Les 67 pensées et citations sur générosité. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur générosité :
En politique, la générosité est un mauvais conseiller.
Je ne fais cas ni de l'esprit s'il manque d'élévation, ni du cœur s'il manque de générosité.
La générosité n'a pas besoin de salaire, elle se paye par ses mains.
La générosité est un mouvement spontané et irrésistible qui vous fait embrasser avec chaleur la cause du plus faible contre |e plus fort, c'est le premier attribut de la grandeur et une des plus nobles facultés de l'âme.
Sans les ingrats, la générosité aurait plus de charme que de mérite.
Il faut encore plus de générosité pour bien recevoir que pour bien donner ; la grandeur d'âme prescrit au bienfaiteur d'oublier, et à l'obligé de se souvenir.
Les cœurs qui comprennent et pratiquent le mieux la générosité ne songent pourtant pas à donner aux autres le plus grand des bonheurs, le bonheur de donner ; ils ne permettent pas même, d'ordinaire, qu'on partage avec d'autres la jouissance de leur don.
Rien n'est plus conforme à la nature de l'homme qu'une inclination bienfaisante et libérale, mais elle demande beaucoup de précautions. Elle ne doit être nuisible ni à ceux auxquels nous voulons faire du bien, parce que ce serait plutôt leur faire du mal, ni aux autres, parce qu'elle serait injuste et qu'il n'y a point de vraie générosité sans justice.
La pitié, qui veut le bien d'autrui, elle va jusqu'à la générosité, la grandeur d'âme.
Les gens sans générosité sont, comme les gens sans vaccin, à la merci du premier cancan.
La reconnaissance et la générosité ont besoin de promptitude pour garder tout leur parfum.
La générosité trouve sa science dans son cœur.
Le pacifisme ne serait vraiment une noble doctrine que si l'on était pacifiste par générosité pour l'adversaire, et non par crainte pour soi-même.
Il existe des hommes qui calculent toutes leurs actions comme toutes leurs générosités, et qui savent exactement où finit le devoir et où commence la sottise.
La générosité consiste à se priver soi-même pour donner aux plus démunis.
Forme perverse de la générosité : Rappeler constamment à l'autre les bontés qu'on a eues envers lui, pour le maintenir en état de débiteur.
Mieux vaut la compétition ostentatoire des générosités qu'une apathie dans l'égoïsme repu.
La vraie générosité consiste à faire plaisir sans espérance de revanche.
Au jour des revers, qu'il est toujours sage de prévoir, alors même qu'il est le moins probable, la générosité dont on a fait preuve au jour des succès est l'avantage par lequel on reste supérieur à la défaite, supérieur à son vainqueur s'il est implacable, l'égal de son ennemi s'il se montre magnanime.
On commence par blâmer la générosité ; on finit par l'approuver.
La médiocrité conçoit aussi difficilement la générosité que la peur a de peine à comprendre la gloire.
Notre générosité doit être réglée sur le mérite. Ainsi dans ses bienfaits il faut préférer les gens de bien, et en exclure tous les hommes méchants et ingrats, car ceux-ci en sont indignes. Pour entretenir parfaitement la société qui unit les hommes, on doit aussi donner la préférence à ses parents, à ses amis, à ses concitoyens, et surtout à ses bienfaiteurs ; car il n'y a point de devoir plus indispensable que la reconnaissance. Mais soit qu'il s'agisse de prévenir quelqu'un, où de rendre un bienfait, nous devons, si tout est égal d'ailleurs, préférer celui dont le besoin est le plus grand.
L'avare qui craint un écueil, se jette contre un autre : il ne donne rien, de peur de s'appauvrir ou d'être payé d'ingratitude, et il ne faut pas s'en étonner : comment pourrait être bon pour les autres celui qui ne l'est pas pour lui-même ? S'il lui arrive quelquefois d'être forcé par les circonstances à être libéral, que de regrets ne lui coûte pas sa fausse générosité ! Combien de fois ne se la reproche-t-il pas en secret ! Souvent même son avarice ne peut se déguiser, elle se décèle par quelques traits de mesquinerie qui lui échappent, et qui lui ôtent tout le mérite de sa libéralité. Sa réputation même dépose contre lui !
La générosité est la vertu des âmes sensibles : c'est un noble détachement du bien que l'on possède, en faveur de celui qui se trouve accablé par l'infortune, et qu'on se fait un plaisir de soulager : s'il y a peu d'hommes de cette espèce, s'ils deviennent chaque jour plus rares, c'est que l'égoïsme a isolé tous les cœurs.
La générosité de l'homme donne la mesure de sa tendresse.
L'égoïsme, première grande générosité, envers soi-même.
La générosité n'est souvent que l'aspect intérieur que prennent nos sentiments égoïstes.
La véritable générosité est la plus belle des qualités dont l'âme humaine puisse être ornée.
La générosité ne vit que de faits sublimes ; la bienfaisance est de tous les instants.
La générosité de certains consiste à donner avec l'arrière-pensée de recevoir au double.