Les 54 pensées et citations sur bataille :
Quand on doit livrer une nouvelle bataille, abordons de front l'ennemi !
Quand une mère a supporté toutes les angoisses, toutes les terreurs, toutes les peines, on tue ses fils sur le champ de bataille.
L'homme se réhabilite par le champ de bataille, et la femme par la maternité.
La vie est une bataille à gagner ; il importe d'ouvrir le feu de bonne heure.
Dans la « lutte pour l'existence », les escarmouches et les surprises sont plus à craindre que les batailles.
Bataille : Toujours sanglante. Il y a toujours deux vainqueurs, le battant et le battu.
Les morts des batailles perdues sont la raison de vivre des vaincus.
Un homme peut vaincre des milliers d'hommes dans la bataille, mais le plus grand vainqueur est celui qui s'est vaincu lui-même. Vivons heureux en ne haïssant pas ceux qui nous haïssent. Vivons sans haine parmi les haïsseurs.
Savoir clairement ce qu'on veut, ce qu'on peut, ce qu'on doit facilite beaucoup la vie et donne du goût à la bataille. Mais ce qui te nuit autant que le défaut d'ordre, c'est le manque de persévérance et de continuité. Tu ne sais pas additionner tes efforts, tes idées, tes élans, et par conséquent ton travail s'émiette, ta pensée se disperse, ta volonté s'évapore. Cette mobilité de conception détruit toute gestation utile et toute chance d'enfantement.
Tous les exemples des batailles prouvent bien que le succès ne dépend pas du nombre de troupes présentes, mais de celles qu'on peut faire agir.
Batailler toujours m'est à charge ; me justifier m'excède, m’accuser aussi. On me prend comme je suis au lieu de s'obstiner à me vouloir comme on le désire.
En lisant l'histoire des peuples comme l'histoire des batailles, il faut en tirer des principes généraux, sans s'astreindre à suivre servilement une trace qui n'est pas empreinte sur le sable, mais sur un terrain plus élevé, les intérêts de l'humanité.
L'esprit n'a pas besoin de grandes batailles pour montrer sa force, une simple escarmouche lui suffit.
La race des polémistes, des batailleurs, a un goût passionné pour les guerres de l'esprit.
Le monde n'étant que le conflit des intérêts et des passions, celui qui devient contemplatif en ce monde n'a plus rien de commun avec ces batailles d'appétits agités.
Être en mer, c'est être devant l'ennemi : un navire qui fait une traversée est une armée qui livre une bataille.
La vie se passe à batailler contre soi-même.
J'ai toujours aimé le chant du coq, il annonce le jour et met en fuite les fantômes de la nuit. Ce chant ressemble à un cri de guerre, il nous rappelle que nous devons passer notre vie à batailler contre nous-mêmes.
La vie n'est qu'une vaste embûche et plus on la connaît plus on la trouve dangereuse et perfide. — C'est une bataille dans la nuit ; on est blessé, mutilé ou tué sans voir par qui et sans savoir pourquoi ? Si l'on ne peut croire à une providence paternelle et spéciale qui dirige notre vie, il faut au moins se réjouir d'être plus épargné que tant d'autres, ou plutôt se réjouir de tout ce qui ne nous est pas enlevé, vu que nous n'avons droit à rien.
La bataille de la vie pour des misères ne vaut pas ce qu'elle coûte.
Qui ne veut pas batailler avec les choses est sûr d'être opprimé par elles, car les choses n'ont pas de générosité.
Quel champ de bataille que l'existence, et quel massacre universel, toujours sollicitant l'active charité. Le bien-être rend volontiers indifférent, c'est-à-dire égoïste.
Un brave homme ne demande pas son congé la veille de batailles.
Il faut admirer les batailles grandes par la conception ou le résultat politique ; mais il faut célébrer surtout celles qui sauvent. On doit l'admiration aux unes et la reconnaissance aux autres.
Un drapeau, c'est une nation... Quand une cohorte marche, son drapeau en tête, elle se fera, si elle a du cœur, hacher en morceaux plutôt que de laisser, dans la boue de la bataille, ce signe qui la conduisait, et lui promettait la victoire.
On élève son enfant dans une série d'illusions qui ne résistent pas à l'expérience ; on lui persuade volontiers que, dans ce bas monde, tout est miel et vertu, il y trouve fiel et vice. On ne le fortifie pas contre l'inévitable bataille, puis, lorsqu'il a l'âge d'homme, ou à peu près, on le lâche désarmer, presque nu, au milieu du combat ; au premier pas il est blessé, et il ne guérit jamais. Il marche d'étonnements en étonnements, et chaque étonnement est une meurtrissure, meurtrissure d'autant plus vive et douloureuse qu'il ne l'avait pas prévue.
Toute bataille est, on le dit avec raison, une mésintelligence.
Une mort sur le champ de bataille est plus belle qu'une mort au fond d'un lit.
Aime et ménage ton frère, car celui qui n'a pas de frère est de même qu'un soldat qui va sans arme à une bataille.
Quand il est entré dans la bataille, le soldat doit être un héros, sous peine d'être un assassin.