Les 156 citations et pensées sur vertu. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur vertu :
La vertu défend une œuvre encore plus sûrement qu’elle ne défend une femme.
Ne vous laissez pas entraîner sur les chemins de la vertu – c'est le pire défaut des femmes. Elles veulent toujours que nous soyons bons. Et si nous sommes bons quand elles nous rencontrent, elles ne nous aiment pas du tout. Elles aiment que nous soyons irrémédiablement mauvais lorsqu'elles nous trouvent, et nous abandonner quand nous sommes devenus horriblement bons.
Ce n'est pas par l'amour que la femme dompte et subjugue l'homme, mais par la vertu. Souvent l'amour de la femme, par sa nature ombrageuse et exigeante, impose au mari trop de sacrifices de temps et de forces. Mais la vertu enchaine son âme, captive son esprit et sert de doux oreiller à ses velléités de liberté.
Il n'est pas aujourd'hui de vertu d'une pratique plus difficile que l'espérance.
La vertu est modeste ; elle ne s'étale pas, elle fuit le grand jour ; rien de plus difficile que de la saisir dans un éclair des yeux ou un reflet du visage.
Pour les natures délicates, la pratique de la vertu a toutes les douceurs de l'épicuréisme.
La vertu, comme la santé, est un équilibre instable entre les forces contraires dont le jeu constitue la vie.
La vertu des femmes est comme la science des médecins ; tout le monde en médit, et chacun, au besoin, compte sur elle.
La vertu du jeune homme s'indigne des vices où l'âge l'entraîne, la sagesse du vieillard voit avec indulgence ceux dont l'âge l'a délivré.
Si la vertu manque souvent d'indulgence croyez bien que le mal en est encore plus dépourvu et qu'il se permet de bien autres sévérités envers ceux dont le bon exemple l’offusque.
La vertu se doit à tout prix de se distinguer du vice, et particulièrement quand le vice emprunte le masque de la vertu.
La vertu est une beauté intérieure, comme la beauté est une vertu extérieure.
Il n'est point de vertu plus voisine de la faiblesse que la candeur.
Un extérieur grave et majestueux est comme le palais où la vertu réside.
Pour que la vertu soit solidement placée à cheval il faut commencer par faire perdre les étriers au vice.
La vertu des femmes et le courage des hommes sont affaire de zéros.
L'art et la vertu s'acquièrent par pièces et par morceaux.
La vertu n'est pas l'ennemie de nos joies puisqu'elle les rationne.
La vertu attire le malheur comme le miel attire les mouches.
Les femmes devraient conserver leur vertu même dans les moments destinés à la perdre.
La connaissance de la vertu nous donne celles de tous nos devoirs.
Pour prêcher la vertu, pour la persuader, inspirez-la plutôt que de la commander.
La divine patience est une vertu commune au génie et aux saints.
Vertu : Mal vue parce qu'elle ne profite à personne.
Sans l'hommage que la vertu rend parfois au vice, il n'existerait pas pour la justice de délinquance astucieuse.
La vertu consiste à ménager d'heureuses rencontres entre son égoïsme et l'intérêt d'autrui.
La vertu nous fait jouir, avant même d'obtenir les récompenses éternelles, du plaisir incomparable de la bonne conscience et de l'espoir du bonheur futur.
La vertu compatissante pour autrui et détachée de soi-même est le vrai lien de la société.
La naissance ne fait qu'annoncer ou supposer le mérite, les honneurs n'en imposent qu'au vulgaire : le génie vaste, et de grands talents, n'excitent que l'admiration ; la vertu seule captive les cœurs.
On ressemble au soleil quand on possède une vertu qui ne se dément pas ; dans le cas contraire, on ressemble à la lune qui croît et qui décroît, et encore plus à des nuages qui obscurcissent le jour.
La vraie vertu n'a point de limites, elle va toujours outre.
Il ne suffit pas que la vertu soit dans le cœur, il faut la rendre visible, il faut qu'elle répande sur toutes nos actions un coloris si lumineux, qu'elles ne soient point équivoques, car les hommes ne voient que notre extérieur, et c'est par nos actions qu'ils jugent de nos sentiments, c'est sur le rapport de leurs sens qu'ils nous pèsent et nous apprécient.
Si l'homme est doué de vertu, que la vertu parle pour lui, mais qu'il n'en parle pas lui-même.
La fortune est partout bien accueillie, se trouve partout et se mêle de tout, tandis que la vertu trouve à peine l'âme d'un sage où elle puisse se réfugier.
La vertu consiste dans l'absence de faute, tout le reste n'est que vain bruit.
Le propre de la vertu est d'éviter l'envie, la convoitise, la colère et la médisance.
La vertu se dissipe à l'approche de l'amour, comme les brouillards devant le soleil.
La vertu est sans faste, elle se suffit à elle-même, et n'a pas besoin de tous les colifichets dont s'enveloppe l'orgueil.
La vertu, dans toute sa pureté, est simple, sublime, naturelle, sans vanité, sans ostentation, et trouve en elle seule sa gloire et sa récompense.
Il y a dans la vertu une noblesse, une élévation que les cœurs vils et rampants ne sauraient atteindre.