Nombreuses sont les brebis qui veulent se faire passer pour des loups.
Le loup prend la brebis qui lui est destinée.
Patience, mon ami, disait le bon loup à un âne qu'il dévorait.
La jument et le loup entrèrent en litige ; il n'en restait qu'une queue et une crinière.
Le loup n'effraie pas le troupeau réuni, et le courage nous protège mieux que les murs et les tours.
Le loup mange l'âne du commun.
Qui laisse sa brebis à l'abandon, le loup la dévore.
Pendant que le loup hésite, l'escargot lui grimpe sur la queue.
Entre le berger et le loup, l'agneau dépérit.
Un loup n'engendre point de moutons.
Le loup aime le temps brumeux, il part en chasse au crépuscule.
Ne nous faisons pas plus bête que le loup qui nous mange.
Le loup enlève des brebis, lors-même qu'il est à l'article de la mort.
Les brebis, sans berger, sont à la merci des loups.
La chouette ne loue pas la lumière, pas plus que le loup le jour.
Fais-toi bête, et tu verras que le loup te mangera.
La mort des loups est le salut des brebis.
Ce qui doit devenir loup ne deviendra pas renard.
On ne rebouche pas le trou, que dans un parc a fait le loup.
Le cheval sur ses gardes ne sera pas mangé du loup.
Enseigne au loup le pater-noster, il répétera quand même : Agneau, agneau !
Le loup qui se fait vieux ne change pas de poil.
Un loup ne mange point un autre loup.
Pour ranger les loups, il faut les marier.
Pasteur qui trouve le loup beau n'aime pas beaucoup son troupeau.
Où le loup trouve un agneau, il y en cherche un nouveau.
Si tu veux t'entretenir avec le loup, place ton fusil et ton chien auprès.
Les moutons fussent-ils tous comptés, le loup les enlève tout de même.
Mieux vaut tuer le loup qu'être tué par le loup.
Quand le loup vieillit, les chiens et les brebis se moquent de lui.
Hurle avec les loups quand les circonstances t'y forceront.
Le loup qui vieillit devient la risée des loups.
Le louveteau devient un loup, qu'il soit élevé ou non parmi les hommes.
Le fils du loup ne deviendra jamais un agneau.
L'âme d'un loup se dissimule souvent sous la laine d'un mouton.
Les loups étant morts, les renards les remplaçaient.
Il y a plus de bien que de mal, plus de brebis que de loups.
Le loup ne se soucie pas du nombre des brebis.
Qui se fait brebis le loup le mange.
La brebis sans berger sera mangée par les renards et les loups.
Où le loup a ses petits, il ne fait pas de dégâts.
Le loup affamé marche à l'aveuglette.
Le loup cherche le brouillard.
A chair de loup, dents de chien.
Lorsque le loup devient vieux, les corbeaux le chevauchent.
Tôt sait le loup ce que mauvaise tête pense.
Pour terrasser le loup il faut un chien semblable au loup.
La faim pousse le loup dans le village.
Quand tu vois le loup, ne cherche pas ses coups de patte.
Ferme l'étable, le loup a mangé les brebis.
Le loup ne dit pas de mal d'un autre loup.
Un loup n'engendre pas des brebis.
Berger qui vante le loup n'aime pas les moutons.
Mort du loup, santé de la brebis.
Tandis que le loup muse, la brebis entre au bois.
Celui qui se fait mouton sera mordu par le loup.
Si à peu près n'existait pas, une vieille femme aurait mordu un loup.
Le loup ne devient point berger.
Si tu veux t'entretenir avec le loup, n'oublies pas ton fusil.
Le loup sans cesse en chasse à la fin se fait prendre.
On crie toujours le loup plus grand qu'il n'est.