis un travail qui dédommage de ce qu'il coûte par le plaisir qu'il procure.
Chacun recevra selon son travail.
Le travail, c'est mon élixir de jouvence. Je ne vieillis pas quand je travaille.
Jouir de son travail est la plus douce des jouissances.
Le motif le plus important du travail à l'école, à l'université, dans la vie, est le plaisir de travailler et d'obtenir, de ce fait, des résultats qui serviront à la communauté.
Le travail est un plaisir pour qui est sûr d'en retirer le fruit.
Par le travail tu deviendras plus cher aux hommes qui ne peuvent souffrir l'oisiveté.
Un travail opiniâtre surmonte toute sorte de difficultés.
C'est le travail qui fait la richesse.
Le travail, qui permet de respirer et de manger, il n'y en a pas pour tous !
Seul le travail peut nous consoler d'être nés.
L'homme recherche l'oisiveté mais, l'oisiveté ne pouvant être bien appréciée qu'en opposition avec le travail, il recherche le travail pour pouvoir rechercher l'oisiveté. La civilisation est une série de contradictions.
Le travail est le père de tous les vices. Seule l'oisiveté est pure. On dit que l'oisif vole, trompe, filoute. Mais il ne peut pas agir ainsi, car ce sont là des actions, et agir c'est ne pas être oisif.
L'âme humaine n'est pas faite pour une félicité d'une constante effusion ; quand elle est assez forte pour ne pas s'y épuiser, elle s'y exalte, et la passion devient jalouse, exigeante, maladive. Le travail a été donné à l'homme comme le gouvernail de sa raison même et comme un stimulant à ses affections.
Le travail le plus modeste n'est pas moins noble que le travail le plus élevé.
Un bourreau de travail finit ordinairement par tomber sous son couperet.
Sans le travail, on ne peut point pourvoir à sa subsistance.
Le travail, ça ne mène à rien, ça tue plus vite !
Sans un peu de travail, on n'a point de plaisir.
Dans sa jeunesse, le travail véritable c'est de rêver.
Mon travail c'est attendre, et ne me demandez surtout pas quoi !
Le travail est le meilleur des remèdes.
C'est le travail seul qui produit les chefs-d'œuvre.
Le travail est un plaisir, mais il ne faut pas abuser des plaisirs.
Le travail est l'aliment des âmes nobles.
Le travail est toujours le père du plaisir ; plaignons l'homme accablé du poids de son loisir.
Le jour où tous les peuples se rendront compte que le repos constitue une atteinte délibérée à la liberté du travail, le cinquième point cardinal de la production mondiale prendra enfin la place qui lui revient.
Le travail est une distraction, mais on veille à ce que la distraction ne débilite point.
Je ne connais qu'une vérité : le travail seul fait le bonheur.
Le travail, c'est la plus grande bénédiction que Dieu a donné à l'homme.
Un travail paisible est comme un doux sommeil.
Le fruit du travail est le plus doux des plaisirs.
Ce n'est pas sans travaux qu'on arrive à la gloire.
Le travail est le père de la gloire.
Le travail et l'application viennent à bout de tout.
Le vrai patron, c'est celui qui se mêle de votre travail, qui le fait avec vous, par vous.
Le travail pense, la paresse songe.
La réduction du temps de travail : pour les chômeurs, c'est déjà fait.
Un travail assidu vient à bout de tout.
Le travail abrège le temps et le rend éternel, en le retraçant à nos yeux ; il n'est perdu que pour l'oisif.
Le travail est la meilleure des régularités, et la pire des intermittences.
Le travail est la source de tous les biens?