Sans la bonté, la beauté repousse et la laideur effraye.
Quel talisman que la bonté ! elle rend la laideur aimable et la beauté ravissante.
Vérité, Beauté, Bonté : trois filles de Dieu qui ont leur caractère propre, mais qui se ressemblent comme des soeurs.
Qu'est-ce qu'il y a de plus profond au monde ? — La bonté.
Où finit la politesse ? — Où commence la bonté.
La bonté s'est retirée de plus en plus, aujourd'hui elle est devenue faible ; à peine reconnaissable, je crois qu'elle est à l'agonie.
La bonté du cœur est la meilleure et la plus sûre des bontés, elle coule de source.
La bonté n'a pas de plus aimable compagne que la simplicité.
Notre vertu nécessaire est la bonté ; notre défaut capital, la vanité.
La bonté ouvre les cœurs les plus rebelles.
La bonté n'est pas toujours un brevet d'esprit, mais elle vaut toujours autant, et souvent elle vaut mieux.
La bonté du cœur n'enlève à la vivacité de l'esprit que ce que celle-ci pourrait avoir de blessant ; elle arrondit la pointe du couteau, mais n'en affaiblit pas la trempe.
La bonté, trouvant sa récompense en elle-même, est une des vertus qui ne soit pas exposée aux regrets.
La bonté devrait être toujours embusquée derrière chacun de nos mouvements et toujours prête à faire feu, à sa manière, sur le pauvre monde.
La bonté parfaite est la seule qualité humaine digne d'être adorée.
La bonté consiste à ne pas se réjouir des malheurs d'autrui qui ne nous profitent pas.
Sans la bonté pas de vérité. L'observation par les yeux seuls est incomplète.
Souvent on appelle bonté ce qui n'est qu'un manque de présence d'esprit.
La bonté perd un de ses plus grands charmes par la banalité.
La bonté est une force morale supérieure et instinctive.
Il est certain que se sentir porté, conduit, protégé, éprouvé par une bonté paternelle est un sentiment précieux pour notre cœur, et tant qu'on peut conserver cette foi, il faut profiter de ce privilège.
La bonté est la meilleure source de clairvoyance spirituelle.
La bonté, cette divine aumône, a mille formes pour s'offrir. Ici elle se donne avec un temps gracieusement sacrifié ; là, avec un intérêt prêtant une oreille attentive à de longs récits ; ailleurs, avec une sympathie toujours prête à tout, avec une compassion toujours émue : partout avec une indulgence infinie. Elle est la charité que le plus riche peut recevoir, que le plus pauvre peut faire.
Partout où je rencontre la douceur ou la bonté, je me repose avec plaisir ; mais là où je ne trouve ni l'une ni l'autre, je ne puis m'empêcher de passer mon chemin.
La bonté n'a pas de mesure, elle n'a pas de limite. Il n'y a pas à la modérer. Ce ne sera jamais trop. La bonté peut suivre toutes ses inspirations sans les interroger.
La justice est à la bonté ce qu'est la symétrie à la beauté.
Si l'amabilité est si rare, c'est qu'elle demande impérieusement trois qualités peu communes : de l'esprit, du jugement et de la bonté.
La bonté active confine à la domination ; la bonté passive confine à l'indifférence.
La bonté, comme la charité, a ses erreurs et ses méprises.
Par loyauté on voudrait, par bonté on ne peut pas dire : Je ne vous aime plus.
La bonté de la jeunesse est de l'élan ; celle de la vieillesse est de l'indulgence.
La gaieté est presque de la bonté puisque distraire et faire sourire sont de petits bienfaits.
La bonté, tôt ou tard, trouve sa récompense.
Je n'aime pas la bonté des autres, elle est une borne à mon égoïsme.
La véritable bonté ne s'exerce qu'à propos des indifférents : car c'est l'affection qui nous entraîne à faire du bien à nos amis, et le respect de nous-mêmes qui nous conduit à en souhaiter à nos ennemis.
Ceux qui n'ont de bonté que lorsque leur imagination vivement frappé l'excite en eux, ressemblent à ces métaux que le feu peut bien amollir un instant, mais qui reprennent bientôt toute leur dureté.
Quand on trouve réunis chez un homme bonté, savoir et courage, il faut crier au miracle.
La bonté, sans lumières, devient faiblesse, elle se méprend dans ses vues, ignore les moyens de les remplir, et fait souvent le mal avec les intentions les plus belles et les plus pures.
La bonté est le germe de toute grandeur morale.
La bonté est une disposition aimante qui porte à contribuer au bonheur d'autrui.
La bonté est cette disposition aimante qui porte à contribuer au bonheur d'autrui, elle est le germe de toute grandeur morale.
La bonté recueille toutes les véritables jouissances du sentiment, mais elle diffère de lui par cet éminent caractère où se retrouve toujours le secret du bonheur ou du malheur de l'homme : elle ne veut, elle n'attend rien des autres, et place sa félicité tout entière dans ce qu'elle éprouve. Elle ne se livre pas à un seul mouvement personnel, pas même au besoin d'inspirer un sentiment réciproque, et ne jouit que de ce qu'elle donne.
La bonté de la mère est écrite dans la gaîté du marmot.
La beauté, c'est la bonté ; c'est la mer sur laquelle nous flottons.
La bonté vient de l'âme, et la méchanceté du cœur.
C'est la méchanceté des uns qui met la bonté des autres en évidence.
L'esprit, chez une femme, est rarement l'interprète de la bonté.
Les bienfaits de la bonté sont les plus doux des liens.
La bonté du cheval se connaît à la guerre, et la fidélité de l'ami dans la mauvaise fortune.
Rendons chacun heureux à sa façon et à sa guise, non à la nôtre, ainsi le veut la bonté, et ce n'est pas si difficile.
La générosité et la bonté font l'homme?