Les citations parents.

De tous nos bons parents honorons la vieillesse, et par des soins touchants soulageons leur faiblesse.

Les parents s'arrogent le droit de nous dire impunément les choses désagréables ; les amis se gênent d'autant moins pour nous qu'ils se croient plus intimes. C'est avec les indifférents que les relations sont les plus faciles, puisque le monde agit à l'inverse des sentiments qu'il devrait avoir.

Qu'est-ce qu'un parent éloigné ? — Celui qui ne vous flatte pas.

Avoir des parents éclairés et tendres, c'est commencer la vie sous d'heureux auspices. Leurs soins dirigent nos premiers pas, adoucissent nos premières peines, et déposent dans nos cœurs le germe des affections qui doivent, en se développant, servir un jour à notre félicité.

À père, a mère, à Dieu tout puissant, nul ne peut rendre l'équivalent.

Respectez toujours l'opinion de vos parents lors même qu'elle n'est pas conforme à la vôtre.

Il y a des parents qui se vengent sur leurs enfants de la mauvaise éducation qu'ils leur ont donnée.

Dommage qu'on ne connaisse ses parents que lorsqu'ils commencent à vieillir, à perdre ce qui faisait d'eux des êtres humains.

Il ne manque pas de parents et de maitres qui ne connaissent qu'un moyen de n'être jamais désobéis, c'est de ne rien commander.

L'amour c'est mon père, et l'amour c'est ma mère.

Ce n'est pas assez d'honorer vos parents par votre respect et par votre obéissance, il faut aussi les honorer en les assistant. Nourrissez votre père, nourrissez votre mère si elle est dans le besoin. Quand vous l'aurez nourrie, vous ne lui aurez pas encore rendu tout ce qu'elle a souffert et tout ce qu'elle a fait pour vous. Vous lui devez ce que vous avez, puisque vous lui devez ce que vous êtes.

Le respect des parents est une loi qu'on ne transgresse qu'à ses dépens.

Il dépend des parents de faire de leurs enfants ou des hommes ou des brutes.

Parents : individus falots dont la fonction consiste à engendrer des étudiants.

Parents, faites du bien à vos enfants, éduquez-les, punissez à regret. Commencez par être bons, ensuite soyez justes, c'est une des principales maximes de la vie de famille.

Toujours je regretterai, maman, papa, de vous avoir fait pleurer au temps où nos cœurs ne se comprenaient pas.

Des qualités identiques chez les parents peuvent se muer chez l'enfant en de sérieux défauts.

Un père aime toujours plus qu'une mère sa fille.

Nous devons à nos parents le respect, l'amour, l'obéissance et les services. À quelque dignité même qu'on soit élevé, ou doit toujours avoir du respect pour ceux de qui on a reçu la vie ; et il faut leur en donner des marques extérieures, en les saluant avec honneur, en leur parlant avec soumission, en les visitant avec amitié, en les prévenant par de certaines attentions qui les flatteront d'autant plus qu'elles seront des hommages libres et publics.

On ne choisit pas ses parents, rarement sa religion, à peine ses amis et sa femme ; ainsi presque tout dont dépend ou le bonheur ou le malheur de l'homme échappe à sa judiciaire.

Les enfants d'aujourd'hui ne trouvent plus personne quand ils rentrent chez eux. Jadis, les parents étaient à leur poste, même les plus pauvres, même ceux dont la vie était difficile et encombrée de travail, pour embêter leurs rejetons, leur faire réciter les leçons, contrôler si les devoirs étaient écrits, pourchasser les fautes d'orthographe, examiner les problèmes, donner des idées les rédactions.

On n'a pas de meilleurs amis que ses parents.

Eh oui, le problème des enfants, c'est toujours le même : ils ont toujours des parents beaucoup plus vieux qu'eux !

Souviens-toi que l'obligation que tu as à tes parents de t'avoir aimé et élevé n'est pas moindre que celle de t'avoir donné le jour.

Tout le monde a de bons parents, il suffit de leur parler.

Les parents faibles ne sont que des parents coupables qui font le malheur de leurs rejetons.

Un père et une mère sont nos premiers amis, ils sont les mortels à qui nous devons le plus.

Les bons parents font les bons enfants.

Si l'on n'y prend garde, on finit par croire que les plus grands scélérats de la terre sont nos parents, nos amis, nos connaissances et nos voisins, parce que les défauts, les vices, les bizarreries des parents, des amis, des connaissances et des voisins des autres ne nous atteignent pas.

Faites de l'amour des parents un sentiment et un précepte, mais n'en faites jamais une thèse, une simple démonstration.

Aimer ses parents c'est prendre sur soi, agir par sa volonté pour leur faire plaisir.

Les parents préfèrent généralement le salut de leur progéniture à leur salut.

On n'est pas toujours obligé d'avoir ses parents pour amis, mais il est décent de vivre avec eux comme s'ils l'étaient, et de cacher aux gens trop curieux les éventuelles discordes au sein de la famille.

Un des plus clairs effets de la présence d'un enfant dans le ménage est de rendre idiots de braves parents qui, sans lui, n'eussent peut-être été que de simples imbéciles.

De tous les devoirs des parents, le principal est la bonne éducation de leurs enfants.

Un père et une mère sont naturellement nos premiers amis ; personne d'autre au monde à qui nous soyons plus redevables.

Les parents sont des montagnes que l'on passe sa vie à essayer d'escalader, en ignorant qu'un jour c'est nous qui tiendrons leur rôle.

Respecte ton père et ta mère, et tes proches parents.

Dans la vie on fait tout pour échapper à ses parents, et puis un jour, on devient parent.

On peut rester amis toute la vie, mais il est malheureusement prouvé qu'on est parent que jusqu'à un certain âge.

Mes parents avaient vécu quarante ans ensemble, mais par pure animosité.

Honore ton père et ta mère, si tu veux vivre longtemps.

Un parent pauvre est toujours un parent éloigné.

Auprès de ses parents, les plaisirs sont plus doux et les malheurs moins grands.

Honorez votre mère et père, et vos parents.

Aime tes parents, et s'ils te causent quelques incommodités légères, apprends à les supporter.

Pères et mères sont les architectes de l'éducation.

Le bon père, la bonne mère sont les vrais modèles, les images vivantes de l'éducation.

Nos parents jugent plus sûrement que nous de notre propre intérêt, avec la lucidité du leur.

Père et mère, c'est mari et femme ; l'homme et la femme ne sont qu'une même chair.