Le poète chante les belles femmes, mais il n'aime réellement que les laides, d'où il tire ses pensées les plus brillantes, comme le mineur tire le diamant des sombres entrailles de la terre. Le poète ressemble à Dieu. Il aime ce qu'il crée. Les belles femmes sont toutes faites, bonnes pour les imbéciles et les incapables ; les laides ont besoin d'être recréées par la main magique et puissante du poète.