Il suffit d'un sourire pour que l'âme entre dans le palais des rêves.
Les rêves prolongent du bonheur le plus doux sentiment.
L'homme éveillé choisit ses rêves ; celui qui dort les subit.
Après le rêve qui n'appartient pas au sommeil, le réveil nous montre la terre peu belle.
Les rêves ont été créés pour qu'on ne s'ennuie pas pendant le sommeil.
Il faut savoir se prêter au rêve lorsque le rêve se prête à nous.
Combien longue est la nuit du temps sans limites comparée au court rêve de la vie !
Les vrais rêves, les plus dangereux, sont ceux que l'on fait étant éveillé.
Les rêves, la folie et l'ivresse prouvent que notre âme dépend beaucoup de notre corps.
Dans ses rêves le jeune homme imagine l'avenir, le vieillard revoit le passé. Aussi, le rêve a-t-il pour l'un le charme de l'espérance, pour l'autre l'amertume du regret.
Les rêves sont des messages qui nous sont envoyés dans la nuit. Si nous les oublions au réveil, ces messages sont définitivement perdus.
Les rêves, ce reste des brumes de l'enfance qui traîne toujours au fond de nous.
Enfant, je croyais qu'être adulte c'était avoir la possibilité de faire ce que je voudrais, j'ai grandi avec ce rêve-là. Il m'a porté longtemps et même si aujourd'hui je sais qu'être adulte ne permet pas toujours de réaliser tous ses désirs, cette dynamique-là me stimule encore et va faire que je réalise quand même pas mal de mes rêves !
Il est de ces bonheurs qui défient le rêve.
Ne pars avec le rêve que si tu peux rentrer avec la raison.
Le poète croit nous enivrer de son rêve, il ne fait qu'éveiller le nôtre.
Réaliser son rêve c'est perdre son rêve sans trouver le bonheur.
Le rêve est l'espérance de ce que la raison n'ose espérer.
Sans espérance il n'y a pas de désirs, mais des rêves ou des regrets.
Le rêve, c'est le Moi qui pense oublié par le Moi qui veut.
L'amour est le père des illusions, le créateur des espérances, des rêves et des passions.
Sans rêve, on devient un animal morne, un promeneur égaré.
L'espérance est un rêve qu'on fait éveillé.
Tous les rêves ont un prix.
L'esprit humain a une grande affinité pour le rêve qui le conduit sans efforts vers des pays enchantés.
Le rêve, c'est la roue libre de l'esprit.
On passe une partie de sa vie à se créer puissant et généreux en rêve, puis, quand la rêverie perd un peu de son ardeur, on a de la peine à refréner les élans excessifs de ce faux personnage qui voudraient persister dans la réalité.
Vous n'êtes plus rien pour elle ; du moment qu'elle ne trouve plus en vous son rêve.
Les rêves nous aident à nous défendre contre les inquiétudes.
Pendant douze ans on a fait chambre commune mais rêve à part.
Mes rêves ne me rapportent rien, et c'est pour cela qu'ils me sont chers.
Les rêves sont fous et les réveils tristes.
Le rêve est un tunnel qui passe sous la réalité.
La fuite à l'égard du rêve, c'est le réveil.
La vie n'est que le rêve d'une ombre : je l'ai senti de nouveau ce soir avec intensité. Je ne m'aperçois moi-même que comme une apparence fugitive, comme l'impalpable arc-en-ciel qui flotte un instant sur la bruine, dans cette formidable cascade de l'être qui tombe sans relâche dans l'abîme des jours.
Rien ne vaut les premiers rêves des hommes !
Le bonheur est le rêve d'un rêve, l'idéal de la réalité, car la réalité ne suffit à personne.
Il est donné à peu d'hommes de saisir leur rêve dans cette vie.
Le rêve est un commencement de folie, quand il se prolonge au-delà du réveil, c'est la folie même.
Le rêve est la vraie victoire sur le temps.
Le rêve a son souvenir comme la réalité.
Le rêve, c'est l'instant où tombe enfin la robe des clairières.
Il est des rêves qui nous bordent et nous bercent, et d'autres qui nous froissent et nous blessent.
Le repos est un rêve ; la vie est un orage.
Un rêve est un capital placé sur la déception.
Tous nos rêves s'envolent au chant du coq de la réalité.
Relâche est le ballet des rêves qui ne donnent pas mal à la tête.
Le rêve est parfois la seule vraie gaieté de la vie.
Il y a entre mes rêves et ma vie un abîme que je sens.
La solitude est douce, l'âme s'y berce dans ses rêves.
On ne marchande pas avec les rêves, les hasards et les coïncidences.
Au fait, pourquoi il ne faut pas raconter ses rêves ? — Les gens, ils se croient des petites merveilles, tout ce qu'ils font, tout ce qu'ils sont. Ils s'attribuent une importance... Alors, s'il fallait, par-dessus, encaisser le récit de leurs rêves, on n'en finirait plus.
Qui sait si chaque événement ne réalise pas un rêve qu'on a fait, qu'a fait un autre, dont on ne se souvient plus, ou qu'on n'a pas connu ?
Vivez votre rêve, mais ne le réalisez pas.
Il est des êtres doués d'une naïveté bienheureuse ! Leur vie est un long rêve de succès, et chaque jour réalise le rêve avec tant de complaisance que leur modestie ne peut y suffire.
Le rêve, c'est le luxe de la pensée.
Le désir est l'excitateur du rêve ; la réalisation de ce désir forme le contenu du rêve.
L'interprétation des rêves est la voie royale de la connaissance de l'inconscient.
Le monde des rêves est le plus merveilleux de tous les pays.
Qui trop rêve a toujours la tête dans les étoiles?