Les 53 pensées et citations sur voyager. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur voyager :
Je ne voyage jamais sans mon journal intime. Il faut toujours avoir quelque chose de sensationnel à lire dans le train.
Qui voyage toujours avec soi ne tire aucun parti de ses voyages.
Voyager, c'est demander d'un coup à la distance ce que le temps ne peut nous donner que peu à peu.
Le voyageur intelligent emporte avec lui peu de bagages, et, dans ses bagages, le moins possible de préjugés.
Pourquoi voyage-t-on tant aujourd'hui ? Peut-être parce que les hommes se disent qu'il faut se déplacer pour voir ce qu'il reste du monde d'autrefois.
Voyager, c'est consacrer son argent et son temps à augmenter sa propre valeur.
On ne le répétera jamais assez aux enfants des écoles : Quand on veut voyager sans connaître l'anglais, on a l'impression d'être sourd-muet et idiot de naissance.
Voyager, c'est une fête : on met la clef sous la porte, on se laisse à l'intérieur. On se donne rendez-vous à l'étranger. On regarde les rues, le ciel et les maisons. On se regarde soi-même dans les vitrines, étonné d'être où l'on est - c'est à dire ailleurs. On a changé. On est aussi neuf que ce qu'on voit.
Mon esprit aime à voyager dans des espaces ouverts, et à se jouer dans des flots de lumière, où il n'aperçoit rien, mais où il est pénétré de joie et de clarté. Et que suis -je ? Qu'un atome dans un rayon !
Le monde, aujourd'hui, vaut encore la peine d'être vu ; mais hâtez-vous de le parcourir, voyagez, car le monde se transforme et bientôt il aura perdu son originalité.
Si vous êtes jeunes, actifs, vigoureux, bien portants, ne craignez pas de courir un peu le monde, et ce faisant, de voyager, de beaucoup voir, beaucoup étudier sur place, afin de rentrer au logis avec un trésor d'observations qui vous paye de vos fatigues.
Si vous êtes d'un tempérament casanier, d'un caractère timide, d'une santé faible, évitez les voyages, n'y prenez part qu'à l'aide des livres, des récits, des études. C'est ce que les vieillards sont forcés de faire.
Pour beaucoup de gens, voyager, c'est changer sa valise de place, colporter ailleurs son ennui.
Il faut voyager chez les nations conquises pour savoir ce que c'est qu'une patrie libre.
Quiconque voyage sur terre et sur mer recueille peu à peu des choses qui, avec assez de peine, se dégagent de la coquille et se remontrent dans la suite de la vie.
Ferroviaire : La SNCF a décidé que les « correspondances » n'attendraient plus les trains en retard. Ça apprendra aux voyageurs imprévoyants à ne plus monter à bord des convois qui n'arrivent pas à l'heure.
Bagages : Les faire et les défaire, c'est toujours voyager. Hélas ! on n'a pas toujours les bagages qu'on mérite et l'on ne compte jamais au départ avec la révolte des vêtements en fin de vacances. Tel lainage, qui s'était fait jusque-là tout petit, se gonfle d'importance. Alors que l'on se prépare au retour, il refuse de rentrer dans la valise et donc à Paris.
Le migrant est le seul touriste qui voyage parce qu'il n'a pas les moyens de rester chez lui.
L'homme n'a pas besoin de voyager pour s'agrandir, il porte avec lui l'immensité. Qui n'a point en soi cette mélodie la demandera en vain à l'univers. Si dans l'oubli profond de vous-même, dans votre immobilité, dans votre silence, vous ne trouvez pas l'infini, il est inutile de vous égarer aux rivages du Gange.
Les voyageurs qui ont connu les plus merveilleux coins du monde préfèrent toujours leur ciel natal.
Il est des gens qui, quand ils voyagent, se couvrent soigneusement par le silence et le soupçon. Ils veulent qu'on leur serve à dîner la même nourriture que chez eux. Ils trouvent à redire à tout ce qu'ils voient, à toutes les façons de faire, à moins que cela ne ressemble à ce qu'ils trouvent dans leur propre village. Ils ne voyagent que pour pouvoir s'en retourner.
On ne voyage vraiment que par les grands chemins.
Savoir voyager, c'est avoir la science des accords.
Lorsqu'on emploie trop de temps à voyager, on devient étranger en son pays.
Voyager au côté de ce tas d'ordures est aussi sympa que de manger une fondue dans une léproserie !
Les imbéciles se sentent partout « chez eux ». C'est pour cela qu'ils aiment tant voyager !
Voyager, ce n'est pas seulement changer de pays ; c'est changer de voyageur, se transformer, s'adapter.
L'homme qui voyage ressemble à celui qui examine une carte ou un tableau.
Pour voyager impunément il faut être très heureux ou très malheureux, très pauvre ou très riche, aimer tout un peu et rien beaucoup.
Pour découvrir un nouveau monde, il suffit de voyager d'un homme à un autre.