Les 39 pensées et citations sur fléau :
La vertu sans talent peut être utile ; les talents sans vertu ne peuvent être qu'un fléau.
L'alcool, ce fléau, est l'un des grands responsables de cette dégénérescence dont tant d'enfants sont les victimes. Sur ce sujet, si chacun de nous s'examinait, il trouverait peut-être des raisons de se frapper la poitrine, car il ne suffit pas de n'être pas alcoolique soi-même.
Le génie rend la passion vivifiante et profitable : la passion sans génie est un fléau.
Notre époque a inventé le pire fléau de l'enfance : l'adoration perpétuelle de l'enfant.
La propagation de la laideur est-elle un moindre fléau que la propagation de la tuberculose ? Depuis trente ans on a trouvé de puissantes drogues contre celle-ci. On n'en a pas trouvé contre la laideur qui s'abat inexorablement sur nous. A présent, il meurt moins de tuberculeux chaque année que de paysages. Les promoteurs et les architectes sont des microbes autrement nocifs que le vieux bacille de Koch.
La paix est un bienfait et la guerre un fléau ! personne ne doute de cette vérité. Mais si la guerre est souvent une nécessité lorsqu'on a une grande cause à défendre, c'est au contraire un crime de la faire par caprice, sans avoir un grand résultat pour but, un immense avantage pour raison.
Le plus grand fléau de notre pauvre espèce, ce sont les idées confuses. Folles ambitions, sottes vanités, tout vient de là. Quiconque voit clair découvre que le bonheur est de vivre au fond d'une retraite avec sa bien-aimée.
Quel fléau qu'une fille coquette et dépensière ! Tâchez d'en choisir une qui ne soit ni dépensière ni coquette !
Un vaccin est-il un bienfait venant de Dieu, qui nous préserve du fléau d’un virus ?
Il n'est pas de fléau plus pernicieux que l'imprudence.
L'argent, ah ! maudite engeance, fléau des humains !
Le ridicule est le fléau des gens du monde.
On croit difficilement aux fléaux lorsqu'ils vous tombent sur la tête.
Il y a au monde trois fléaux : le feu, les eaux, et la femme.
Les contestations d'intérêt sont le fléau dévorant de tant de familles.
L'alcoolisme est le fléau du monde où l'on compte des millions de soiffards, où l'alcool tue chaque année des millions de gens et où plusieurs enfants naissent tarés.
La confusion, les hésitations, les tâtonnements, presque toujours laissent au fléau le temps de prendre des proportions qui le rendent invincible.
Une bonne fille ne demande qu'à bien faire, elle a toutes les bonnes intentions. Mais elle ignore que les bonnes intentions sont des fléaux ou des pièges ; un jour, dans la meilleure pensée du monde, elle commet une petite imprudence, et il se trouve que cette imprudence la conduit aux abîmes.
Fléau de la vertu, toujours la fausse honte est à lui faire obstacle ingénieuse et prompte.
La corruption dans un grand esprit et la conscience dans un esprit étroit sont les deux plus terribles fléaux que la Providence puisse envoyer à un peuple.
Justice : Quand on ne surveille pas ses plateaux, le fléau l'emporte sur la balance. Est encore plus difficile à rendre depuis que la protestation solennelle d'innocence est devenue le système de défense préféré des coupables.
L'argent est un fléau dans les mains d'un jeune homme de famille riche, c'est un poison à gâter tous ses jours. L'indispensable et saint travail — comment le saurait-on à vingt ans ? — À un but plus élevé que celui de gagner le pain du corps : c'est par lui et par lui seul qu'on peut gagner le pain de l'esprit, non moins nécessaire que l'autre.
La fourmi est comme l'homme : seule elle est inoffensive, en petit nombre elle travaille, en grand nombre c'est un fléau.
Le grand nombre est malheureux par les préjugés, un des plus grands fléaux affligeant l'espèce humaine.
L'hypocrisie de l'amour est un des fléaux de la société.
La politique, un fléau ! Mais, qu'y faire ? La moitié du pays en vit aux dépens de l'autre !
Un des fléaux de la société sont ces caractères bourrus, qui ne vivent que pour eux, ne veulent jamais ce que les autres veulent, et se font même une étude secrète de les contrecarrer.
L'odieux égoïste est du bonheur social le fléau le plus triste.
Les personnes qui se plaisent dans la contradiction sont le fléau de la société : elles sèment la discorde partout où elles portent leurs pas, et trouvent toujours quelque chose à redire chez les autres ; elles se choquent de tout ; tout prend, à leurs yeux, les plus noires couleurs. Elles ont l'art funeste de donner du ridicule, ou un mauvais sens, à ce qui paraît le plus naturel ou le moins équivoque : elles s'occupent enfin toujours du mal, et jamais du bien d'autrui. En vain chercheriez-vous à leur plaire, vous n'y réussiriez pas ; l'esprit d'inquiétude et d'opposition qui les anime leur fera interpréter en mal jusqu'au bien que vous leur ferez.
L'argent est le plus grand fléau de l'histoire humaine.
La femme est tour à tour la joie, et le fléau de la vie des hommes.
Le plus grand fléau est la richesse unie à l'ignorance.
Celui qui, par hasard, a une honnête femme, vit heureux avec un fléau.
L'égoïsme, fils de l'erreur et d'un mauvais penchant, est le plus grand de tous les fléaux, puisqu'il est le père de l'injustice et de presque tous les autres maux qui accablent l'espèce humaine.
Le plus terrible des fléaux politiques est la corruption des tribunaux.
Les conquérants, entrepreneurs de batailles et détrousseurs de nations, sont d'exécrables fléaux.
Jamais un ami ne peut être un fléau pour son ami.
Les sots et les idiots sont les fléaux de la société.
Entre ces deux fléaux le désordre et l'organisation, le monde essaie de vivre.