Les 68 pensées et citations sur impôt. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur impôt :
Aux yeux de bien des gens proposer d'abolir certains impôts odieux sur les choses de première nécessité pour demander une recette égale à un impôt sur des objets de luxe, c'est tomber dans le paradoxe, mais toute vérité ayant commencé d'abord par être un paradoxe après avoir été une erreur abominable, c'est déjà un bon pas de fait que d'en être venu à être un paradoxe.
Les impôts indirects, frappant les produits de première nécessité, rendent la vie de chaque jour plus difficile à conquérir. De plus, ils établissent entre le riche et le pauvre une égalité de dépenses sous certains rapports qui ne serait légitime que s'il y avait égalité de recettes et qui constitue une déplorable inégalité.
Les célibataires riches devraient payer de lourds impôts. Il n'est pas équitable que certains hommes soient tellement plus heureux que d'autres !
L'impôt sera odieux, quel qu'en soit le chiffre, tant qu'il prendra dans la bourse du contribuable pour ne rien lui rapporter.
Par les plus productifs de ses impôts, l'État s'enrichit de nos vices et de nos misères.
Un État qui s'entretient par des impôts excessifs est une façon d'Ugolin mangeant ses enfants pour leur conserver un père.
Les plus lourds impôts sont ceux que nous payons à nos sottises.
Quand on charge les citoyens d'impôts plus lourds en augmentant le nombre et le traitement des fonctionnaires, on affaiblit, pour un appui incertain, la seule base certaine de l'Etat, le consentement des citoyens. Ce n'est pas l'argent qu'il paie chaque année à ses fonctionnaires, mais celui qu'il laisse chaque année dans la poche des citoyens, qui assure la durée du gouvernement.
Échapper à l'impôt sur la fortune, c'est la revanche de la cigale sur la fourmi.
L'excès d'impôt pourrit une nation. Les ministres sont les seuls à ne pas s'apercevoir de cette évidence. N'ont-ils jamais entendu citer le vieux proverbe : « Toute peine mérite salaire » ? L'humanité vit là-dessus depuis le fond des temps, et elle n'est pas près de changer !
L'impôt est un joug pesant, c'est une coupe amère que presque tous doivent boire.
Le fardeau des corvées est doux et léger au prix de celui des impôts.
Le prélèvement de l'impôt peut se comparer à l'action du soleil qui absorbe les vapeurs de la terre, pour les répartir ensuite à l'état de pluie, sur tous les lieux qui ont besoin d'eau pour être fécondés et pour produire. Lorsque cette restitution s'opère régulièrement, la fertilité s'en suit ; mais lorsque le ciel, dans sa colère, déverse partiellement en orages, en trombes et en tempêtes, les vapeurs absorbées, les germes de production sont détruits, et il en résulte la stérilité, car il donne aux uns beaucoup trop, et aux autres pas assez. Cependant, quelle qu’ait été l'action bienfaisante ou malfaisante de l'atmosphère, c'est presque toujours, au bout de l'année, la même quantité d'eau qui a été prise et rendue. La répartition seule fait la différence. Equitable et régulière, elle crée l'abondance ; modique et partiale, elle amène la disette.
Pour que l'aisance se répande dans toutes les classes, il faut non seulement que les impôts soient diminués, mais encore que le gouvernement ait un aspect de stabilité qui tranquillise les citoyens et permette de compter sur l'avenir.
Pauvre homme qui t'échines à travailler depuis l'âge de dix-huit ans, toi qui paies d'autant plus d'impôts que tu travailles davantage, toi que personne n'aide mais qui aides tout le monde, sois tranquille : c'est à toi et à tes pareils que je pense le plus tendrement. Vous êtes la partie active de la nation. Sans vous, celle-ci ne serait qu'un hospice ou un hôpital. Au lieu de rendre ton fardeau encore plus lourd, je vais tâcher de l'alléger un peu. Tu n'es ni vieux, ni jeune, ni chômeur, ni handicapé. Ce n'est pas une raison pour que tu sois un paria. Je mets à l'ordre du jour cette idée nouvelle en Europe : la récompense de ceux qui font vivre les autres et non leur écrasement.
Les impôts indirects n'accablent pas les riches, qui ne sont pas à mille euros près, mais les petites gens.
C. S. G. : Impôt sur certains gains réalisés grâce aux machines à sous mais sans que le calcul tienne compte de la mise initiale. Le prélèvement opéré avant le paiement des jackpot pourra-t-il être ajouté aux impôts et taxes comptabilisés en cas de demande de bouclier fiscal ?
ISF : Impôt que l'État perçoit mais auquel il ne peut plus toucher tant il est chargé de symbole pour ceux qui ne le paient pas.
Les exilés fiscaux prennent le contre-pied de Danton puisqu'ils emportent la patrie au talon de leur chéquier.
Il ne se produira pas vraiment de baisse d'impôts avant que ceux qui les collectent acceptent d'officier gracieusement.
La double vocation du fisc français : Empêcher les riches de le devenir davantage sans quitter le territoire national et faire en sorte que les pauvres le demeurent assez pour maintenir un climat anti-riches.
Il serait logique que les contribuables qui ont quitté la France sans espoir de retour soient dispensés à vie de l'impôt sur le revenu.
Longtemps, j'ai dépensé sans compter. Depuis que l'impôt est devenu confiscatoire, je compte sans dépenser.
L'impôt a été créé pour transférer du citoyen à l'État le luxe des dépenses superflues.
Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer.
Tout homme qui ne serait pas chauve après quarante ans devrait payer un impôt spécial. Vous aurez certainement un jour le portefeuille de l'Extérieur, il y a là une mine à exploiter !
Un impôt une fois mis en place est éternel.
J'ai des revenus qui sont partis aux impôts. Ça va, ça vient...
L'impôt est et doit être la mesure de la richesse.
Trop souvent, la fiscalité s'attache comme une rouille à notre appareil législatif et administratif. Là où il peut y avoir profit à la faire disparaître, il s'y faut appliquer sans délai : une goutte d'huile a souvent suffi pour prévenir le bris d'un engrenage et l'explosion d'une chaudière.