Les 55 pensées et citations sur chaîne :
Un bienfait est une chaine délicate qui lie notre cœur.
Attente : Chaîne qui lie tous nos plaisirs ; supplice quand elle est trop étendue.
Une année de plus pour des cœurs qui s'aiment comme les nôtres, c'est un tour de plus à la chère et douce chaîne qui nous lie ; quand on s'aime, vieillir, c'est s'identifier.
Le fanatisme est le ver qui naît dans la pourriture. Il hait tout idéal, tout essor spirituel, toute aspiration poétique de la raison. C'est une chaîne qui retient attachée au sol l'âme qui voudrait s'élancer vers l'infini, c'est un compresseur violent des ressorts intellectuels de l'esprit humain.
Où la nature a mis un besoin, un plaisir, l'homme met une habitude, une passion : il double ses chaînes.
L'éducation commence avec la vie : au berceau même s'attache le premier anneau de la longue chaîne d'habitudes qui la composent.
Les habitudes sont les seules chaines qui, à être portées, ne s'usent pas.
Un seul tort peut détruire une longue amitié : briser un anneau, c'est rompre une chaîne.
Nous passons notre vie à nous forger des chaînes et à nous plaindre de les porter.
Les vices forment une chaîne dont le premier anneau est l'égoïsme.
Dans les histoires de cœur, il y a toujours une partie de la chaîne qui pèse davantage sur l'un des deux amants. Entre jeunes gens du même âge, c'est souvent à la femme qu'est départi le poids le plus lourd.
Aucune de nos actions ne se termine à nous. Nous sommes les anneaux d'une immense chaîne, et nous transmettons à toute la chaîne, soit en bien, soit en mal, l'électricité morale qui nous a ébranlés.
L'argent, c'est le bouton de la sonnette du cœur. Seulement, souvent il n'y a que le bouton et la chaîne. Un de mes amis dit que dans ce cas c'est la sonnette qui manque, moi je dis que c'est le cœur.
Je m'éloigne des gens encombrés d'amis. Que faire autour d'eux, sinon, comme dans les incendies, la chaîne ?
Le diable tombe sur celui qu'il élit comme un paquet de chaînes.
Ses chaînes brisées, les porter encore. Comme témoins.
Les plus douces chaînes sont des chaînes, à un moment donné vous en sentirez le poids.
La vie nous paraît courte et les heures longues, nous voudrions allonger la chaîne et rétrécir les anneaux.
Les peines et les plaisirs sont joints ensemble par une chaîne qui les rend inséparables.
Chaîne du froid : Va du ventre maternel au caveau de famille.
Le mariage est la plus lourde chaîne qu'on puisse attacher à la vie de l'homme.
Gardez-vous de l'amour funeste ; respectez vos premières chaînes, craignez d'en essayer de nouvelles. Malheur à celui qui négligerait ce conseil ! Un douloureux repentir le lui rappellera quelque jour.
On ne brise pas d'un coup des chaînes qu'on a portées ensemble pendant près de dix ans ; il faut qu'elles se soient usées d'elles-mêmes avant d'être séparées en deux pour jamais.
L'homme aime les sentiments sérieux, souvent il les invoque ; en réalité, il les redoute, car toujours pour lui ils sont une chaîne : autant la femme désire se donner, autant l'homme cherche à se réserver.
L'homme arrive au tombeau traînant après lui la longue chaîne de ses espérances brisées.
L'homme en société est un esclave qui travaille sans cesse à user ses chaînes.
Le moindre sentiment, la moindre affection, la moindre chose qu'on possède est une chaîne.
Le mariage est une chaîne où l'on ne doit jamais soumettre un cœur par force.
Les vacances d'or sont passées, et j'ai repris la chaîne sans fin du travail pour vivre.
L'attente d'un plus heureux avenir est une chaîne qui lie tous nos plaisirs.
Veux-tu croire à ta liberté ? Garde-toi d'agiter ta chaîne.
La femme et l'homme vont ensemble comme la chaîne et le boulet.
Les hommes sont tous liés entre eux par une chaîne, c'est le besoin qu'ils ont les uns des autres.
Un jour peut briser une chaîne de trente ans.
La politique n'est qu'une longue chaîne à laquelle chaque individu est attaché par des anneaux plus ou moins brillants : la différence des anneaux fait la différence des états dans la société.
Un éléphant peut être tenu par une chaîne, un coursier peut être dompté par l'art du cavalier, mais pour une femme, vous êtes perdu si vous n'avez pas la corde qui seule peut la conduire, c'est-à-dire son cœur.
Le voleur et le volé ne doivent pas être attachés à la même chaîne, ni traîner le même boulet ! Je demande le rétablissement du divorce.
Annihiler nos peurs, c'est briser nos chaînes.
Le cœur qui ne sent pas sa chaîne glorifie le charme qui le captive.
À force de patience et de douceur, on s'empare de la main qui tient nos chaînes.
Si vous désirez faire éprouver toute la force du mot « captiver » à vos adorateurs, belles, ne leur faites pas sentir tout le poids des chaînes que vous leur imposez.
Réserve-toi toujours la liberté de rompre tes chaînes quand elles deviendront trop pesantes.
Il n'est point de chaîne assez solide pour retenir une femme pendant vingt-quatre heures auprès d'un homme dont elle a résolu de se séparer.
Une femme a toujours tort d'irriter la colère d'un homme. Le plus faible, à force de secouer sa chaîne, finit par la rompre.
C'en est fait de l'amour entre deux amants quand l'un d'eux a déjà senti le poids de sa chaîne, et qu'il s'est fait un mérite de la porter.
Qui tient la chaîne n'est pas beaucoup plus libre que celui qui la porte.
L'amour qui vous promet des douceurs, vous offre bien souvent des chaînes.
Les hommes, dans leur bassesse, forgent leurs chaînes et se plaignent ensuite de leur esclavage.
Les femmes se forgent elles-mêmes les chaînes dont l'homme ne souhaite pas les charger.
Brise ta chaîne ou endure-la, ne tire pas dessus.
Deux sages en colère ne rompent pas même un cheveux ; tandis que deux insensés briseraient une chaîne de fer.
Une femme amoureuse est une esclave qui fait porter les chaînes à son maître.
La religion est la chaîne d'or qui suspend la terre au trône de l'Éternel.
Tous les événements sont liés. Une forêt du nord abattue change les vents, les moissons, les arts de ce pays, les mœurs et le gouvernement. Nous ne voyons pas toutes ces chaînes, dont le premier chaînon est dans l'éternité.
Le bon traitement est la meilleure chaîne qui puisse attacher le serviteur à son maître.