Les 58 pensées et citations sur le thème : Vingt ans.
À vingt ans c'est avec le cœur, à trente ans c'est avec la tête, à quarante ans c'est avec l'estomac que l'on pense (Du côté des hommes).
À vingt ans on aime. À quarante ans on veut être aimé.
Avoir vingt ans, heureux âge de la vie, le bon temps où l'avenir est tout en avant, l'âge du long espoir et des vastes pensées ! Voudrais-je revenir à vingt ans ? Pourtant je crois que non, ce qui est fait est fait. Alors, une autre existence ? Peut-être bien !
Vingt ans de passion suffisent à donner à une femme l'allure d'une ruine, mais vingt ans de mariage la transforment en monument public.
Après vingt ans d'intimité, on peut se trouver moins unis que si on ne s'était vus qu'une fois.
À vingt ans on a assez vécu pour connaître la souffrance, pas assez pour la garder.
Hier encore, j'avais vingt ans, mais j'ai perdu mon temps à faire des folies, qui ne me laissent au fond rien de vraiment précis, que quelques rides au front et la peur de l'ennui.
Rappelle-toi qu'à vingt ans, il te suffisait que je t'aime.
Hier encore, j'avais vingt ans, je gaspillais le temps en croyant l'arrêter, et pour le retenir même le devancer, je n'ai fait que courir et me suis essoufflé.
À vingt ans on aime à tous vents, rien ne peut détruire un cœur de vingt ans.
À vingt ans je me croyais un sage, à trente ans je soupçonnai que je n'étais qu'un sot.
À vingt ans on ne compte pas les années ; à soixante on compte les jours.
À vingt ans on peut être mécontent de son sort, mais on n'est pas encore détaché de la vie ; l'espérance, ce mirage qui nous abuse jusqu'à la tombe, et nous y conduit, glace le courage, enchaîne la volonté. Non ! à vingt ans, ce n'est pas de la vie dont il est difficile de se défaire : c'est de l'espérance.
Jusqu'à trente ans, on a toujours vingt ans ; après trente ans, on en a quarante.
À vingt ans, on voudrait tout faire en même temps et tout obtenir d'un seul coup. À cinquante, on cherche le temps de ne faire qu'une chose à la fois et on rêve de n'obtenir que ce qu'on a découvert d'essentiel.
À vingt ans, on exige la liberté de voyager à travers le monde pour tenter d'y découvrir la vérité des autres. À cinquante, on n'en finit plus de voyager chez soi à la recherche de sa propre vérité.
À vingt ans, on exige la liberté d'être avec tous. À cinquante, on se contente de la liberté d'être avec soi-même.
Il est des garçons de vingt ans qui ont la tête aussi vide que l'enfant qui vient de naître.
Les corps de vingt ans sont pleins de force, mais les têtes de vingt ans sont pleines d'ennui.
Les défauts qu'on a nourris jusqu'à vingt ans ne se corrigent pas.
À vingt ans, tout est sérieux, même ce qui est léger.
À vingt ans on a l'œil difficile et très fier : on ne regarde pas la première venue, mais la plus belle ! Et, plein d'une extase ingénue, on prend pour de l'amour le désir né d'hier.
À vingt ans, la solitude est pleine d'amour ; vingt ans plus tard, elle est pleine du passé.
Le cœur à vingt ans se pose où l'œil se pose.
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père : quand on est con, on est con !
La grande tristesse, c'est d'avoir eu vingt ans et de ne les avoir plus.
Les femmes de vingt ans, si tu savais comme c'est bête ! Tout leur est dû, rien ne les étonne !
Y a rien de pire que d'avoir 20 ans et des idées : tout le monde les trouve mauvaises.
On n'a que l'âge qu'on se sent avoir : joyeux j'ai vingt ans ; triste, j'en ai soixante.
À vingt ans, on dort où que ce soit, on mange sur le pouce, on a seize heures utiles devant soi.