Les caresses familières, ces délices des jeunes époux.
Berce-moi de tes caresses, endors-moi dans ton bonheur.
Rien ne lasse plus un cœur que des caresses qui ne sont pas rendues.
L'aigreur révolte le plus sage, et les douces paroles, que les caresses accompagnent, calment le plus insensé.
Rien n'est plus chaste et plus sacré que les caresses de deux êtres jeunes et beaux.
Les caresses ont des griffes : jeunes gens, approchez !
Un bel automne ne fait pas plus oublier un vilain été qu'une caresse ne fait oublier une injure.
La louange a bien des manières de se faire payer ses caresses.
Ménagez de l'amour les charmantes faiblesses, il fuit la tyrannie, et se rend aux caresses.
L'empire de la femme est un empire de douceur, d'adresse et de complaisance ; ses ordres sont des caresses, ses menaces sont des pleurs.
La caresse trompeuse a été inventée par la femme. Quand les femmes se caressent, elles s'égratignent.
On est si heureux en recevant les premières caresses de la personne que l'on aime, surtout quand la pudeur, la crainte, les convenances ont longtemps retardé ce moment-là.
Il y a deux choses chez la femme : sa caresse et sa tendresse.
La caresse de l'œil sur la peau est d'une excessive douceur.
La caresse d'un être aimé endort notre douleur mieux que tous les raisonnements du monde.
Bons baisers à ta dame, caresses aux enfants, ou inversement. Ciao !
Les longs baisers et les longues caresses font les longs amours.
L'amour, c'est la soif de tendresse, le besoin de caresses, de sympathie, de vie à deux.
Celui qui se croit malheureux souffre autant que celui qui l'est réellement, mais parfois une caresse suffit pour le guérir.
Quel est le mari qui oserait prendre avec sa femme les libertés délicieuses que pratiquent aussitôt les amants ? Et c'est là le plus grand prix de l'amour : l'audace des baisers. En amour, il faut oser, oser sans cesse. Nous aurions bien peu de maîtresses agréables si nous n'étions pas plus audacieux que les maris, dans nos caresses, si nous nous contentions de la plate, monotone et vulgaire habitude des nuits conjugales.
La fête des corps n'a pas d'âge pour ceux qui acceptent que les caresses et les abandons puissent s'offrir et se recevoir sans s'imposer, sans exigence, sans aucune censure.
L'amour a l'instinct du suicide, car il pousse aux caresses, et la caresse suprême le tue ; et si elle est refusée, elle tue l'amoureux. C'est donc une flamme qui a besoin de brûler, c'est-à-dire de détruire son aliment, c'est-à-dire de s'annuler elle-même.
La caresse est le produit d'un long polissage de la bestialité.
La femme tout à fait heureuse se résume en une caresse, en un baiser, en un soupir.
Il n'est rien de plus dangereux qu'une femme quand elle emploie les caresses.
Les petites caresses mènent à d'autres, l'amour invite à les renouveler.
Vénus, douce aux caresses, résiste au commandement.
L'amour commence par des caresses et finit bien souvent par des claques.
Une seule de tes caresses me fait oublier dix ans de chagrin.
La caresse, c'est l'épreuve de l'amour.
Pour brûler du même feu, il suffit d'une caresse.
Les plus douces caresses ne sont pas celles où nous reconnaissons l'intention de nous plaire.
Toute caresse toute confiance se survivent.
Les caresses sont la salle d'attente de l'amour.
La chair des femmes se nourrit de caresses comme l'abeille de fleurs.
Un homme qui vous étouffe par trop de caresses est un homme qui a des choses à se reprocher.
De tes caresses bijou, partout, partout... je savoure le goût de ta peau cachou.
Y'a pas de caresse en fermant les mains.
Sachez que la caresse est une laisse, une corde, une chaîne plus solide que la plus solide des chaînes.
Certains visages semblent avoir été modelés par d'habiles caresses, d'autres par des caresses maladroites.
La caresse est mère de tous les vices.
La main qui donne la gifle ou la caresse est la même, simple différence d'intention et d'intensité.
Si tu ne sais pas quoi faire de tes mains, transforme-les en caresses.
Femme et mule obéissent aux caresses.
Une caresse ne touche certains êtres que dans la mesure où elle les tue.
La seule caresse que je n'aie jamais su accorder à mon mari, c'est le tutoiement.
Il y a tant de caresses permises ! J'en étais arrivée à ne plus embrasser mon mari !
On a dans l'âme une tendresse où tremblent toutes les douleurs, et c'est parfois une caresse qui trouble, et fait germer les pleurs.
Les caresses enlèvent aux serpents leurs morsures.
Chaque enfant est une parole prise à la nuit, une caresse du temps.
Le désir s'exprime par la caresse comme la pensée par le langage.
Caresse de femme, caresse de chatte.
On reconnaît l'amitié à ses effets, gardons-nous des fausses caresses, et discernons les faux amis.
La moindre caresse de l'amour laisse loin en arrière les plus vives avances de l'amitié.
Pour ranimer notre sentiment, rien de plus sûr qu'une caresse ; douce caresse est un aimant, pour l'amitié, pour la tendresse.
Un âne en caresse un autre?