Les procédés sont chose grave, car d'un côté ils sont comme la signature de l'individu et indiquent ce que vous êtes, et de l'autre ils révèlent l'estime que vous faites d'autrui. Leur importance tient précisément à ce qu'ils sont facultatifs. Aussi, ce que l'on pardonne souvent le moins, les femmes surtout, ce sont les torts de procédés. Qu'ils proviennent ou d'une certaine rusticité de nature, ou d'un manque d'éducation, ou d'une intention désobligeante, n'importe. Involontaires, ils choquent ; volontaires, ils blessent : voilà toute la différence.