Les citations biens.

Chacun songe en veillant, il n'est rien de si doux ; par ce prestige heureux tous les biens sont à nous.

Il y a deux biens réels en ce monde : dans l'ordre physique, la santé ; dans l'ordre moral, la liberté. Le reste est vain.

Respectez les biens d'autrui si vous voulez posséder tranquillement les vôtres.

Les seuls biens solides sont les affections sérieuses et le travail, le reste ne vaut pas le zeste d'un citron.

Ôtez au sage les richesses, tous ses vrais biens lui resteront ; car il vit satisfait du présent, tranquille sur l'avenir.

Il y a encore de nos jours des gens qui préfèrent au plaisir de s'enrichir par une bonne affaire celui de garder les biens qu'ils ont, de prouver au monde qu'ils ont une volonté et n'en démordent pas.

Le caractère des vrais biens est d'être inépuisables et accessibles à tous. Tout bien qui ne se partage pas n'a qu'une fausse valeur.

Il est deux sortes de biens, les grands : Amitié, amour, gloire, pouvoir, richesse ; et les petits : L'amour tout fait, les livres, le vin, le tabac, le soleil, les roses. Un bohème de ma connaissance dit que les petits sont les grands !

Quand un homme n'a pas de grands biens, il peut être chiche sans mériter d'être blâmé. Être économe a toujours passé pour une marque de prudence, et celui qui a le bonheur d'avoir cette qualité, ne saurait se passer d'être en quelque manière chiche, sans quoi adieu l'économie.

C'est des biens qu'on s'inquiète et non de la probité, de la réputation : Est-on honnête homme, mais pauvre, on ne vaut rien. Un fripon, s'il a de l'argent, est estimé.

Entre ses biens et ses maux, la société garde un équilibre que les réformes les mieux intentionnées compromettent.

Tous les biens véritables de ce monde sont de ceux qui ne peuvent s'acheter : ni la santé, ni l'amour, ni le bonheur, ni la beauté. Grande consolation de penser que les pauvres peuvent posséder ces trésors tout aussi bien que les riches.

Employez vos biens à faire des heureux, et à rendre la vie plus douce aux infortunés.

Quelques biens qu'un homme ait amassés, quand il mourra, il n'emportera rien avec lui.

On ne jouit que des biens partagés.

Pour les biens de l'esprit, il n'y a que l'excédant ; pour les biens du corps, il n'y a que le nécessaire qui compte.

L'amoncellement de biens ne saurait se justifier : il ne peut être utile que dans la mesure où il sert l'intérêt général.

Les seuls biens légitimes sont ceux que nous offre avec plaisir une main libérale.

Celui qui a peu de biens n'est pas pauvre, mais celui qui en désire l'est extrêmement.

Entre deux vrais amis, la communauté des biens est une justice et un devoir.

Les biens que l'on désirent empêchent de jouir de ceux que l'on possède.

La santé et la sagesse sont les premiers de tous les biens.

Les biens d'un homme ne sont pas dans ses coffres, mais dans l'usage qu'il en tire.

Un mariage de convenance est une union entre gens qui souvent ne se conviennent pas, quand les biens de l'un sont la ressource de l'autre.

De tous les biens, celui qu'on chérit le plus et qu'on ménage le moins, c'est la santé.

Nous n'estimons que les biens dont les autres nous envient la possession.

Gloire, vrais biens, bonheur, tout est dans les travaux ; ils causent nos plaisirs et dissipent nos maux.

La sagesse consiste à prendre avec mesure les biens et les plaisirs que donnent la nature.

Les biens et les maux que le sage éprouve contribuent à sa perfection, c'est ainsi que le soleil et la pluie concourent à fertiliser la terre.

L'abus de biens sociaux commence dans les grands restaurants quand, aux frais d'une entreprise, on traite ses affaires de cœur.

Si vous possédez des biens, augmentez-les avec honneur, on ne saurait décliner sans honte.

Si les hommes ouvraient un jour les yeux sur la nature des biens qu'ils désirent, et qu'ils revinssent d'un commun accord aux productions de la terre, les gens qui ne sont qu'opulents seraient bien étonnés.

On n'aime que les biens qu'on acquiert avec peine.

On ne peut pas faire un meilleur usage des biens de la terre que de les faire servir à des œuvres de charité. Par-là, on les fait en quelque sorte retourner à Dieu qui est leur source, et qui est aussi la dernière fin à laquelle toutes choses doivent se rapporter.

Les biens et les maux de la vie sont communs aux bons et aux méchants.

Les biens ne sont faits que pour en user.

Aux biens que ravît la violence, préfère les biens que dispensent les dieux.

Dans la mer, il y a des biens sans nombre, mais si vous cherchez la sûreté, elle est sur le rivage.

C'est posséder les biens que savoir s'en passer.

Les vrais biens produisent la grandeur d'âme ; les richesses, l'insolence.

Les vrais biens inspirent de la confiance ; les richesses donnent de l'audace.

L'amitié est imparfaite quand on ne met pas en commun les biens et les maux.

Voulez-vous, dans vos feux, trouver des biens durables ? Soyez moins amoureux ; devenez plus aimables.

Les biens qui nous arrivent ne sont jamais en raison des maux que nous avons soufferts pour les avoir.

C'est simplesse quand biens on accumule, et ne servent à rien ; de paradis par ce point on recule, en se liant d'un infernal lien.

Il faut savoir mépriser les biens présents si l'on veut jouir de ceux qui n'ont pas de fin.

De tous les biens du monde, je ne veux qu'amour pour amour.

Une âme généreuse ne perd jamais la mémoire des biens qu'elle a reçus, mais elle oublie ceux qu'elle a faits.

La liberté est le plus grand des biens et le fondement des autres.

L'immortalité est le plus grand des biens que l'homme demande aux dieux.

Ceux qui ont le plus de biens ont aussi le plus de soucis.

Nous voyons en autrui les biens, mais non les maux.

Plus triste que de perdre ses biens, c'est de perdre son espérance.

Tous les biens de l'avare, et l'or qu'il met en tas, ne sont pas plus à lui que les biens qu'il n'a pas.

La satisfaction de l'esprit est le plus grand de tous les biens.

Les grands besoins naissent des grands biens.

Les insensés négligent et méprisent les biens dont ils jouissent, c'est vers l'avenir qu'ils tournent toutes leurs pensées ; les sages se rendent présents par le souvenir les biens dont ils ont joui, et même après les avoir perdus, ils en jouissent encore.

Les biens et les maux naissent de la nature des choses.