Dieu a pour excuse qu'il n'est qu'infus et diffus dans l'univers. S'il fait souffrir, c'est qu'il souffre.
Celui qui aime Dieu compte bien être aimé de Dieu : son imagination et ses espérances le paient de cet amour qu'il croit désintéressé.
L'amour de Dieu est la seule affection qui ne dépende que de nous. Aussi est-ce la seule qui ne nous trompe jamais.
Celui-là est riche qui est bien avec Dieu.
Dieu ne nous a pas chargés du gouvernail sans faire luire pour nous une étoile.
Dieu, celui que tout le monde connaît, de nom.
Dieu est près de nous, mais Satan est en nous.
On sent Dieu avec l'âme comme on sent l'air avec le corps.
La plus longue vie n'est pas la meilleure, mais celle qui est la plus occupée au service de Dieu.
La véritable joie, et par conséquent la vie heureuse, ne se trouve qu'en Dieu.
Dès que le doigt de Dieu se montre, notre devoir est de nous incliner et de nous soumettre.
Les sacrements sont des canaux par lesquels Dieu descend à nous, comme par l'oraison nous montons à lui. Les effets des sacrements sont différents, quoiqu'ils n'aient tous qu'une même fin qui est de nous unir à Dieu.
Il ne faut point regarder qui est-ce qui nous annonce la parole de Dieu ; il nous doit suffire que Dieu se sert de ce prédicateur pour nous l'annoncer ; et puisque nous voyons que Dieu l'honore tant que de parler par sa bouche, comment pourrions-nous manquer de le respecter et de l'honorer ?
L'homme a besoin d'un Dieu, s'il ne le voit au ciel, il s'en fait un sur la terre.
L'âme trouve dans le silence harmonieux de la nuit et dans les innombrables étoiles qui brillent au sein de l'immensité, la manifestation la plus éloquente de l'existence de Dieu.
On ne peut concevoir ni comment Dieu existe, ni comment il n'existe pas.
Si les hommes avaient une juste idée de Dieu, ils n'auraient plus besoin de ses représentants.
Si Dieu n'a pas écrit dans les nuages : Espérez ou craignez, il l'a écrit dans nos cœurs.
Dieu porte nos sentences, mais nos œuvres les dictent.
Nous devons, en nous conduisant avec les hommes, songer que Dieu nous voit.
L'homme n'est rien sans Dieu, mais Dieu n'est rien sans l'homme.
Dieu voit tout, et entend tout.
Qui ne sent plus Dieu près de soi appartient déjà au diable.
Dieu ne demeure pas au-dessus de nos têtes, mais dans le cœur de l'homme.
Quand nous chantons les louanges de Dieu, il faut considérer que nous faisons le même office que les anges, quoiqu'en divers langages, et que nous sommes devant le même Dieu, en présence duquel les anges tremblent.
Dieu ne ferme jamais toutes les portes à la fois.
Dieu, hostie ou pas, est un plat qui se mange froid.
Dieu fait tout pour le mieux.
Dieu n'est pas l'auteur de vos misères.
Dieu est le géomètre de toutes les perspectives.
Dieu est le plus ancien des êtres, car il est par lui-même.
Dieu seul, tout-puissant, peut donner des récompenses proportionnées aux mérites !
Dieu reste muet, si seulement nous pouvions convaincre l'être humain d'en faire autant.
Dieu seul peut faire de rien quelque chose.
Dieu c'est le temps qui s'éternise.
Dieu est la plus riche et la plus personnelle conception humaine.
Dieu mit le remède dans le mal.
Dieu seul est Dieu.
Dieu est l'âme du monde, répandue dans toutes les parties de l'univers, auquel elle communique le mouvement et la vie. Cette âme, flamme artisane, pénétrant la matière inerte, a formé le monde, elle le dirige et le conserve.
Dieu n'est rien s'il n'est pas dépassement de Dieu dans tous les sens.
Dieu, une sorte d'idole féroce et jalouse qui ne tolère pas la moindre infidélité !
Dieu seul est juste et bon.
Dieu est la bonté, la vérité, la morale, la justice.
La connaissance de Dieu échappe à notre âme enfermée dans la matière, mais ce qui s'exhale de son essence, nous le sentons parfois et nous disons : C'est Dieu.
Dieu mesure la charge aux épaules?