Les 71 pensées et citations sur prochain. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur prochain :
Une prière à Dieu et un service rendu à son prochain ne sont jamais perdus.
Aimer son prochain, c'est faire acte de fraternité chrétienne.
On voit le fétu dans l'œil du prochain et on a dans le sien une poutre.
L'éducation peut se résumer en ce seul précepte : Sachez vous mettre à la place de votre prochain.
L'amour du prochain n'est bon qu'autant qu'il se rapporte à Dieu : il n'y a que celui qui aime Dieu, qui puisse s'aimer soi-même et aimer son prochain comme il faut.
Souvenons-nous qu'il n'y a de mérite à supporter notre prochain qu'autant qu'il est désagréable. Cela nous aidera à lui pardonner de l'être.
Faites plaisir à votre prochain. Vous verrez combien cela vous en fera à vous-même.
Aimer son lointain, si je puis hasarder ce mot, est une agréable facilité. Le lointain est propre, aseptisé, muet, inodore, abstrait pour tout dire. On ne le connaît que par les photographies des magazines et les reportages frémissants de la télévision. Mais le prochain parle, le prochain se lamente, le prochain pue, le prochain vous envahit et vous dévore.
Le viager – exception française permettant de souhaiter légalement la mort de son prochain – commence par un bouquet et finit par une gerbe.
L'amour-propre du prochain ne nous pardonne guère une blessure.
La pensée la plus générale, et même la plus chrétienne, peut n'être rien moins que charitable, dans l'esprit de celui qui l'écrit aussi bien que dans l'esprit de celui qui la lit : Le prochain est si proche !
Toute la morale est renfermée dans ce précepte divin qui doit être la règle de toutes nos actions : « Aime ton Dieu de toute ton âme et de toute la pensée, et ton prochain comme toi-même. » Il faut pratiquer la vertu, c'est-à-dire, bien remplir ses devoirs envers Dieu, envers les autres, envers soi-même. Soyons humains, bienveillants, charitables ; sachons vaincre nos mauvais penchants, résister aux tentations, être sages, prévoyants, économes ; que notre âme s'abandonne à des sentiments de piété et de religion ; et nous jouirons du bonheur que procure une conscience tranquille.
L'amour du prochain réclame des poètes qui savent donner leur unique manteau.
Il y a des personnes qui passent leur vie à examiner le prochain et à le juger. Sachez qu'il ne nous appartient pas de juger le prochain, Dieu seul a le droit de le faire.
Une femme qui n'est point jalouse de celles qui sont belles, une femme qui prend plaisir à dire du bien du prochain, une femme qui ne peut souffrir la médisance, doit être d'un excellent caractère, et ne peut manquer d'avoir un bon cœur.
Ce n'est pas par l'arrogance que l'on obtient la confiance de son prochain.
On se doit de respecter la croyance de son prochain.
On ne doit pas médire de son prochain.
Entrer dans les menus détails de la vie de son prochain, pour les gens curieux, est une grande ressource contre l'ennui.
Il ne suffit pas d'aimer son prochain comme soi-même, il faut l'aimer comme il désire qu'on l'aime.
Se scandaliser du bien qui se trouve dans les actions et les paroles de son prochain, c'est ressembler à certaines bêtes venimeuses qui emploient les plus doux fruits à composer le poison dont elles sont remplies.
La vraie perfection consiste à aimer Dieu de tout son cœur, et son prochain comme soi-même. Toute autre perfection sans celle-ci est une fausse perfection.
Il faut que l'amour que l'on porte au prochain soit fondé sur le solide fondement de la charité ; car il sera bien plus ferme et constant, que celui qui a son fondement en la chair et au sang, et au respect humain.
Pour témoigner notre amour au prochain, il est nécessaire de lui procurer tout le bien que nous pourrons, tant pour l'âme que pour le corps, priant pour lui, et le servant cordialement aux occasions.
L'âme de notre prochain est l'arbre du bien et du mal ; il est défendu d'y toucher pour en juger, sous peine d'être châtié, parce que Dieu s'en est réservé le jugement.
Commandements (dix) : Étouffe-chrétien. Le premier commandement de la femme adultère catholique : tu aimeras ton prochain comme le précédent.
L'amour du prochain enseigné par Jésus, et qui découle de cette vérité que les humains sont fils et filles d'un même Père, a permis à l'idée de fraternité de se frayer un chemin.
Que chacun travaille à son perfectionnement et ne blâme que lui-même ; tout ira mieux pour tous. Quelque impatience que nous procure le prochain et quelque indignation que nous inspire notre race, nous sommes enchaînés ensemble, et les compagnons de chiourme ont tout à perdre aux récriminations et aux reproches mutuels.
Je n'ai pas de prochain. Mes moyens ne me le permettent pas.
Traiter son prochain de con n'est pas un outrage mais un diagnostic.