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Les chagrins partagés deviennent moins affreux : Les soins de l'amitié, la tendre confiance, s'ils ne chassent pas la souffrance, versent quelques douceurs au cœur des malheureux.
Seules les personnes superficielles doivent travailler des années afin de se débarrasser d'une émotion. Un homme qui est maître de lui-même peut mettre fin à un chagrin aussi facilement qu'il peut s'inventer un plaisir.
La joie de l'homme ne se laisse pas définir, mais le chagrin a bien vite un nom, car il se traduit tout de suite par un mal physique.
Les déboires, les chagrins, les contrariétés, les maladies, les dépouillements sont pour tout le monde. Les plus heureux ont leurs soucis, leurs points noirs, qu'ils taisent ou qu'on oublie.
Il y a des personnes qui éprouvent le besoin d'imposer leurs chagrins aux autres. Au lieu de les dissimuler, ils les étalent, ils les racontent, il les répandent sur tout ce qui les entoure, il faut que chacun y participe et en porte le poids.
Jouis de ce que le chagrin te laisse ; si les douleurs sont passées, les douleurs sont douces.
Le chagrin est pour tous un commun héritage : Triste, on est plus aimé, et l'on aime davantage, car le cœur, en aimant, cherche à se ranimer, et qui n'a point souffert n'est point digne d'aimer.
Le chagrin, tant qu'on vit, peut trouver un écueil. Tout remède est perdu lorsqu'on entre au cercueil.
Notre mère nous donne nos premières vertus, notre maîtresse nous montre le chemin de l'honneur, notre épouse calme nos souffrances et nous console de nos chagrins.
Si ton chagrin est trop lourd pour toi, donne-m'en bien vite la moitié.
Le chagrin a des injustices à lui, comme la bouche amère.
O chagrin ! si tu peux t'épancher franchement, ne te plains pas, tu as encore la partie belle et le sort t'est généreux.
Rien n'est plus à nous que notre chagrin.
Il faut parler juste au chagrin ou ne pas s'en mêler ! Que de gens écorchent la plaie en voulant la panser !
Nos chagrins et nos déceptions sont, au fond, notre œuvre ; le fait vient du dehors, l'effet vient de nous. Chaque vie se construit son tombeau, chacune de nos actions engendre un démon ou un ange chargé de la punir ou de la récompenser.
Le chagrin a ses amorces, ses gluaux, ses pièges où il nous enlace, et il y a dans le malheureux comme un besoin d'épuiser toute sa souffrance, d'en connaître le fond.
On ne saurait croire ce qu'on se donne de peine pour se procurer des chagrins qui ne manqueraient guère de venir eux-mêmes, et qu'on ne court pas grand risque de perdre.
Il y a des personnes qui se plaisent à tourmenter leur vie et qui se consolent des chagrins qu'elles se causent à elles-mêmes par celui qu'elles donnent aux autres.
Chagrin : Peine reliée pleine peau. Exemple : lorsque orphelin de moi-même, je me quitterai pour toujours, je serai inconsolable.
Qu'on me laisse noyer mes chagrins dans mon verre sans y noyer aussi mes espérances !
Savez-vous, vous qui prétendez tout savoir, quel est le meilleur moyen de se consoler d'un chagrin ? C'est d'en avoir un autre.
À la pesanteur du chagrin s'ajoute souvent une autre pesanteur, c'est l'indifférence des choses qui, de partout, tombe lourdement sur lui.
C'est une consolation de mettre tous ses chagrins dans le même sac, cela simplifie le malheur.
Un beau chagrin dans une belle prairie, c'est la moitié du bonheur.
Le chagrin a son ivresse aussi bien que la joie.
On se fait parfois un dieu de son chagrin et on s'indigne d'oser rire.
C'est l'ordinaire que nos chagrins s'enchaînent les uns aux autres aussi étroitement que les grains d'un chapelet bien enfilé.
Les chagrins, tout le monde en a, et ce qui peut les faire oublier ce n'est pas le vin qu'on boit, c'est le bonheur qu'on donne aux autres.
Un chagrin qu'on épanche devient moins violent.
Le chagrin a toujours sa cause en dehors de celui qui l'éprouve.