Le plus noble rôle du vieillard est d'applaudir au triomphe de l'homme qu'il avait encouragé enfant ; c'est d'admirer l'idée enfin éclose qu'il avait vue en germe ; c'est d'assister du moins, calme et souriant, aux mouvements nécessaires qui s'effectuent sans lui, mais sous son regard, et d'augurer, par la vue de son expérience, les autres mouvements qui en sortiront un jour.