Hommes de bien, déployez autant d'activité que les méchants, vous aurez bientôt changé la face du monde !
Le bien n'est pas seulement l'ordre dans nos affections, c'est aussi l'ordre dans la vérité, la vérité à sa place.
Lorsqu'il s'agit de faire le bien, on ne risque jamais rien de tenter.
Si l'on ne peut aller loin dans la pratique du bien, on peut du moins y faire quelques pas.
Il faut que le bien soit innocent.
Quand on a commencé par croire au bien partout, l'on est bien près, à un certain âge, de ne plus croire au bien nulle part. Les extrêmes se touchent.
Vouloir faire le bien, c'est assez l'ordinaire ; mais il n'est pas commun de le savoir bien faire.
Certaines gens mettent de la disgrâce dans le bien qu'ils font.
Travaillez à faire ressortir la beauté du devoir et la majesté de la justice ; parez des plus belles couleurs cet idéal, afin que l'homme aspire plus ardemment à en gravir les cimes escarpées ; usez des plus fortes paroles pour briser toutes les résistances qui paralysent son élan vers le bien. Telle est la noble tâche de tous ceux qui ont une fois vu face à face ces commandements écrits en nous-mêmes ! Il ne suffit pas de voir le bien soi-même ; il faut aussi le faire voir aux autres.
Si les morts pouvaient parler, on n'en dirait pas tant de bien.
Il est toujours permis de croire en Dieu quand on ne fait que du bien en son nom.
Le bien qu'on fait par ostentation perd son mérite, mais la société en a encore le profit.
On aime les gens pour le bien qu'ils font, on les ménage pour le mal qu'ils peuvent faire.
Cache toujours le bien que tu veux faire pour le faire mieux.
Nul être ne peut faire à la fois tout le bien ; ce qu'il gagne d'un côté il le perd de l'autre, et Dieu seul embrasse en même temps, dans l'œuvre de sa bonté, tous les temps et tous les lieux !
Qui dans l'âge viril n'a pas songé à amasser du bien pour la vieillesse a beaucoup à souffrir quand il parvient à cette dernière période de la vie.
Le bien produit par le vice est toujours mêlé de mal.
Il est bien plus impossible de faire volontairement du mal à ceux qu'on aime que du bien à ceux qu'on hait.
Le partage du bien se multiplie sans l'amoindrir.
Nous ne sommes vraiment sensibles au bien que quand il est pratiqué par des fripouilles.
L'homme de bien voit l'envie, s'attend à l'ingratitude, et suit sa conscience et son cœur.
Le bien d'un seul doit se sacrifier au bien de tous.
Dire du bien de ceux qui nous calomnient ôte toute créance à leurs calomnies.
Tout le mal vient de l'homme, et tout le bien vient de Dieu.
Le bien politique, comme le bien moral, se trouve toujours dans un juste milieu.
Il se ferait beaucoup plus de bien dans le monde, si chacun était à sa place, et que le cœur fût le vrai principe de nos actions.
On ne saurait être bien où l'on est quand on pourrait être mieux ailleurs.
On n'est véritablement bien que chez soi.
Les femmes n'oublient que le bien qu'on leur fait.
Voulez-vous qu'on parle toujours bien de vous ? Ne parlez jamais mal des autres.
Il n'est pas d'abus si criant qu'il n'en puisse résulter quelque bien.
Le bien qu'on espère paraît toujours plus beau que celui dont on jouit.
On risque de manquer le bien en ne voulant le faire qu'à bonne enseigne.
Faire du bien à ceux qui souffrent, c'est se faire du bien à soi-même.
Montre ce qu'on peut faire de bien sur cette terre en le faisant toi-même.
Pour sentir le prix du bien que l'on possède, il faut imaginer qu'on l'a perdu.
Le bien n'appartient qu'au sage : son caractère est d'être sans alliage.
Vouloir le bien, que ce soit dans l'amitié ou dans l'amour, est encore la première vérité du cœur.
Aider à la victoire du bien, c'est le but commun des saints et des sages.
Si une femme distingue un homme, il se met aussitôt à penser du bien de lui-même et du mal d'elle.
Vite et bien se trouvent rarement ensemble?