Les 30 pensées et citations sur bienfaisant :
Le véritable amour, le seul utile et bienfaisant, consiste à aimer médiocrement une femme médiocre.
L'air à la campagne est plus pur, plus bienfaisant mille fois que celui des villes.
On oublie nos petits soucis dans un sommeil profond et bienfaisant.
Le premier culte qui soit agréable à Dieu, c'est d'être juste, bienfaisant, de rester fidèle à sa parole, de sacrifier sans hésitation et sans murmure son intérêt à son devoir ; de ne pas dégrader en soi par des lâchetés ou des bassesses le noble caractère de l'humanité, d'éviter avec scrupule toute occasion de blesser les droits d'autrui ; de chercher, au contraire, l'occasion de se sacrifier au bonheur de ses semblables ; de se faire un cœur bienveillant pour toutes les créatures de Dieu, et de laisser après soi des exemples de vertu et un souvenir sans tache.
Les actes politiques ne sont ni justes ni injustes. Ils sont seulement bienfaisants ou funestes.
La douce bienfaisance est la vertu suprême, et l'homme bienfaisant approche de Dieu même.
Les bonnes actions sont d'utiles secours que l'homme bienfaisant sème pour ses vieux jours.
Il n'est rien de plus bienfaisant que les longs oublis.
La religion est, selon le cas, le plus bienfaisant des remèdes ou la pire des maladies.
C'est une bonne nourrice que la misère, et ses maigres mamelles versent à ses nourrissons un lait sain, fortifiant et bienfaisant.
Le travail est le bienfaisant antidote de l'ennui, il est son meilleur remède.
Le riche bienfaisant se nourrit de tout le bonheur qu'il donne.
La surveillance invisible d'un bon génie a quelque chose de bienfaisant.
Plus on est bienfaisant et plus on fait d'ingrats.
Il y a quelques hommes d'une vertu rare, bienfaisants par goût, qui, ayant en partage la fortune et la puissance, font disparaître la distance qui les sépare des pauvres, se mettent à la portée de leurs besoins, au niveau de leur position, et les soulagent en épanchant sur eux le cœur avec la main.
Combien de riches sont réputés bienfaisants, parce que, du haut de leurs balcons dorés ou de leurs équipages blasonnés, ils laissent tomber dans la main d'un pauvre quelque monnaie, reste honteux de ce qu'ils avaient donné le matin à leurs valets pour nourrir leurs meutes et leurs chevaux ! Or, si cette aumône les privait d'un mets à leur table, d'une loge à l'Opéra, d'un laquais à leur voiture, d'un lustre à leur salon, ils fermeraient aussitôt leurs mains et l'égoïsme imposerait silence à la générosité.
Ce qu'il y a de plus doux, de plus noble et de plus bienfaisant dans la vie, c'est d'aimer, c'est de sentir et de concevoir le beau idéal. Voilà pourquoi il faut aimer tout ce qui s'en rapproche, le rêver sans cesse, le chercher partout, et le prendre tel qu'on le trouve.
Celui-là seul mérite le nom de bienfaisant qui fait le bien avec persévérance.
Si vous n'avez pas beaucoup de bien, soyez encore charitable : les moins riches peuvent secourir ceux qui sont dans la nécessité. Il ne faut pas de grands trésors pour être bienfaisant. Tant de personnes ont besoin d'une recommandation, d'une parole consolante, d'un simple morceau de pain !
L'homme bienfaisant n'est jamais la dupe d'un ingrat, parce qu'il se rend toujours le témoignage d'avoir fait son devoir, d'avoir pratiqué une vertu. D'ailleurs, s'il a obligé sans espoir de retour de la part des hommes, il n'a pas renoncé au prix que le ciel a bien voulu attacher à la bienfaisance.
La récompense de l'homme bienfaisant est dans son cœur.
Les hommes se prennent par les bienfaits, qui gagnent les ennemis, et attachent les amis. C'est surtout à l'égard de ceux-ci qu'on doit être bienfaisant. Aimer quelqu'un, c'est lui vouloir du bien : un amour stérile n'est pas un véritable amour.
La bienfaisance est un doux penchant, une vertu céleste, qui nous porte à obliger nos semblables, à leur rendre service, à leur faire du bien. Rien n'approche plus un mortel de la divinité que d'être bienfaisant : il est la plus fidèle image de Dieu, qui ne cesse de répandre ses bienfaits sur les hommes.
De tous les êtres doués de raison, le plus méprisable, le plus inutile est celui qui est insensible. L'insensibilité détruisant l'homme, en fait un être sauvage et isolé, qui a rompu la plupart des liens qui l'attachaient au reste de l'univers, pour le borner à lui seul. À la place de l'amour bienfaisant et équitable de nous-mêmes et des autres hommes, qui ne porte à ne vouloir être heureux qu'en contribuant au bonheur commun, n'a plus qu'un amour-propre, injuste et exclusif, qui se faisant le centre de tout ce qui l'environne, et s'arrogeant des droits et des privilèges, cherche son bonheur aux dépens des autres.
Du bien qu'on vous a fait soyez reconnaissant ; montrez-vous généreux, humain et bienfaisant.
La bienfaisance n'est si rare que parce qu'il y a peu de personnes qui la méritent : c'est parce qu'on ne connaît pas les douceurs qui sont attachées à la bienfaisance, qu'il y a si peu de gens bienfaisants.
Le caractère du bourru bienfaisant est à la mode, c'est un rôle que chacun veut jouer ; mais on n'en comprend bien que la première partie, de là tant de bourrus et si peu de gens bienfaisants.
L'homme étant bienfaisant par nature, et le plaisir étant la récompense immédiate et naturelle de la bienfaisance, c'est être ingrat envers Dieu que de se plaindre des ingrats. Le cœur n'est pas plus digne de reconnaissance pour faire le bien que l'œil pour voir, et l'oreille pour entendre.
Il faut un goût bien délicat pour être vraiment bienfaisant. Ce goût est peut-être plus rare encore que celui des arts.
On ne peut être bienfaisant, qu'en épargnant sur son aisance.