Les citations d'auteurs et de poètes célèbres :
Un homme doit être fort, mâle, se faire place au soleil, lutter contre les hommes.
L'amour a peu de chances d'émouvoir un petit cœur sec et personnel.
Sans les nymphomanes, l'homme serait moins désiré.
L'homme fait partie du cosmos comme la fourmi de la nature. C'est-à-dire sans rien comprendre au phénomène qui l'a placé là.
Il faut plus d'un jour pour faire le tour d'un homme.
Dieu a créé l'homme pour le monde, et celui-ci n'est pas conçu pour le perdre, mais pour l'aider à remplir sa vocation, qui est d'être heureux sur terre.
L'homme en société est un esclave qui travaille sans cesse à user ses chaînes.
L'homme est un atroce animal, à la fois insatiable, cruel et fou.
L'homme n'est homme que par les deux plus petites parties de son corps, par son cœur et par sa langue.
L'homme se croit une énigme et n'est peut-être qu'un rébus.
L'homme doit toujours être en étonnement de l'homme, dans tout et pour tout.
Je me sens plutôt l'homme que un homme, espèce qu'individu.
S'il est vrai que Dieu a créé l'homme à son image, il est par conséquent à l'image de l'homme. Eh bien ! bon Dieu !
Tel est l'homme : toujours diaphane, il croit être quelque chose en soi-même, il n'est rien qu'une transparence.
L'homme ne peut devenir homme que par l'éducation, il n'est que ce qu'elle le fait.
Il se met aussitôt une rouille interne infiniment plus dévorante que la rouille externe du fer à tout ce qui procède de l'homme.
L'homme mâle traverse l'amour plutôt qu'il n'y peut vivre à poste fixe.
L'homme qui gesticule trop ressemble à un singe.
L'homme peut devenir eunuque ; l'eunuque ne redevient pas homme.
L'homme par lui-même n'est rien, c'est un ballon qui n'est par lui-même qu'un vaste chiffon, dont la grandeur, la beauté et la puissance dépendent uniquement du gaz qui le remplit ; ce gaz se nomme religion, liberté, orgueil, colère, etc... En un mot, tout dépend du sentiment moral qui enflamme l'homme, et qui augmente ses forces sans mesure.
Un homme sans barbe, c'est comme un pot-au-feu sans légumes.
L'avantage de ne plus être un jeune homme, c'est qu'on peut faire de la sociologie à peu de frais.
En ce monde on a tout perfectionné, sauf l'homme.
L'homme sans volonté est aussi déplacé dans ce monde qu'un papillon dans l'océan.
L'homme, le classer d'après l'habit, l'opinion, le nom, l'argent, c'est l'avilir.
L'homme n'est pas seulement la synthèse de son globe, il est encore l'abrégé du monde et de ses lois ; c'est une table des matières du livre sans fin de la nature. L'homme est une miniature de Dieu.
L'homme de réflexion, sans sortir de son cabinet, étendu sur un grabat ou les pieds dans ses pantoufles, sans dépense de temps et d'argent, se contente de faire le tour de son être et de descendre en lui-même où il trouve mieux que des perles, des diamants et de l'or : la science de l'homme, mine précieuse et inépuisable de toutes les sciences et de la vérité.
L'homme d'action croit s'agrandir en voyageant ; il fait, à grands frais, le tour du globe ; il plonge péniblement au fond des airs, au fond des eaux, dans les entrailles de la terre, à la recherche de la science et de la fortune, et meurt sans avoir fait le tour de lui-même.
L'homme en lui passe toute sa vie à faucher sa vraie nature.
L'homme a besoin d'une intimité, de quelqu'un à aimer, d'un aliment de cœur.
Tout homme succombe et s'égare quelquefois parce qu'il est homme.
L'homme est né pour faiblir, vieillir et mourir.
La comparaison de l'homme à une girouette n'est pas la plus mauvaise des comparaisons.
L'homme n'est grand que par l'amour de la vérité, et lorsqu'il ne veut plaire que par elle.
L'homme doit s'applaudir d'être frivole, s'il ne l'était pas, il sécherait de douleur en pensant qu'il est né pour un jour entre deux éternités, et pour souffrir onze heures au moins sur douze.
Un homme doit combattre et s'imposer, il doit être un soldat de la lumière et non pas de l'ombre.
Tout homme renferme en lui-même un fou.
Un homme est la somme de ses propres malheurs.
L'homme plein de lui-même a presque toujours le cœur et l'esprit vides.
L'homme qui meurt sans avoir été mari et père n'a vécu qu'à demi.