Les 60 pensées et citations sur coquetterie :
La coquetterie ne déplait qu'à ceux qui ne sont pas assez aimables pour en profiter. Qui sont ceux qu'elle fait enrager ? Les hommes pour qui on n'en fait pas de dépense, et les femmes laides qui voient les succès d'une jolie petite princesse de société : il n'y a pas de mal à cela !
J'ai en horreur la coquetterie banale par laquelle le commun des femmes se dépense en minauderies et en manèges bons à prendre les alouettes. Je me croirais amoindrie si j'en usais.
La coquetterie n'est pas toujours un appât, elle est quelquefois un bouclier.
Quel que soit son lot dans le mariage, toute jeune femme met sa coquetterie à paraître heureuse.
Je ne croirai à la guerre des femmes contre les hommes que le jour où elles renonceront à la coquetterie pour cesser de leur plaire.
La coquetterie est l'art de marcher sur les frontières de la pudeur, sans les franchir.
La coquetterie prend tout et ne donne rien. Avec elle pas d'échange.
La coquetterie est un besoin tyrannique de s'emparer des autres.
L'amour a son morceau de pain, mais il a aussi cet art d'aimer que nous appelons la coquetterie, mot charmant qui n'existe qu'en France, où cette science est née.
Mensonge mortel : Quand, par coquetterie, on triche fortement sur son poids au moment de faire un saut à l'élastique.
La propreté est la coquetterie des gens sages.
Il ne faut pas moins que la coquetterie des hommes pour servir de contre-poison à celle des femmes.
Qui vaincra ta vertu, femme ? La flatterie, car ton premier vainqueur est ta coquetterie.
Les premières feuilles qui tombent semblent y mettre de la coquetterie, comme les premiers cheveux blancs quand ils paraissent.
Ma dernière coquetterie sera pour mon courage, car il sera mon dernier ami ici-bas.
La plus jolie fille ? Ah ! ceci est un autre défaut. Il est bien de n'être pas laide, mais il ne faut pas avoir tant de beauté que cela. Autrement, gare la coquetterie, le goût des affiquets et tout se qui s'ensuit !
Il y a la coquetterie des refus et l'empire qu'une jeune demoiselle du grand monde se crée sur un mari par d'adroits caprices.
Il est une charmante coquetterie permise, celle de l'âme, et qu'on peut appeler la politesse de l'amour.
Lorsqu'un homme d'esprit se met en frais qui vous paraissent hors de saison, ne soyez pas sa dupe : il coquette avec lui-même.
Le faux bel esprit est aussi opposé au jugement que la coquetterie l'est à l'amour.
Les hommes ont leur coquetterie comme les femmes, mais la coquetterie des femmes leur sert à prendre les hommes, et celle des hommes ne leur sert le plus souvent qu'à se faire prendre.
On ose appeler amour des escrimes de coquetterie qui ne sont pas même des amourettes.
La coquetterie est un hommage et une insulte à la pudeur, c'est un jeu de cache-cache derrière le voile de la pudeur, c'est un manège ignoble, c'est un badinage avec la feuille de vigne.
Il existe pour la femme un crime de plus que pour l'homme, c'est la coquetterie. La coquetterie de l'homme n'est qu'un ridicule, c'est la fatuité.
La coquetterie rétrécit l'esprit, le rend susceptible des misères les plus ridicules ; elle éteint la sensibilité et conduit au plus affreux égarement.
La coquetterie est un mensonge continuel, qui rend une femme honnête plus dangereuse, et presque aussi insupportable que la courtisane qui ne ment jamais.
La coquetterie, c'est la véritable poésie des femmes.
La coquetterie est le fait des femmes et l'œuvre des hommes.
Les femmes soupçonnées de coquetterie réclament d'autres juges que les fats.
Le paratonnerre est à la foudre ce que la coquetterie est aux hommes, elle les attire.