On a grand tort de s'étonner que les maris aiment presque toujours les amants de leurs femmes. Quoi de plus complaisant, de plus officieux, de plus servile, de plus plat, d'ordinaire, que l'amant d'une femme dans ses rapports avec le mari qu'il trompe ? Ce dont il faut s'étonner, ce n'est donc pas du rôle que joue le mari, mais de celui que joue l'amant !