Les citations d'auteurs et de poètes célèbres :
Le monde n'aime pas qu'on le dérange dans ses opinions.
Ce pauvre monde est ainsi fait qu'il est bien difficile d'avaler un verre de vin où il n'y ait pas une mouche. Quand le vin est bon et que la mouche n'est pas trop grosse, il faut boire.
Le monde devait être un monde équitable qui saurait apprécier tous et chacun.
Le monde est esclave de la paresse et de son plaisir. Il n'est pas méchant, haïr est une fatigue ; il n'est pas bon, la bonté est un effort.
Le monde devient incompréhensible quand on le regarde uniquement comme un endroit où l'on touche des dividendes.
Le monde des hommes est mal fait ! oui, c'est une triste et curieuse chose que la vie des âmes ici-bas. Prenez un oiseau, attachez-lui les ailes de façon qu'il ne puisse voler, mettez-lui un bâillon dans le gosier pour qu'il ne puisse plus chanter, un bandeau sur les yeux pour qu'il ne voie plus. Puis enfermez-le dans une cage de bois très étroite en compagnie d'une énorme quantité de pauvres oiseaux arrangés de la même manière. Puis regardez les mouvements maladroits, lourds, les embarras, les encombrements, les gênes, les souffrances de cette foule de prisonniers sans voix, sans vue et sans vol. Vous aurez à peu près, je crois, le spectacle de la vie des âmes dans la société humaine.
La beauté du monde, qui doit si vite périr, a deux côtés, l'un de rire, l'autre d'angoisse, coupant le cœur en deux.
Avec du mouvement et de la matière, je ferai le monde.
Faisons peu de cas de ce monde, sinon en tant qu'il nous sert de planche pour passer à l'autre meilleur.
Le monde est aveugle ; mettons-nous peu en peine de ce que le monde pense ; méprisons son estime et son mépris, et laissons-le dire ce qu'il voudra, en bien ou en mal.
Dans ce monde sans limite, l'intérieur est toujours l'extérieur de quelque chose.
Je suis assis dans le grand fauteuil du Monde.
Le monde attire le monde.
Chaque homme porte en sa cervelle une parcelle du monde. Le monde, c'est le rêve total des hommes. Chaque fois que l'un d'eux meurt, il y a une fissure ; quand c'est un génie qui s'en va, il y a un trou béant. De là, ce vide qu'on éprouve quand un de ces hommes meurt.
Les mondes ont des trépas extrêmement discrets, ils filent dans le néant sur la pointe des pieds ; il faut attendre des années avant de s'apercevoir qu'un monde nouveau a pris leur place.
Le monde est un théâtre où les passions jouent chacune leur rôle ; si les spectateurs sont peu nombreux, c'est peut-être parce que le spectacle est gratis.
Le monde est soumis à la volonté farouche d'une petite faction de terribles.
Ce monde n'est qu'une immense entreprise à se foutre du monde.
Le monde n'a pas d'âge : L'humanité se déplace, simplement.
Le monde est une énorme farce coupée de répits illusoires, de visions chimériques, d'espoirs infondés.
Le monde, il faut l'inventer soi-même, sinon, il est partout pareil.
Dieu a fait le monde en cinq jours. Le sixième, il a fait le con.
Le beau monde cultive les apparences et il a bien raison. Elles lui servent de vertu.
Je ne suis pas fait pour ce monde, j'espère que je serai fait pour l'autre.
Ce monde est une énigme : heureux qui la devine !
il faut s'adapter au monde tel qu'il est.
Le monde nous dérobe à nous-mêmes, et la solitude nous y rend.
Le monde m'engourdit et le mouvement me paralyse, au contraire de bien des femmes auxquelles la vie agitée donne des idées, ou du moins des paroles.
Trois choses mènent le monde : la loi, la religion et la bienfaisance.
Dans le monde être de bonne compagnie est bien plus important que d'être irréprochable.
Le monde est plein de fugitifs d'eux-mêmes.
Le monde du milieu, c'est, en quelque sorte, une espèce d'entre deux mondes.
Le racisme, c'est la leucémie du monde.
Le tiers monde, c'est le tiers provisionnel du monde entier.
La pluralité des mondes est à l'universel ce que le singulier est au plural mondial.
La pluralité des mondes n'exclut pas l'universalité du monde tout court.
Si le monde d'hier n'avait pas existé, le monde d'aujourd'hui ne pourrait pas envisager celui de demain.
Le monde est ma prison si je suis loin de ce que j'aime.
La scène changeante du monde ne nous offre, dans tous les temps, que les mêmes actions des hommes répétées seulement par de nouveaux acteurs.
Le monde n'est qu'une révolution continuelle des choses : chaque jour on voit éclore de nouveaux projets qui anéantissent les espérances des uns et font revivre celles des autres ; tel qui se trouvait dans la foule occupe bientôt le premier rang, celui-ci est aussitôt remplacé par un autre. C'est ainsi que la fortune fait passer en revue sur le théâtre du monde une infinité d'hommes qu'elle rend les jouets de ses caprices, et qu'elle se plaît quelquefois autant à persécuter, qu'elle les a comblés autrefois de ses faveurs.