Les citations d'auteurs et de poètes célèbres :
J'apprends à vivre, c'est rudement coton. Je crois que si je passais un examen aujourd'hui, je me ferais recaler !
Vivre à même l'éternité, c'est vivre au jour le jour.
Vivre est une aventure. Chaque être humain, dès l'enfance, dès l'école, à l'adolescence, âge des grandes aspirations et des grandes révoltes, au moment de faire des grands choix de vie, amour, famille, travail, et à tout âge et jusqu'à la fin de vie, rencontre le risque d'erreur et d'illusion, de connaissance partielle ou partiale.
Vivre s'apprend par ses propres expériences avec l'aide d'abord des parents, puis des éducateurs, mais aussi par les livres, la poésie, les rencontres. Vivre, c'est vivre en tant qu'individu affrontant les problèmes de sa vie personnelle, c'est vivre en tant que citoyen de sa nation, c'est vivre aussi dans son appartenance à l'humain.
Vivre, c'est aller vers la mort en la combattant.
Si je ne puis vivre avec vous pour vous, je vivrai pour vous sans vous.
J'ai compris que, dans ce bas monde, il faut travailler pour vivre, et non vivre pour travailler. J'essaie donc de vivre le plus possible, et de travailler le moins possible.
Pour savoir ce que c'est que le bonheur, il faut aimer, il faut vivre dans les autres.
Si vivre avec ceux qu'on aime est une douce chose, la pire de toutes c'est de vivre avec ceux qui vous sont à charge. C'est un supplice de toute minute !
Vivre c'est chaque jour rallumer son flambeau, secouer sa torpeur en sonnant dans son cuivre. Désirer, commencer quelque chose ou poursuivre ; et vivre est un devoir si ce n'est pas le beau.
Vivre, c'est lutter contre ce qui empêche de vivre.
Vous vivrez toujours bien avec certaines personnes, tant que vous n'aurez rien à leur demander.
Vivre c'est luire, c'est-à-dire se consumer et se restaurer à la fois, c'est échanger sans fin avec le dehors et recevoir pour donner, attirer pour répandre, absorber pour rayonner, c'est faire en petit ce que les soleils, ce que l'univers, ce que Dieu font en grand.
Ne vivre que pour soi, c'est être vraiment mort pour les autres.
L'agneau s'en va aussi vite que le mouton ; nul n'est si vieux qui ne puisse vivre un an, ni si jeune qui ne puisse mourir aujourd'hui.
Il ne faut pas vivre étant jeune de façon à ne pourvoir vivre étant vieux.
Hâtons-nous de vivre ! la vie est si courte, et la mort si longue.
On ne vit qu'en laissant vivre.
Rarement vivons-nous le jour même, nous remettons la vie à demain.
Vivre est nécessaire, et vivre ce n'est pas calculer, prévoir, vouloir, c'est être ce qu'on est, être dans le jour présent et ne pas chercher midi à quatorze heures, sentir, se laisser respirer, respecter son bonheur pendant qu'il passe.
Point ne sert de vivre longtemps s'il s'agit de vivre mort.
Vivre, c'est sentir, et qui sent fortement les choses, vit plus qu'un autre.
Le vulgaire ne s'aperçoit guère qu'il vit qu'au moment où il va cesser de vivre, et ce vulgaire est de toute classe sociale.
Il faut vivre pour autrui, si tu veux vivre pour toi-même.
Il n'y a pas d'amour de vivre sans désespoir de vivre.
Vivre est une torture puisque vivre sépare.
Nous vivons, non comme nous voulons, mais comme nous pouvons.
Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Tu m'aimes, je t'aime, on s'aime, c'est magnifique, c'est superbe mais ce n'est pas tout ! il faut vivre.
Vivre, ce n'est pas concevoir ce qu'il faut faire, c'est le faire ; ce n'est pas entrevoir, c'est réaliser.
Le plus important, celui qu'on exerce le moins de tous les arts, c'est l'art de vivre. Combien peu d'hommes ont ce juste sentiment des proportions qui, supprimant le détail, ne s'attache qu'aux grandes lignes. Combien peu surtout concoivent un idéal d'après lequel ils modèlent leurs actions, auquel ils conforment leurs desseins. Je ne vois partout que la caricature, ou tout au plus la grossière ébauche de ce que pourrait être la vie humaine.
Vivre pleinement, c'est balayer ses peurs et ses angoisses du revers de la main.
Il fait vivre aussi pour les autres, et non pas que pour soi-même.
Je veux vivre avec toi, reste à côté de moi, encore plus près... je veux sentir ton souffle.
Il ne sert à rien de vivre normalement : la normalité n'existe pas.
L'art de vivre, c'est la relation ; sans relation il n'est pas de vie.
Pour vivre, il faut mettre beaucoup d'eau dans son vin, et savoir avaler beaucoup de couleuvres.
À vivre longtemps, on devrait finir par savoir s'augmenter en se simplifiant.
Il ne faut pas confondre aimer pour vivre avec vivre pour aimer.
Qui vit bien vit longtemps.