Il y a des milliards d'êtres humains, il y a une infinitude de relations d'amour.
On recherche d'autant plus de nombreuses relations, et si on en a trouvé on s'en vante d'autant plus, qu'on a plus besoin de faire accroire à un mérite qu'on a moins.
Pour vivre, il faut entrer en relations avec ses semblables ; mais toutes relations sont un prétexte à conflits ; et tous conflits doivent être tranchés.
Fréquente peu le monde, et trie soigneusement tes relations. Vois si tu veux beaucoup de gens, mais n'en approche que le moindre nombre.
Dans les relations du monde la suffisance et le manque de tact sont les deux défauts qui nous choquent le plus.
Il y a des gens que les relations banales du monde satisfont assez pour qu'ils n'aient pas besoin d'amitié.
Renoncer à une relation ne consiste pas à la disqualifier ou à la maltraiter, ni à rejeter la personne. C'est faire en sorte de ne plus contribuer à alimenter ou entretenir chez l'autre les rouages d'un système d'échanges, de partages ou de mises en commun dans lesquels je ne me retrouve pas, dans lesquels je ne me reconnais plus, dans lesquels je sens que je ne peux me respecter et rester fidèle à moi-même.
La communication relationnelle nous relie, nous agrandit et nous prolonge à la fois comme interlocuteur à part entière, comme partenaire potentiel pour un ou plusieurs proches et comme être planétaire, unique, pour tous les êtres humains.
Ne dis pas de tout homme qu'il est ton ami, cette relation est rare en ce monde.
Si dans une relation je ne me définis pas clairement, je prends le risque d'être défini par l'autre. Et la définition de l'autre reflète rarement ce que je suis réellement. L'autre va me définir au travers de ses filtres, de ses peurs, de ses attentes, de ses croyances ou de ses certitudes !
Au mitan de sa vie chacun d'entre nous, qu'il le cache ou le montre, est un infirme, un handicapé profond de la communication et des relations humaines.
Les qualités intellectuelles n'ont guère d'importance dans une relation amicale, encore moins dans une relation amoureuse, elles ont bien peu de poids par rapport à la bonté du cœur.
La relation d'amour est comme une grâce palpable qui monte chaque jour un peu plus, et la difficulté, quand on a goûté à cette enveloppe régénérante, c'est de retrouver ensuite le quotidien tel qu'il est.
On ne doit jamais souhaiter à personne des relations équivoques ; mais, pour ceux qui y tombent accidentellement, elles sont la pierre de touche de leur caractère et la mesure de l'énergie dont ils sont capables.
Un type qui a beaucoup de relations mieux vaut l'avoir avec nous que contre nous.
Dans toute relation, ce sont toujours les yeux qui, les premiers, parlent d'amour.
Entrer en relation avec l'autre, c'est tenter de créer un lien de réciprocité fait de l'expression individuelle de chacun (incluant l'écoute de soi) et de l'autre.
Il y a dans les relations affectueuses une source indicible de bonheur. En exprimant nos sensations, en faisant avec un ami un sincère échange de nos idées et de nos conceptions, on éprouve une sorte de volupté, à laquelle l'ermite le plus endurci ne reste pas indifférent.
Dans une relation amoureuse, il n'est que de s'entendre ! Rien n'est plus facile que d'être heureux pourvu que de part et d'autre on y apporte quelque complaisance.
Au début d'une relation, l'homme parle d'aimer toujours la femme qui le captive. Ne ressemble-t-il pas à l'homme qui voudrait pouvoir rendre service, et qui voit s'évanouir sa bonne volonté, dès qu'il est en mesure de l'exécuter ?
Si nous mettions plus de douceur et d'indulgence dans nos relations avec l'être aimé, il ne sentirait pas le besoin de nous tromper par de petits mensonges qui détruisent la confiance et causent tant de ruptures.
Entre relations, il est doux de s'entendre, il est intéressant de se comprendre, il est charmant de se deviner.
