On ne bat pas une femme même avec une fleur !disait Robert Sabatier. Un poète, critique et dramatique français, François-Benoît Hoffmann, a écrit :
Quand les hommes qui devraient être amis se battent et se détruisent, leurs femmes qui devraient être ennemies s'unissent et vivent en bonne intelligence.
Quand on fouette les autres, il ne faut jamais leur présenter ses fesses.
Quand les hommes qui devraient être amis se battent et se détruisent, leurs femmes qui devraient être ennemies s'unissent et vivent en bonne intelligence.
Mal battu longuement pleure, bien battu change en peu d'heure.
Le battu peut payer l'amende, mais il ne lui sied pas de prêcher l'oubli des injures.
Ce qui a trait au corps n'est jamais important : les grandes choses de ce monde sont faites par des hommes qui ont oublié leur viande et qui se battent avec leur esprit.
Individu ou peuple, l'affaire est de se battre et de n'être point battu.
On ne bat pas une femme même avec une fleur !
Écrire, c'est se battre ; travailler, c'est se battre ; mettre des enfants au monde, les éduquer, c'est se battre ; chanter, labourer, c'est se battre ; se reposer, c'est se battre ; au fond, vivre c'est se battre.
On se méprise à coups de compliments : après tout, pourquoi se battre à coups de hache ?
Quand il n'y a plus d'avoine dans la mangeoire, les chevaux se battent.
À force de battre son chien quand il aboie après les malfaiteurs, il finit par vous mordre.
On ne doit jamais battre une femme, même avec une fleur !
Quand vous froissez un cœur qui ne bat que pour vous, vos larmes ont bientôt désarmé son courroux.
Il est aussi agréable pour une femme de gouverner à la baguette un homme qui lui a fait peur que de posséder un gros chien qui aboie aux passants et qu'elle pourrait battre comme plâtre sans qu'il découvrît seulement le bout de ses crocs.
Quand on tient à se battre, on n'aime pas à vaincre sans coup férir.
Ce qui fait que le cœur bat trop vite fait qu'il battra moins longtemps.
Tout cœur qui bat trop fort s'expose à des représailles.
Les hommes sont tous frères, et les frères se battent.
On dit qu'il ne faut jamais battre une femme, même avec un mouchoir. Alors, avec quoi, s'il vous plaît ?
Il faut battre le fer quand il est chaud et la crème quand elle est fraîche.
Un homme n'est plus fourbe, fripon, calomniateur, quand il a su se battre.
Il faut souvent se battre contre les aléas de la vie, et ne jamais baisser les bras.
Condamné à se battre toujours, l'homme se soutient qu'à force de vigilance et de courage.
Les types qui battent leur femme, c'est toujours des alcooliques.
Pour réussir dans la vie, il faut retrousser ses manches, et se battre.
Chaque battement de mon coeur est un je t'aime que je t'envoie.
Un médecin célèbre me dit un jour, en parlant sans vergogne le langage de sa profession : « Je vois que dans la plupart des cas on bat les enfants qu'il faudrait seulement purger. » Je voudrais que ces mots devinssent l'épigraphe d'un traité d'hygiène pédagogique.
Hélas ! il s'est arrêté, ce cœur qui battait si vite.
Le coeur d'un homme bat moins vite si son battement n'a pas d'écho dans une autre poitrine.
Fleur : On ne bat pas une fleur, même avec une femme.
Les phrases sont fortes, mais les mots sont encore plus forts, et par moments, le silence les bat tous les deux.
Pour se battre, il faut être deux.
Les battus payeront l'amende.
Le frère, le premier homme avec lequel on se bat. Plus tard, c'est avec son ami.
Le voleur qui bat les grandes routes est moins criminel que l'hypocrite.
Dans la vie, il faut se battre pour avoir quelque chose.
Battre sa femme et ses enfants est commettre un sacrilège.
D'abord battons le blé, et puis brûlons la paille.
L'on doit battre de léger ceux que l'on veut bien corriger.
Se battre sans savoir pourquoi l'on se bat est le fait d'un imbécile.
Le médecin se bat pour une théorie ; l'homme lutte pour sa vie.
Le plus beau sentiment qui fasse battre le cœur est celui qui n'a pas de lendemain.
Plus lâche qu'un homme qui refuse de se battre... c'est un homme qui s'attaque à une femme.
On vit dans un monde où il faut se battre.
La logique n'est qu'une escrime. À quoi bon l'apprendre quand on ne veut pas se battre ?
Il faut être bon avec les femmes, ne pas les battre, leur donner des douceurs.
Le plus souvent on ne se bat pas pour se battre, mais pour s'être battu.
Quand un homme bat sa femme, il se garde de l'empoisonner, il y perdrait trop !
En des fureurs que les plaintes aigrissent, des femmes battent leurs enfants en l'époux qu'elles haïssent.
Le plus sûr pour n'être point battu, c'est de n'avoir pas à combattre.
On ne sépare pas deux bœufs qui se battent.
J'aime mieux me battre avec n'importe qui qu'avec la faim.
Du bâton qu'on tient on est souvent battu?