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La vieillesse a un droit si naturel au respect que pour un vieillard le châtiment le plus sévère est de sentir qu'il n'est pas respecté.
Le plus grand malheur de la vieillesse, c'est que, par le vide fait autour de nous, elle ne nous laisse plus que nous-même à aimer.
Qu'importe la vieillesse du moment que le cœur reste jeune ! et souvent il le devient de plus en plus avec l'âge.
La vieillesse frappe longtemps à la porte des retardataires avant qu'on lui dise : « Entrez » ; mais une fois introduite, elle est maîtresse de la place.
Pour avoir une vieillesse heureuse, il faut n'être jamais tout à fait « arrivé », avoir jusqu'au bout un peu de chemin à faire. Il faut avoir été toute sa vie une sorte de philosophe stoïcien.
La vieillesse voit le passé comme la jeunesse voit l'avenir, en rose.
Les femmes qui ont encore l'avantage d'être jeunes parlent des autres comme si la vieillesse était un tort. Il n'est pas donné à tout le monde de mourir à propos.
La vieillesse ? Pour l'instant, ça va, merci ! Je touche du marbre.
La vieillesse attache moins de rides à l'esprit qu'au visage.
Il est plus ordinaire de ne pas être de son âge dans la vieillesse que dans la jeunesse.
La vieillesse est en gare, elle n'a plus qu'à attendre.
On porte la vieillesse suivant son caractère, cette seconde peau de l'être humain.
Il faut bien débuter dans la vieillesse, comme dans toutes les descentes, l'essentiel est de poser son pied d'aplomb.
Ne pas honorer la vieillesse, c'est démolir le matin la maison où l'on doit coucher le soir.
La vieillesse chagrine incessamment amasse, garde, non pas pour soi, les trésors qu'elle entasse.
La vieillesse est faite pour recevoir des dégoûts, mais elle doit être assez sage pour les supporter avec une entière résignation.
L'antidote aux poisons de la vieillesse est de trouver toujours plus âgé que soi.
La vieillesse est le contraire de la crémation puisqu'elle vous fait mourir à petit feu.
Vieillesse : Âge auquel on ne change plus de lits mais de couches.
La vieillesse a fait tellement de progrès qu'elle peut de plus en plus souvent remplacer les charentaises par des baskets.
La vieillesse commence quand les enfants prennent leur retraite.
Si tu dois vivre longtemps, puisse la vieillesse ne jamais altérer ton beau visage !
Qu'est-ce qui fait les belles vieillesses ? La santé physique, le cœur aimant, la sérénité d'âme, la bonté, l'espérance. Gare au découragement stérile, à la misanthropie chagrine, à la sauvagerie morose
Les assises d'une belle vieillesse, c'est la bonne constitution physique préparée dès l'enfance.
La vieillesse est peut-être moins le sentiment de notre propre fin qu'un certain effacement des choses et des gens qui nous entourent.
Ce qui rend peut-être les approches de la vieillesse si pénibles, c'est que tout ne vieillit pas en nous également. De là, le désaccord, le malaise de ces années de transformation.
La vieillesse regrette le passé, et la jeunesse dévore le présent, pour anticiper sur l'avenir.
La richesse rajeunit, et la vieillesse malaisée enlaidit.
D'un certain âge, qui vient vite, la vieillesse c'est l'âge qu'on n'a pas encore.
La vieillesse paraît hideuse tant qu'on n'a pas à choisir entre elle et la mort.
La vieillesse viendra effacer les fleurs de votre visage.
La vieillesse chaque mois n'apporte avec elle qu'une déperdition nouvelle. On constate chaque jour une lézarde de plus, une fêlure, une brèche quelconque dans sa chair ou dans ses facultés. Bref, l'homme extérieur se détruit, et l'homme intérieur se renouvelle de moins en moins.
Ce qui rend parfois la vieillesse très triste, c'est que nous vieillissons fragmentairement. Une partie de nous-mêmes, encore dans sa vigueur, assiste consternée à la décadence de l'autre. Trop souvent un cœur resté jeune n'a plus pour organes que des sens caducs ; quelquefois des sens ardents font le tourment et la honte d'une âme glacée.
La vieillesse, c'est la perte progressive de nos sens et par suite, celle du goût de la vie.
La vieillesse sourit aux grâces de l'enfance.
Une vieillesse saine ou infirme est la récompense ou la punition d'une jeunesse sage ou déréglée.
Tout sert à rendre notre vieillesse triste et mélancolique : les amis nous quittent, les plaisirs nous fuient : notre imagination n'est plus aussi vive, aussi forte. Nous ne sommes plus susceptibles de ces nobles sentiments qui caractérisent une belle âme ; à leur place naissent en nous une infinité de petites passions intéressées, qui nous rendent ridicules, et resserrent les mouvements de notre cœur. Nous mourons enfin, peu regrettés même de nos proches ; les dégouts et l'ennui que la vieillesse traîne après elle l'emporte sur le devoir, sur les droits du sang et de l'amitié.
Toute misérable qu'est la vieillesse, on ne fait pas moins de vœux pour y atteindre, et cependant nous ne l'accueillons pas avec reconnaissance, quand elle vient à notre appel ; mais quel est l'homme qui la verrait s'éloigner sans vouloir la retenir ?
Le bonheur et la vieillesse se rencontrent rarement sur la même tête.
La vieillesse est toujours austère : la tristesse est son apanage.