Le jour où les capitaux s'en vont d'une maison, les relations les suivent, ne cesse-t-on de dire aux gens riches, pour les prévenir ; mais que ferait-on des relations sans les capitaux ? je vous le demande. C'est fort heureux que le déménagement soit complet.
Les grandes relations sont comme les grands portefeuilles, il faut nécessairement y faire entrer plusieurs sortes de valeurs.
Les relations entre femmes dépendent des premières impressions.
Quand j'entre en relation avec l'autre, celui-ci doit pouvoir sentir qu'il peut entrer en relation avec lui-même face à moi sans danger, je lui offre la possibilité de s'affirmer, d'exprimer ce qu'il ressent et de confronter nos différences.
Nous nous sommes trop aimés pour nous côtoyer dans des relations enfin apaisées. Que de tels compromis soient à l'usage des gens du monde, de ceux qui remplacent l'amour par le plaisir, le dévouement par les convenances, l'ardeur par la frivolité, je le comprends, et j'en ai vu trop d'exemples pour ne point l'admettre. Mais à ceux qui, comme toi et moi, se sont adorés jusqu'à la folie, se sont fait souffrir jusqu'au martyre, à ceux qui ont épuisé l'amour dans toutes ses délices et dans toutes ses douleurs, il faut qu'ils vivent indissolublement liés l'un à l'autre, et pour toujours et malgré tout, ou qu'ils ne se revoient jamais.
Tenter d'entretenir de bonnes relations avec un communiste, c'est comme faire la cour à un crocodile : on ne sait jamais s'il faut le chatouiller sous le menton ou lui taper sur la tête ; quand il ouvre la bouche, on se demande s'il essaie de sourire ou s'il s'apprête à vous dévorer.
Aujourd'hui, dans les relations amoureuses, on ne peut compter sur la durée d'un beau jour.
Chaque relation a pour moi son idéal, et quand il faut rabattre trop sur cet idéal, je préfère passer la relation pour zéro, comme l'artiste qui donne gratis le tableau dont il n'obtient pas le prix entier. — C'est fierté, c'est raideur, c'est bouderie, si l'on veut ; mais je ne sais pas négocier, transiger, pactiser dans les choses d'affection.
Les amitiés féminines qui réjouissaient ma vie intime, je vois la possibilité de les perdre. L'une, absente, devenue muette, s'est peut-être ouvert d'autres intérêts ainsi que d'autres horizons. L'autre se froisse et se contracte si aisément que nos relations lui font presque plus de mal que de bien, et que sa santé m'inquiète beaucoup.
Il y a une différence entre vivre et exister. Nous pouvons peut-être vivre seul mais, pour exister, il faut au moins être deux. Nous avons besoin de la relation de l'autre. Nous sommes tous des êtres de relation, à la fois en manque et en désirance de relations.
La politique, c'est une profession où il vaut mieux avoir des relations que des remords, c'est préférable.
Une relation a toujours deux bouts, il m'appartient d'être responsable de mon bout. Être responsable, entendons-nous bien, ne veut pas dire être fautif, ne veut pas dire être coupable. Cela veut dire que je me sens conscient, concerné, engagé par tous mes actes et leurs conséquences directes ou indirectes, cela dans toutes les situations de mon existence.
Celui qui, dans vos relations au lieu de vous donner de bons conseils vous refroidira sur vos affections légitimes et sur vos devoirs, ne mérite ni votre amitié ni votre estime.
Entrer en relation avec l'autre, c'est aussi avoir la capacité d'écouter l'autre dans ce qui le touche personnellement. C'est pouvoir l'entendre affirmer ses convictions, ses désirs, ses attentes, le laisser parler de la façon dont il se vit, de son ressenti en relation avec son travail et les personnes qu'il côtoie.
