L'amour est comme les maladies épidémiques : plus on les craint, plus on y est exposé.
La maladie a du moins un avantage, elle nous fait connaître nos amis.
La maladie nous oblige souvent à une retraite que de nous-même nous n'aurions jamais eu le courage de prendre.
L'amour est une maladie, mais c'est une fièvre délicieuse.
La sobriété est le moyen le plus efficace de nous préserver de la plupart des maladies.
L'hypothèque de la mort : la maladie.
L'alcoolisme est la cause de toutes les maladies modernes.
Il y a beaucoup de maladies qui ne tuent pas, beaucoup de flèches qui n'empoisonnent pas.
Il est si doux de parler de soi qu'il suffit d'expliquer sa maladie à son médecin pour se sentir momentanément soulagé.
Ceux qui sont passionnément épris de leurs maladies veulent mal de mort aux médecins qui tentent de les guérir.
Quand on sort d'une grave maladie, il faut refaire l'apprentissage de la vie.
Atteint d'une maladie qui ne pardonne pas, mes jours sont comptés.
Il y a de ces maladies aiguës ou chroniques qui s'attaquent aux cœurs généreux, celles qu'on peut appeler des maladies nobles, et que ne comprendront jamais certaines natures.
L'âme a ses maladies aussi inévitables que celles du corps.
La santé insulte à la maladie, comme la richesse insulte à la pauvreté.
La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme.
L'ennui est une maladie organique à laquelle certains sont sujets dès leur naissance.
La colère est une maladie de l'âme.
L'arrêt maladie est la trêve comprise entre les RTT et les vacances.
Voulons-nous que nos bienfaits soient approuvés de Dieu et des hommes, et nous soient infiniment utiles à nous-mêmes, attachons-nous à les verser sur les plus honnêtes gens, sur les personnes à qui ils sont les plus nécessaires, sur ces infortunés que les maladies, une nombreuse famille, des accidents imprévus ont réduit dans le plus triste état, et qui malgré leur travail et leur bonne conduite, éprouvent les rigueurs de l'affreuse pauvreté. Moins ils sont dignes de leur sort, plus ils sont dignes de notre compassion. Hâtons-nous de leur donner du secours, épargnons-leur la peine de nous le demander. Souvent la honte les retient ; et tandis que la faim est prête à les dévorer, ils n'osent encore élever la voix pour nous faire l'humiliant aveu de leur misère. Voilà ceux qu'il faut chercher, qu'il faut secourir. Quel heureux moment pour vous, que celui où vous pourrez essuyer leurs larmes et répandre la joie dans leur cœur ! Quelle bénédiction, quelles actions de grâces, quelle vive reconnaissance de la part de ceux qu'on a ainsi secourus, consolés ! Est-il sur la terre un plaisir plus délicieux, plus digne de l'homme, que de gagner les cœurs des autres hommes, et d'en recevoir les doux témoignages ?
Rouler des mécaniques, c'est une maladie des hommes.
La vie, c'est une maladie dont tout le monde meurt.
Il y en a qui croient que le malheur est une maladie contagieuse et qu'il se prend comme la petite vérole.
La joie que promet la volupté se change en tristesse ; ses plaisirs conduisent aux maladies et à la mort.
Incurable : Se dit d'un amnésique atteint de la maladie d'Alzheimer.
Hélas ! comme la maladie improvise la vieillesse !
À force de méprises, l'amour devient une maladie de l'âme.
Hélas ! toujours la même vie ! Je quitte le chagrin pour la maladie et la maladie pour le chagrin.
Il y a deux sortes de maladies des hommes : les unes involontaires et innocentes, les maladies du corps ; les autres volontaires, la méchanceté et la violence, qui rendent le malade coupable.
Le vice est la plus déplorable de toutes les maladies.
Il y a une extrême différence entre les vices de l'âme et les maladies du corps. Les maladies sont des maux qu'on souffre et qu'on ne fait pas ; on n'en est point coupable, on est à plaindre. Mais, pour les vices, ils sont volontaires, ils rendent la volonté coupable. Ce ne sont pas des maux qu'on souffre ; ce sont des maux qu'on fait. Ces maux méritent de l'indignation et du châtiment, et non pas de la pitié.
La jeunesse est une étrange maladie, mais je voudrais encore en être malade.
La santé peut paraître à la longue un peu fade ; il faut, pour la sentir, avoir été malade.
La maladie a toujours négligé tous les devoirs auxquels est soumise la santé. Nous ne sommes plus nous-mêmes quand la nature accablée commande à l'âme de souffrir avec le corps.
La santé n'est pas contagieuse ; c'est la maladie qui l'est trop souvent.
Le nationalisme est une maladie infantile ; c'est la rougeole de l'humanité.
L'esprit de l'homme a ses sortes d'intempéries et de maladies comme le corps.
La seule maladie qui ne peut se guérir est la maladie de ne pas se sentir aimé.
Les maladies suspendent nos vertus et nos vices.
Le bon et le mauvais, le plaisir et l'ennui, la maladie et la santé, tissent la toile de nos jours.
Quand la maladie vous accable, il n'est de plus belle douceur que les soins d'un ami.
La philosophie est le remède de toutes les maladies de l'âme.
La psychanalyse est elle-même la maladie qu'elle prétend guérir.
L'amour est une maladie comme la petite vérole, que les hommes attrapent tôt ou tard.
L'amour est une maladie dont personne ne veut se délivrer. Celui qui en est atteint ne cherche pas à se rétablir, et celui qui souffre ne désire pas guérir.
Nous sortons de nos passions comme de quelques-unes de nos maladies : affaiblis ou fortifiés.
La maladie n'est pas dans les livres, elle est dans le malade.
La jalousie, comme les maladies, s'aiguise avec le soir.
Le repos éternel vaut mieux qu'une maladie tenace?