Les citations voyage.

Je me suis toujours demandé pourquoi les Français, si spirituels chez eux, sont si bêtes en voyage !

Il est bon d'aller se promener par le monde ; dans les voyages on voit tous les jours des choses nouvelles ; on acquiert de l'expérience, et les sages ont dit que les voyages étaient d’excellents moyens pour acquérir les connaissances et le savoir que nous n'avons pas. Si l'épée ne sort jamais de son fourreau, elle ne peut montrer sa véritable valeur, et si la plume ne fait sa course sur l'étendue d'une page, elle ne montre pas son éloquence.

Si certains voyages ne sont pas sans peine, on en tire toujours de grands profits et d'utiles connaissances.

Les voyages, je ne vois rien de plus agréable ; la portière du wagon qui nous emporte, c'est une fenêtre qui s'ouvre sur le monde.

Dans un voyage, l'enfant ne voit que le départ, l'homme le but, le vieillard le retour.

L'écriture est un voyage dans l'attente du port.

Les voyages, comme les belles femmes, sont pour les hommes sans imagination.

Le dernier amour pour les femmes est comme un dernier voyage avant la vieillesse.

La vie est un voyage, mais peu de voyageurs en rapportent une utile instruction.

Il faut avoir l'amour de l'inconnu pour réaliser ses rêves de voyage lorsqu'on est pauvre et sans argent.

Un homme riche n'a pas besoin d'emporter la vanité de sa maison en voyage, son domestique s'en charge.

L'observateur est comme l'armateur : tous les voyages ne l'enrichissent pas.

De même qu'un bon livre n'instruit pas toujours, un voyage n'aère pas toujours intellectuellement.

Dans les voyages on rencontre des personnes et des lieux qui font regretter le mauvais emploi que l'on a fait de la vie en la passant loin d'eux.

La vie de l'homme est un voyage : il en faut franchir le chemin, quel qu'il soit. II est bien rare de le trouver égal, mais, si d'abord il est dangereux et périlleux, étroit et difficile, avec de la prudence, une volonté ferme et de la persévérance, on peut espérer qu'il deviendra plus sûr et plus agréable.

Ce qu'il y a d'exquis dans les voyages, c'est qu'on y goûte des plaisirs d'homme avec l'intensité naïve des joies d'enfant.

Chaque amour nouveau c'est comme un voyage à l'étranger.

Les voyages ne sont agréables que lorsqu'on les partage avec ses amis.

Voyagiste : Stagiaire allant chaque jour d'Aubervilliers à Neuilly pour vendre des séjours à Cuba.

Voyage sabbatique : Déconseillé aux jeunes condamnés à ne plus aller au bout du monde sans apercevoir au sortir de l'aéroport les publicités qui défiguraient les murs de leur quartier.

Voyage : Est considéré comme réussi quand on est aussi content de rentrer qu'on a été heureux de partir.

Voyages : Aident à oublier la perspective du grand départ.

Au fond, dans la vie, dans le voyage de notre vie, tout est porte et rien n'est clé.

On n'est pas heureux par voyage, richesse, succès, plaisir : on est heureux parce qu'on est heureux.

Le voyage, c'est l'appel du large !

Le voyage apprend la tolérance.

Moi, je n'ai pas le goût des voyages, je préfère le coin du feu et une bonne table, chose que l'on trouve difficilement en courant le monde.

Nous affectionnons les déplacements, les voyages souvent sans charme ; afin de nous bien assurer, au retour, que notre coin habituel est le meilleur.

Les voyages sont le paradis des fous.

Chaque voyage a sa part d'inconnu.

Les chemins de fer suppriment les voyages ; par les chemins de fer, on va, l'on ne voyage pas.

Si la vie est un grand voyage, chaque voyage est une petite vie incluse dans la grande.

Puisse le voyage nous avoir rappelé notre bonheur !

Hélas ! il n'est pas facile de rencontrer l'âme avec laquelle on voudrait faire le voyage de la vie.

La vie n'est qu'un voyage.

Allez file ! bon voyage, bon vent ! la paille au derrière et le feu dedans !

Il ne faut disputer des goûts, ni des usages, c'est là ce qu'on apprend de mieux dans les voyages.

Je raffole de trois choses : des voyages, de Paris… et de vous.

Les voyageurs sont des enfants gâtés, jamais rassasiés de géographie.

C'est un privilège du voyageur de laisser beaucoup de souvenirs et de vivre dans le cœur d'un étranger quelquefois plus longtemps que dans la mémoire de ses propres amis.

Quelle que soit la durée d'un voyage, un mois, un jour, une heure, c'est quand nous approchons du but que le temps commence à nous paraître long. Notre réserve de patience s'épuise quand nous apercevons le port.

Dans le voyage de la vie, ne cherche point à prendre les chemins détournés. Ceux-ci te conduiront peut-être dans un précipice : Suis la grande route beaucoup plus sûre, le terme est au bout.

Les voyages en groupe sont une manière déguisée de se trouver dans un pays étranger tout en parlant sa langue maternelle, obéissant aux ordres du chef du troupeau, plus préoccupé des commérages du groupe que de l'endroit que l'on visite.

Ma vraie nature, c'est le voyage. Quel bonheur de faire chaque jour ce que je n'ai pas fait la veille ! Les premières fois, dans tous les domaines, voilà ce qui m'excite.

Le voyage est un songe dont l'éblouissement est inoubliable.

Les passions, voyages du cœur.

Les voyages servent beaucoup à la connaissance des hommes : ce qu'ils ont de plus que les livres, c'est qu'ils nous présentent sous les yeux des exemples vivants, et qu'ils nous mettent à portée de comparer par nous-mêmes les différents peuples de la terre, et de juger de leurs mœurs ; les livres ne sauraient suppléer à des avantages aussi réels. Les voyages ne deviennent si inutiles à la plupart des gens, que parce qu'ils n'ont pas cet esprit de réflexion et de recherche si nécessaire pour voyager avec goût, et en retirer quelque fruit.

Il y a beaucoup de gens que les voyages instruisent encore moins que les livres.

La vie est un voyage et le monde une foire où l'on ne trouve que des marchés, des jeux, des filous et de la cohue.

Les voyages prouvent moins de curiosité pour les choses que l'on va voir que d'ennui de celles que l'on quitte.

Le voyage est un maître aux préceptes amers, il vous montre l'oubli dans les cœurs les plus chers.

Plus d'un souvent ou s'arrête ou dévie dans le voyage de la vie.

Un voyage de mille li a commencé par un pas.

Le premier voyage, surtout si la nature ne jette sur la longueur du chemin qu'un éclat éblouissant, que des fleurs d'orangers et l'ombre des châtaigniers, donne au jeune homme ce que le dernier voyage enlève souvent à l'homme fait : — Un cœur rêveur, des ailes pour le transporter au-dessus des glaciers de la vie et des bras étendus affectueusement vers son semblable.

Contre les chagrins de la vie, le voyage est le meilleur des remèdes.