Les 49 pensées et citations sur rompre. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur rompre :
Un vase d'or se rompt avec peine, et se raccommode aisément.
Lorsqu'on a sujet de se plaindre d'un ami, il faut s'en détacher peu-à-peu , et dénouer plutôt que rompre les liens de l'amitié.
Donnez votre confiance aux gens de bien, et rompez tout commerce avec les hommes corrompus.
Un mariage d'amour n'est qu'une liaison officielle ayant sur les liaisons clandestines l'inconvénient d'être plus difficile à rompre.
Jean de La Fontaine a tort : le roseau qui plie et ne rompt pas, n'en a pas moins tout à redouter de l'orage qui, en brisant les chênes, peut l'écraser sous leur chute.
Un seul tort peut détruire une longue amitié : briser un anneau, c'est rompre une chaîne.
L'orgueil est un ressort, ne vaut-il pas mieux tenter de l'utiliser que de le rompre ?
Soyez aussi difficile à former des liens qu'attentifs à ne pas les rompre ; il est aussi honteux de changer sans cesse d'amis que de n'en pas avoir.
Quand une liaison bat de l'aile, le cocu éventuel doit prendre les devants, rompre avant qu'on lui donne son congé, afin de ne point être ridicule aux yeux de l'opinion, car c'est très différent de quitter quelqu'un ou d'être quitté par lui. En outre, cela lui donne les coudées franches pour se lancer dans un nouveau béguin.
Dans une liaison, celui des deux amants qui rompt le premier est cruel mais, s'il ne rompt pas, combien il est plus cruel encore !
Il est des nœuds sacrés qui ne se rompent pas.
Il y a des gens qui dénouent et des gens qui rompent.
Je ne puis garder le silence quand une conviction profonde me presse de le rompre.
Si l'on m'oblige absolument à rompre le silence, bien des gens pourront s'en repentir.
On ne saurait trop veiller sur son cœur, car il est plus facile de ne pas aimer que de n'aimer plus et de rompre les nœuds où Vénus nous enlaça.
Les règles du devoir ont un nœud réciproque : qui les rompt le premier, consent qu'on les révoque.
On rompt qu'en se disant un de ces adieux éternels sur lesquels on ne revient pas.
Il vaut mieux rompre une liaison qui n'offre plus que des chagrins, et qui nous empoisonne la vie.
Le mariage qui est très rarement fondé sur l'amour tend, à l'issue de la vie, à n'être plus qu'un lien formel que l'on ferait bien de rompre.
L'infidélité rompt l'amour, et les petites fautes l'usent.
Un insensé peut rompre les nœuds les plus doux de la vie, mais rien ne le dispense de la droiture et de la bonne foi. La rupture n'éteint pas l'obligation de ne pas divulguer les secrets confiés.
Si aimer est rompre avec soi, c'est presque la réconciliation que d'être payé de retour.
Toute amitié rompue d'un côté l'est des deux.
Une fois que l'on a rompu la barrière de l'honneur et de la bonne foi, cette perte est irréparable.
Dans les liaisons de société et d'amitié, on doit quelquefois dénouer, mais il ne faut jamais rompre. Le mieux serait de tout excuser sincèrement, de tolérer sans humeur les défauts des autres et leurs torts, et de pardonner sans effort tout ce qui ne blesse ni la probité ni l'honneur. Avec cette conduite, combien on s'épargnerait de peines, de contrariétés, d'émotions désagréables, de perte de temps et d'ennui ! Mais il n'est pas si facile qu'on le croit de pardonner certains torts sans blesser l'amour-propre ; c'est un art qui n'appartient qu'aux bons cœurs ; eux seuls ont assez de délicatesse pour que leur indulgence ne puisse jamais être attribuée à l'insouciance et à la froideur ; eux seuls savent être généreux sans avoir l'air de s'en enorgueillir.
On se trouve rarement dans le cas de rompre, si on prend pour règle, de ne choisir que des amis vertueux et gens de bien, et si on a soin de les éprouver avant que de nous lier avec eux. Ne donnez jamais votre amitié, qu'après vous être assuré qu'on en est digne, et ne vous empressez pas à mettre au nombre de vos amis ceux dont vous n'aurez pas connu auparavant, à des marques certaines, l'attachement sincère et la fidélité. Il faut les éprouver dans les commencements, c'est le faire trop tard que d'attendre qu'on soit devenu ami.
Ce qui doit surtout nous faire rompre nos liaisons amicales, c'est lorsqu'elles peuvent nous devenir funestes ou dangereuses, lorsque la conscience ne permet point de les continuer. On doit être bon ami, mais on doit être encore plus ami de la vertu.
Il n'y a que les manquements trop atroces ou absolument opposés à l'amitié qui permettent légitimement de la rompre. L'homme qui reproche à son ami quelque déshonneur de sa famille, ou quelque service qu'il lui a rendu, qui lui témoigne du mépris et de la fierté, mérite de le perdre.
Ne rompez pas aisément avec vos amis. Il n'y a point d'ami qui ne puisse manquer à notre égard, mais il n'y a guère de manquements qu'on ne doive excuser. II faut se passer l'un à l'autre bien des choses, si l'on veut que l'amitié subsiste. Lorsqu'on a donné son amitié à quelqu'un, on s'est obligé non seulement à sentir ses peines, mais à souffrir ses fautes, et ce serait vouloir bien peu souffrir pour lui que de ne vouloir rien souffrir de lui.
Les amitiés rompues sont trop courtes pour pouvoir être renouées.