L'amitié féminine n'est pas de qualité tranquille et sûre, parce qu'elle n'est qu'une variante de l'amour. L'ambition et les caprices lui ôtent l'égalité d'humeur. D'ailleurs il subsiste trop de sous-entendus dans les relations avec les femmes dont la main est libre, pour éviter toujours les malentendus.
La plus belle partie de la vie se composant de relations, d'épanchements, de bienveillance, c'est renoncer aux plus grands avantages de la société que s'isoler dans le moi humain.
La plus belle relation de la vie est une dépendance volontaire, mais sans amour cette dépendance serait une impossibilité.
On ne s'engage jamais dans une relation sans avoir mûrement réfléchi auparavant.
Quand je sens qu'une séparation est inévitable, et qu'il faut se dire adieu, que nous ne devons plus vivre ensemble, ni même continuer les relations si cordiales que nous avons soutenues ces dernières années, je suis partagé entre la joie, le malaise et la tristesse.
Quand le charme d'une relation est détruit mieux vaut une rupture complète.
La plupart des relations sont trop superficielles pour avoir le droit de durer.
Se rendre service, cela maintient une relation de nature humaine et cordiale.
Entrer en relation, c'est créer un passage (un conduit) susceptible de nous permettre de passer de l'impression à l'expression, et de l'expression à la communication (mise en commun).
Entrer en relation, c'est accepter de s'exprimer, d'aborder ou de se confronter à des réalités du domaine personnel. C'est pouvoir affirmer des convictions, des désirs, des attentes. C'est parler sur son propre vécu et entendre le vécu de son interlocuteur face à son travail, à telle tâche, à telle action ou décision en cours.
Il faut de l'inégalité, des caprices, des tracasseries dans une relation amoureuse pour en chasser la langueur, et pour en perpétuer la durée.
Souvent la fin d'une relation amoureuse est le commencement d'une plus grande.
La cohabitation harmonieuse d'une intimité commune et partagée avec une intimité personnelle et réservée est le garant du respect de soi et de l'autre dans toute relation.
Avant de vous lier avec une personne, sachez comment il s'est conduit avec les autres aussi bien dans ses relations amicales, que ses relations amoureuses : il vous traitera comme il a traité les autres.
La relation amicale ne souffre point de négligence.
Dans une relation amoureuse qui se contient dans de justes bornes est médiocrement amoureux.
L'art de vivre, c'est la relation ; sans relation il n'est pas de vie.
Toute relation se double d'une responsabilité immense.
La relation est un miroir dans lequel on peut se voir, non tel que je souhaiterais être, mais tel que je suis.
Il n'y a pas de société s'il n'y a pas de relation.
Quand une relation s'inscrit dans le vivant de la vie, elle donne à l'existence un goût d'éternité.
Une relation est un miroir dans lequel vous pouvez vous découvrir.
À Paris, où la vie est si remplie, on n'a plus guère de place ni de temps pour les relations affectueuses.
Soyons sincères dans nos relations à autrui.
En matière de communication, nous n'avons pas compris qu'avec l'explosion, dans les dernières décennies, des outils de la communication (Internet, téléphone, télévision), on s'exprime plus mais on communique moins ; on a amélioré les moyens de communiquer mais on a appauvri et violenté la relation.
Une relation peut être un port d'attache pour nous donner plus de confiance pour affronter l'inconnu.
La communication est la base de toute relation.
Pas trop d'isolement ; pas trop de relations ; le juste milieu, voilà la sagesse.
Une relation est une fleur que l'on aime à cueillir soi-même.
La grandeur d'un métier est peut-être, avant tout, d'unir des hommes : Il n'est qu'un luxe véritable, et c'est celui des relations humaines.
La tendresse est la sève de la vie, sans tendresse une relation reste en attente d'être fécondée.
Il est toujours fâcheux d'avoir des obligations de gratitude quand le charme des relations est détruit.
Il n'est pas d'existence possible sans relation : la vie même est relation.
Le flirt est à l'amour ce que les relations sont à l'amitié.