N'espérez pas que votre union vous procure une paix parfaite ; les meilleurs mariages sont ceux où l'on souffre tour à tour l'un de l'autre avec douceur et avec patience. Il n'y en eut jamais sans quelque contradiction. Soyez complaisante sans faire valoir vos complaisances, supportez les défauts de l'humeur, ceux du tempérament et de la conduite, la différence des opinions et des goûts.
L'union fait la force, et prépare les discordes.
Telle personne qui a de belles et de bonnes qualités n'est pas toujours celle avec qui nous pouvons traverser les épreuves de la vie ; ce qui a manqué dans beaucoup d'unions malheureuses, ce n'est pas la vertu, c'est la complicité et la sympathie.
Dans l'amour entre l'homme et la femme, il y a toujours une minute où cet amour atteint son plus haut degré, où il n'a plus rien de réfléchi ni rien de sensuel, ou il est l'entière union de deux êtres en un seul.
Un malheur supporté en commun fait plus pour cimenter l'union de deux êtres que cent plaisirs partagés.
Les époux parcourent une route ardue : l'union les soutient, la discorde les fait tomber.
L'union de deux cœurs se fonde moins sur l'affection réciproque que sur des affections en commun.
L'amour est un sentiment élevé qui aspire à descendre : c'est le trait d'union, dans l'homme, entre l'ange et la bête.
L'amour veut l'union complète, l'union complète veut la durée.
Le mariage est l'union de deux êtres qui se lient pour s'entraider sur la route de la vie.
Il y a une union d'âmes qui s'aperçoit au premier instant, et qui produit bientôt l'intimité.
Les bons procédés font toute la douceur d'une tendre union, et la rendent durable.
Voulez-vous une image de l'union de l'âme et du corps ? Prenez une larme et essayez d'y séparer, par l'analyse, ce qui est physique de ce qui est moral.
Le mariage est l'union de deux âmes, le compagnonnage charmant de deux pensées.
L'amour de la pairie doit introduire l'esprit d'union parmi les citoyens.
Le mariage est une union où chacun doit l'un et l'autre s'aider.
L'union des cœurs, semblable à l'harmonie du monde, émousse toute violence.
L'union de deux personnes est le chef-d'œuvre de la nature et de la raison.
L'amitié est une parfaite union des cœurs confirmée par la ressemblance des mœurs.
Avant de former les nœuds d'une union qui doivent être sacrés et inviolables, il faut y penser et y réfléchir mûrement, et n'écouter ni l'amour qui est toujours aveugle, ni l'intérêt qui étouffe l'amour sous des chaînes d'or.
Si la réciprocité n'existe pas, il n'y a pas d'égalité ; si l'égalité est brisée, il n'y a pas d'union réelle.
L'amour dont nous sommes unis, toi et moi, union qui met le comble à notre félicité.
Une femme qui écrit à celui qu'elle aime glisse sur tous les points pour en faire des traits-d'union.
Dans l'union de deux âmes, celle qui aime le moins a toujours un avantage sur celle qui aime le plus, celui de se dominer.
L'union libre, c'est cela la solution : un adultère sous contrôle.
La vie éternelle c'est l'union du divin et de l'humain, de la terre et du ciel.
L'union éternelle et absolue de deux âmes doit être le comble du bonheur.
L'amour est comme le radium, il ne nous est connu que dans l'union qu'il forme avec ses composés.
L'union par la pensée est la plus difficile des unions.
L'union est le terme de l'amour où il n'a plus rien à produire que la persévérance de ses actes.
Alors, qu'est-ce que l'amour ? C'est le comble de l'union de la folie et de la sagesse.
L'union fait la force, dit la Sagesse des Nations. L'union crée aussi du plaisir ; elle affermit l'esprit, elle fortifie l'âme.
L'union des âmes repose sur sa loyauté. Une seule fraude peut être définitive.
Le bonheur est dans l'union ; l'union implique la confiance parfaite, et la confiance ne se commande pas, mais se mérite. Or ce naturel-là peut-il inspirer tout à fait la confiance ? Le bon ange pourra-t-il garrotter à jamais le mauvais esprit, et l'empêcher, sinon de se débattre, au moins de nuire ? On peut dire oui, ou peut-être non. Je n'ose plus me prononcer.
On n'est pas d'abord à son aise dans une nouvelle vertu, comme sur un matelas cardé à neuf ; puis l'union se fait.
L'union ne fait pas toujours la force ; les deux moitiés d'un couple mal assorti trouvaient, au contraire, que la force de leurs affections avait été très affaiblie par leur union.
La femme aime et respecte dans son époux le père de son enfant. Le père retrouve avec attendrissement, dans les traits de son fils, l'image de la femme qu'il aime. Nuance insaisissable au premier abord, mais dont la diversité concourt à l'harmonie de l'union conjugale.
Un mariage de convenance est une union entre gens qui souvent ne se conviennent pas, quand les biens de l'un sont la ressource de l'autre.
Tout ce qui manque naturellement à la femme et qu'elle acquiert dans son union avec l'homme, c'est dans l'amour qu'elle le reçoit. Tout ce qu'elle pense est rêve d'amour ; toute sa philosophie, sa religion, sa politique, toute sa vie se résolve en un mot, amour.
La République, c'est l'union, l'unité, l'harmonie, la lumière, le travail créant le bien-être, la suppression des conflits d'homme à homme et de nation à nation, la fin des exploitations inhumaines, l'abolition de la loi de mort et l'établissement de la loi de vie.
Les bonnes unions conjugales se décident au ciel?