Mes affaires sont mes affaires, elles ne vous concernent pas.
Ceux qui ont assez de connaissances et de tact pour, de prime abord, voir les affaires comme elles doivent être envisagées, sont propres à gouverner.
Rien n'aide à expédier le gros des affaires comme une santé prospère ; une santé faible met trop souvent en vacances.
On ne prend intérêt aux affaires des autres qu'autant qu'elles offrent un côté plaisant ou d'argent.
Pour réussir dans les affaires, le bon sens vaut mieux que l'esprit.
C'est bien mal entendre ses intérêts que de ne vouloir plaire qu'à certaines personnes. Celui qui se fait aimer de tout le monde entreprend peu d'affaires qui ne lui réussissent ; chacun s'empresse à l'obliger : on rougirait de faire de la peine à celui qui ne cherche qu'à faire plaisir aux autres, qu'à s'en faire aimer.
Les affaires les plus épineuses laissent toujours une porte entre-baillée pour en sortir : le point est de savoir la trouver.
On commence par se pousser dans les affaires, et plus tard ce sont les affaires qui nous poussent.
L'homme d'affaires veut toujours avoir l'air d'être occupé ; quand il ne les fait pas, il court les affaires : voilà pourquoi on le voit toujours galoper en flairant comme lévrier en quête.
On croit avoir tout découvert mais, en fait, personne ne sait d'où viennent les idées reçues ni où sont expédiées les affaires courantes.
Les affaires de cœur gagnent à n'être pas réglées par un coup de tête.
En affaires, l'essentiel est de prendre un parti, quel qu'il soit.
Les hommes donnent l'impulsion aux affaires, et les affaires entraînent les hommes.
Les affaires de famille, c'est toujours de sales histoires.
L'homme vivrait heureux s'il s'occupait aussi peu des affaires d'autrui que des siennes !
La philosophie a cela de bon qu'elle ne se mêle jamais des affaires d'autrui.
Il est dans la nature de l'homme de s'occuper outre mesure des affaires des autres.
Chacun doit se dépêtrer de ses affaires par lui-même.
Le silence est de rigueur, la franchise une indiscrétion, pour ce qui concerne les affaires d'un ami.
Il faut s'occuper de ses affaires et ne jamais se mêler de celles des autres, à moins qu'on n'en soit prié, ou que ce ne soit pour rendre service.
Il faut tant faire se peut ses affaires soi-même ; les laisser faire par d'autres, elles seront négligées.
Où fait-on de mauvaises affaires ? Exclusivement dans les affaires.
Ne cherchez pas à vous immiscer dans les affaires dont vous n'avez pas la charge.
Que j'aime les gens qui s'occupent de leurs propres affaires et veulent bien, sans s'en mêler, permettre aux autres de s'occuper des leurs !
Le véritable homme d'affaires est supérieur aux petites vanités qui souvent coûtent beaucoup et ne rapportent jamais rien. Il met son faste à n'en point avoir ; il laisse aux autres l'étalage et la parade, et se réserve le solide.
La plupart des gens s'occupent plus des autres et de leurs propres affaires.
On trouve plus facile d'arranger les affaires des autres que les siennes.
Après avoir voulu arranger mes affaires de conscience, elle veut arranger mes affaires de cœur.
Qui veut se mêler des affaires de femme, tout espoir de repos doit sortir de son âme.
Un homme d'affaires qui défend l'innocence opprimée s'arrange toujours pour y trouver quelque profit.
Les grandes affaires éprouvent les génies élevés, comme les violentes tempêtes, les bons pilotes.
Si les affaires ne vont pas ici, tu te déplaces !
L'honneur sans bénéfice dans ses affaires, ce n'est qu'une bague au doigt.
Qui a des affaires claires n'a des avocats que faire.
L'idéal est de se mêler de ses affaires, sans trop se mêler dedans.
Il y a beaucoup d'idiots dans les affaires, ce qui explique bien des choses.
Celui qui parle de ses affaires à tout le monde les verra souvent échouer.
La curiosité est le défaut des femmes, mais c'est aussi celui de tous les désœuvrés : les gens oisifs sont ordinairement les plus curieux. Ceux qui ont des affaires ne s'inquiètent guère de celles des autres : les moins occupés sont toujours ceux qui s'occupent le plus de ce qui ne les regarde point.
Telle est l'imperfection de notre nature : nous voyons et jugeons toujours beaucoup mieux les affaires d'autrui que les nôtres.
Les petites affaires sont des victimes qu'il faut toujours sacrifier aux grandes vues.
Il en est qui parlent de Dieu en hommes d'affaires, et des affaires avec une sorte de religieuse onction.
Les faiseurs de phrases sont souvent des faiseurs d'affaires.
Mieux vaut de petites affaires sans soucis que des grandes avec des craintes.
Évitez de vous mêler des affaires publiques.
Un bon esprit dans les mauvaises affaires diminue le mal de moitié.
Les femmes pures de toute pensée vénale n'associent jamais l'intérêt à l'amour, mais elles mettent tant d'amour et de passion dans les questions d'intérêt, qu'elles sont impossibles en affaires.
Il y a une telle liaison entre toutes les affaires du monde qu'une seule dépend de plusieurs autres, et qu'on n'est maître de rien.
Tel veut me démêler d'épineuses affaires, qui vient à son égard d'embrouiller les plus claires.
Les affaires ne dispensent pas des formes usuelles de la politesse et du savoir-vivre.
L'homme découragé reste indécis parce qu'il ne voit devant lui que de mauvais partis, et ce qu'il y a de pire dans les affaires, c'est l'indécision.
Les affaires à propos de fidélité, même en amour, c'est purement une question de tempérament.
Les précautions sont toujours utiles en affaires, que chacun prenne les siennes.
Trop et trop peu de secret sur nos affaires témoignent également une âme faible.
Qui mène ses affaires lui-même n'a pas les mains liées?