Les citations, pensées et mots de célébrités :
La plus haute unité est celle qui se crée entre des êtres capables non seulement de se reconnaître différents, mais de s'aimer dans leur différence même.
La poignée d'êtres que j'aime, que j'aime farouchement, sont ma femme et mes gosses, et quelques amis. Et ça c'est mon îlot, c'est mon île, je suis bien... C'est eux qui me regonflent, c'est avec eux que je respire... pas le vent du large mais celui de la Suisse.
Il y a des êtres qui vous causent un choc. Des êtres qui forcent le respect et l'admiration. Des êtres qui vous donnent une sorte de prolongement humain.
C'est curieux comme certains êtres sont délibérément hargneux. À peine au monde, ils sont prêts à mordre, à meurtrir, n'importe qui, n'importe quand, comme ça, d'instinct. Ils se sentent constamment agressés, alors leurs ongles deviennent des griffes, leur salive de la bile, leur voix de l'acide et leurs yeux des fers à marquer le bétail.
Deux êtres qui s'aiment, seuls, isolés du monde, c'est très beau.
L'important, c'est d'aimer, de se sentir vivre et de donner la vie à d'autres êtres.
Un être qui a compté compte toujours.
Il y a des êtres très purs qui meurent comme un cristal se brise.
Il arrive que deux êtres se comprennent, qu'ils s'aiment, exception qui ressemble au miracle.
Il y a des êtres qu'avant d'avoir vus on a déjà oubliés.
Quand il y a de l'amour entre deux êtres, les différences cessent d'exister.
Consacre-toi à un être, de telle sorte que tu ne vives, ne penses que pour son bonheur.
Il existe pour tout être un être complémentaire.
On ne peut pas mentir aux êtres qui vous plaisent !
C'est l'amour et la faculté d'aimer qui distinguent entre eux les êtres humains.
À peine conçu, un être est un mort en puissance. On nous appelle des « êtres » alors que nous ne sommes rien ! C'est la plus vaste vantardise que ces animaux à deux pattes ont trouvée !
Heureux les êtres qui peuvent vivre l'un dans l'autre ! Ils s'aiment et n'aiment rien qu'en eux. Qu'une femme livre toute son âme à un homme, elle aimera les enfants qu'il lui donnera, mais ne les aimera qu'en lui. Chaque rayon d'amour qui descend sur eux part du seul foyer qui les contient tous. L'amour se subdivise en se partageant, mais chaque don que l'affection maternelle fait à l'enfant est pris dans le riche trésor du père.
Pauvre être, frotté aux barbelés de l'existence !
Il y a en chacun de nous deux ou trois êtres qui cheminent sans se faire de confidences.
La haine entre deux êtres : Cela finit toujours par un enterrement !
Il est des êtres qu'il faut traiter comme l'oiseau de passage : te voilà, bonjour ; tu t'en vas, bonsoir ; tu reviens, tant mieux !
Quand l'homme veut se rendre compte des choses et des êtres qui l'entourent, il réfléchit ; quand il aspire à leur possession, il désire ; quand il veut s'identifier à eux, il aime.
Quand deux êtres convolent en justes noces pour voler vers l'amour conjugal, le ministre du culte qu'ils ont embrassé à effet de bénir leur union convolante est désigné par le ministère de l'air.
Le plus solide et le plus durable trait d'union entre les êtres, c'est la barrière.
Chaque année de plus à vivre nous expose à perdre les êtres les plus chers.
Si l'homme n'est pas éternel par sa substance, immortel dans sa personnalité, infini dans sa destinée, quand il l'est dans ses désirs, alors, il n'y a ni Être des êtres, ni bonté toute puissante, ni amour infini, ni justice éternelle : Dieu n'existe pas.
C'est faire injure à l'être que de se croire un être d'exception.
Certains êtres semblent avoir tracé un cercle autour d'eux ; en quelque lieu qu'ils se transportent, l'étendue de ce cercle est leur univers, et ils rapportent tout à leur petite personne, qui en est le point central.
Il est peu d'hommes qui ne se croient des êtres très importants.
Les êtres ne sont que des passages d'une forme à l'autre pour arriver de la matière à l'intelligence.
Il est des êtres pour lesquels l'amour est un dieu, mais un dieu en plusieurs personnes.
Il y a des êtres en qui l'on peut avoir une foi entière qui donnent tout sans jamais rien demander.
Hélas ! il y a des êtres d'une inconcevable abjection.
Il existe en ce monde des êtres privilégiés, comme certains climats où règne un éternel printemps ; et leur heureuse vieillesse ressemble aux îles fortunées, dont les arbres, toujours beaux et verts, portent en tout temps, à la fois, des feuilles, des fleurs et des fruits.
Chaque être doit vivre à sa manière et se faire sa destinée selon sa nature.
Deux êtres qui s'aiment, assis à côté l'un de l'autre, sont encore deux êtres solitaires.
Les êtres les plus proches sont nos meilleurs ennemis, et chacun offre souvent une vue imprenable sur l'autre.
Il y a ainsi des êtres d'essence supérieure qui ne peuvent vivre qu'en beauté.
Les êtres humains ne sont pas tous dignes d'être aimés.
L'être insatiable mûrit lentement, ni joie ni souffrance ne le comblent jamais.
Des êtres tout semblables les uns aux autres feraient un monde mort et une société inféconde.
L'absurde est le caractère de la vie ; les êtres réels sont des contre-sens en action, des paralogismes animés et ambulants. L'accord avec soi-même serait la paix, le repos et peut-être l'immobilité.
Un Être poli est un Être respecté dans la vie.
Tous les êtres vulgaires de cœur et grossiers de sens prennent la passion pour de l'amour.
Tout être, quel qu'il soit, ne saurait agir et vivre que pour lui.
Dieu ne juge pas : par lui les êtres se jugent.
Le jour où deux êtres abdiquent et se regardent dans le blanc de l'oeil, l'amour meurt.
Les êtres nous deviennent supportables dès que nous sommes sûrs de pouvoir les quitter.
Le jour, c'est la vie des êtres, mais la nuit, c'est la vie des choses.