Les citations d'auteurs et de poètes célèbres :
Les hommes sont de stupides animaux.
Aux hommes et aux peuples, il suffit de faire avaler des couleuvres pour qu'ils chient des vipères.
Les hommes ont un cœur de pierre. Malheureux comme les pierres. Muets comme les pierres.
Nous ne manquons pas d'occasion de contempler les hommes hors du monde - et aussi avant et après le monde - des stamina destinées à être des hommes et à ne pas en être. Pour ceux-là - des enfants - pour ceux-ci, des anciens.
Il y a deux espèces d'hommes : Les hommes-lierres et les hommes-papillons. Les pires sont les hommes-lierres.
Les hommes sont trompeurs ou trompés.
Tous les hommes sont, par nature, des hommes à femmes. Ce sont les circonstances qui décident de l'étendue de leurs exploits.
Au Caire, l'une des métropoles les plus grouillantes de la planète, les hommes y fourmillent tellement qu'on a l'impression qu'ils se reproduisent par simple malaxage.
La plupart des hommes gagnent à être un peu connus, et perdent à être absolument pénétrés.
Hommes d'affaires et meneurs de foule, travaillent à en perdre la boule.
Je ne hais point les hommes par inhumanité ; je ne les hais que malgré moi, parce qu'ils sont haïssables. C'est leur dépravation que je hais, et leurs personnes, parce qu'elles sont dépravées.
Les hommes ne sont que ce qu'ils sont que parce que la nature n'est pas ce qu'elle est.
Il y a encore plus d'hommes qui sont femmes par la faiblesse de leur cœur qu'il n'est de femmes qui soient hommes par la force de leur esprit.
Peu d'hommes me plaisent plus les uns que les autres, mais beaucoup me plaisent moins.
Les hommes, comme les navets, doivent être clairsemés pour se bien développer. Les hommes et les arbres trop rapprochés ont à la vérité une tige plus droite et plus uniforme, mais ils manquent de vigueur, ils ne portent point de si belles couronnes, ni un si beau feuillage que les arbres en plein champ.
Les hommes sont comme le vin : en vieillissant, les bons deviennent meilleurs, les mauvais aigrissent.
Les hommes rangés sont des prosaïques bourgeois qui ne se sentent point assez de qualités ou de vertus pour se faire pardonner leurs défauts ou leurs vices.
Les oiseaux, il en existe une espèce bien curieuse ; ils ne sont jamais plus beaux que quand ils n'ont pas encore d'ailes. Ils se nourrissent de baisers, et font leur nid sur des lèvres de rose ; ils aiment beaucoup à être caressés : le plaisir seul peut les apprivoiser. S'ils s'aperçoivent qu'on les néglige, ils tombent en langueur, il y a même à craindre pour leur vie. À mesure que leur plumage croît, il faut avoir grand soin de le couper, ou les mettre en cage : l'ingratitude ou la légèreté est leur défaut. Leur ramage est plus séduisant que celui du rossignol, mais il en coûte cher à qui l'écoute trop longtemps. Ces oiseaux sont en grand nombre en ce monde, il y en a de plusieurs sortes : les uns ont la morsure du serpent ; les autres le fiel de la vipère ; ceux-ci, la serre de l'épervier : quelques-uns ont la candeur de la tourterelle, ce sont les plus fidèles et les plus rares. Mais hélas ! de tels hommes on n'en trouve plus de nos jours.
Il faut aimer les hommes, et leur faire du bien malgré leurs défauts.
Les hommes s'en imposent les uns aux autres pour s'étourdir sur leur faiblesse et leurs destinées.
Les hommes de génie et les monuments apparaissent plus grands quand ils sont tombés que quand ils étaient debout, par le silence et le vide qu'ils laissent après eux.
Les hommes ne nous sont redevables que de ce que nous faisons au-delà de nos promesses ; jusqu'à concurrence de ces promesses, c'est nous qui sommes leurs débiteurs.
Il est des hommes qui savent se faire accepter partout, parce qu'ils sont pourvus d'un habit et d'un esprit de rechange.
Les hommes sont libres de faire ce qu'ils peuvent, et non ce qu'ils veulent.
Sous quelqu'aspect que l'on envisage les hommes, je défie de les trouver supportables sous un seul.
Les hommes semblent être nés pour faire des dupes, et l'être eux-mêmes.
Les hommes n'ont de cœur et d'esprit que ce qu'il en faut pour être médiocrement heureux.
Nous traitons les hommes comme les lettres que nous recevons : nous les lisons avec empressement, mais jamais nous ne les relisons.
Les hommes, c'est une pauvre espèce ! pour qui l'examine, elle est plus comique que haïssable.
Tous les hommes que j'ai connu ont aimé que je sache m'habiller, du matin au soir, et pas seulement me déshabiller.
Les hommes n'ont pas encore compris que les lois de la nature sont le respect, l'écoute, l'harmonie et l'amour.
Les hommes ont été de tout temps ce qu'ils sont aujourd'hui, égoïstes, violents, avares et sans pitié.
J'ai eu beaucoup d'ennuis avec les hommes, et quand je n'avais pas des ennuis avec eux, j'avais l'ennui, ce qui n'est pas mieux !
Il y a des hommes qui sont fer et des hommes qui sont aimant.
Les hommes naissent libres et égaux en droit, après... ils se démerdent.
Les hommes sont tous ainsi, ou impertinents, ou fades.
Les hommes attaquent la louange, à défaut de pouvoir attaquer ce qui est louable.
Dire des hommes qu'ils sont mauvais, c'est dire qu'ils le sont plus que nous ne croyons l'être.
Combien heureux les hommes, s'ils pouvaient ignorer le mal !
Les hommes qui valent le mieux sont ceux qui parlent le moins.