Les 65 pensées et citations sur sang. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur sang :
Le cercle des proches par le sang est souvent le moins proche par le cœur.
Les gens emportés oublient immédiatement l'objet de leur colère et sont fort étonnés qu'on se souvienne de leur emportement. Il n'y a que le mauvais sang qu'on refoule et qu'on avale qui vous reste sur le cœur.
Les médisants sont semblables aux sangsues. Ils ne se nourrissent que des mauvaises qualités des hommes comme les autres ne vivent que de mauvais sang.
Les liens du sang ont une force étrange, et dans les malheurs il n'y a rien qui vaille l'affection d'un parent.
Chacun lutte comme il peut contre l'angoisse de la mort et la solitude ; tracer des mots pour les écarter ne constitue pas l'un des plus mauvais moyens inventés par l'Homme. Aujourd'hui, alors que mon capital de sable a dangereusement baissé dans le haut du sablier, il m'arrive de sentir avec une acuité poignante cette incessante hémorragie de temps vivant qui s'écoule de moi ; je perds mon temps comme un sang précieux, alors que je n'en ai jamais eu autant besoin.
Une seule goutte de sang gratuitement répandu est plus qu'un crime ; ce qui ne pèse guère sur les consciences politiques de notre âge d'or, c'est une lourde bévue.
La douleur est une blessure qui saigne lorsque la touche toute autre main que celle de l'amour et, même alors, peut se remettre à saigner, bien que ce ne soit pas de souffrance.
La pensée, c'est le sang de l'âme, sang blanc comme le lait d'une nourrice.
Les révolutionnaires ne font jamais une révolution. Ou ils rampent, ou ils marchent sur des échasses. Ils ne montent jamais au pouvoir, n'ayant pas de force escaladante ; ils ne le prennent que quand il est couché sur le dos, dans le sang ou dans la boue !
Le lait c'est le sang chaste et inviolable que la maternité fait jaillir.
Il faut au jeune sang peu de chaleur pour bouillir.
Vivre c'est déperdre son sang, ses forces, ses affections, ses illusions, ses espérances.
Quand l'enjeu est de sauver son âme, on ne doit rien prendre en compte, pas même une amitié deux fois séculaire et soudée dans le sang.
Le plus décourageant dans les gouvernements démocratiques, c'est qu'ils sont composés de petites gens timorées, qui ne veulent pas avoir de sang sur la conscience. Ils déguisent cette pusillanimité sous de belles attitudes en expliquant qu'il ne faut pas répondre à la violence par la violence, parce que cela fait le jeu de la barbarie.
Les tyrans ribotent avec le sang.
Le chemin du ciel est inondé de larmes et de sang, embarrassé de ruines et de cadavres, amoncelés par le fanatisme.
Les sanglantes exécutions de la justice n'éteignent pas la soif du sang dans les scélérats, elles l'excitent.
On achète avec de l'argent ce qu'autrefois on achetait avec son sang (c'est-à-dire avec son temps, son énergie, sa persévérance, son sens du devoir, etc.)
Le sang chaud engendre les chaudes pensées.
Les caresses des tyrans sont dangereuses comme celles des lions, qui, en léchant, se mettent en goût du sang.
Le principal succès des méchants est de nous ôter la paix et le sang-froid.
L'amour est frère de la mort, il sait boire à la coupe de sang.
Sang : Liquide moitié physiologique, moitié symbolique.
Les rhésus sanguins appartenant au groupe électrogène sanguinaire indépendant ne sont pas avalisés par la banque du sang.
Dans l'intérêt de la sécurité routière hématologique, j'estime et trouve, et réciproquement, que les excès de vitesse de sédimentation doivent être sévèrement réprimés par les agents pathogènes de la police sanguine.
Rien ne rafraîchit plus le sang que le souvenir d'une sottise qu'on n'a pas dite.
À quel âge sait-on que le temps est aussi précieux que le sang, et que le perdre, c'est répandre sa vie tout aussi bien que si l'on s'ouvrait les veines ?
Le récit d'une bonne action rafraîchit le sang.
La loi qui fait couler le sang familiarise avec le sang ; l'échafaud est l'école de l'assassin, comme les boucheries sont l'école des bourreaux.
Il y a entre la vaillance et le goût du sang exactement le même rapport qu'entre l'amour et la débauche.