Les citations aller.

Ne regarde pas d'où tu viens, vois où tu vas ; cela seul importe à chacun.

Beaucoup s'interrogent à savoir où nous allons. Quelques-uns s'inquiètent de savoir d'où nous venons. Et trop peu se demandent où nous sommes.

Les femmes se laissent aller en amour, et les hommes se laissent prendre.

On risque bien plus de tomber en rétrogradant qu'en allant en avant.

Qu'est-ce que le zèle ? — Un désir d'arriver si vite qu'il fait aller trop loin.

Qu'est-ce qui s'en va sans se retourner ? — Celui qui est sûr d'être rappelé.

Je vais où va le vent, j'aime quand il me plaît, je n'écoute que ma folie, et je m'amuse de la sagesse des autres.

La sagesse consiste à n'aller jamais jusqu'au bout de rien. Les hommes de notre temps ne connaissent pas la sagesse ; ils ignorent que la force est en grande partie faite de modération.

L'époque dans laquelle nous nous agitons n'est pas une époque de tout repos ! ça bout de tous les côtés, ça s'agite un peu partout et on ne sait pas où on va ! On ne sait pas où on va, mais il y a une chose certaine, c'est qu'on y va tout droit ! Et au pas de charge, encore !

Quand le monde vous est ouvert, allez où votre instinct vous pousse, allez où la vie vous attend.

Le temps marche toujours assez sans qu'on le hâte d'aller.

Après cette vie terrestre où donc irai-je ? Où sont allés ceux que j'aime. Le reste m’importe peu.

Retenir quelqu'un contre sa volonté, c'est lui donner plus envie de s'en aller.

Il faut retenir son cœur, car si on le laissait aller, combien vite, alors, on perdrait la tête !

Un homme qui ne voit pas clairement marche à tâtons, et il faut bien s'arrêter quand on ne sait où aller.

De nos jours tout va grand train, surtout mes dettes.

Allons à la vie avec courage et bonne volonté, elle nous aidera.

Je vois de temps à autre des jeunes gens en qui je ne voudrais rien changer ni réformer : une chose m'inquiète pourtant, c'est une extrême disposition que je trouve chez beaucoup, à se laisser aller au cours du temps ; et c'est ici où je suis tenté de leur rappeler que l'homme a dans sa main le gouvernail de sa barque fragile, pour obéir, non au caprice des vagues, mais bien à l'impulsion de son intelligence.

La meilleure manière d'être revenu de bien des choses, c'est de n'y être jamais allé.

Je me sens fait moitié d'où je viens, moitié d'où je veux aller.

Il n'y a que le cœur qui aille aussi vite que les hirondelles.

Certaines gens ont ceci de remarquable qu'on les rencontre toujours où l'on n'aimerait pas aller souvent.

Il est triste de ne pouvoir aller où l'on veut quand la fortune toujours nous lie les pieds.

On se laisse aisément aller à ce qui flatte.

On ne va point à la postérité avec un gros bagage.

En pensant où tu vas, tu oublies d'où tu viens.

L'absent dont on ne remarque pas l'absence a bien fait de s'en aller.

Qui ne se laisse pas aller me semble un monstre.

Aller bien, c'est reconnaître que ça pourrait aller plus mal !

On dirait que le temps est jaloux quand nous sommes heureux, tant il prend plaisir à s'en aller vite.

Aller plus loin avec quelqu'un, c'est parfois aller plus près.

En amour, si vous n'êtes pas aveugle, vous ne savez pas où vous allez.

Les gens qui ne savent pas s'en aller sont au moins aussi insupportables que ceux qu'il faut attendre.

Quand on veut aller trop vite, les obstacles se multiplient.

Savoir où l'on veut aller, c'est très bien ; mais il faut encore montrer qu'on y va.

Être bien portant, ce n'est après tout qu'un pis-aller d'être bien portant.

Il faut beaucoup d'amour pour aller jusqu'au bout d'un peu.

Pour aller d'un point à un autre, la route droite est le plus court chemin.

S'en aller, seul moyen de parvenir.

Il n'y a pas de vents favorables pour ceux qui ne savent pas où aller.

On entend dire assez souvent : Quel est l'art de cet homme, pour être partout ? Rien n'est plus simple. L'art d'y être, c'est d'y aller. Pour être à l'aise quelque part, il n'y a qu'un moyen : c'est d'y paraître souvent. Voilà pourquoi les hommes timides qui ne cessent de tâtonner, et qui craignent surtout d'être indiscrets, sont peu propres aux affaires. Un homme de cette trempe, s'il peut craindre de n'avoir pas réussi auprès d'un autre, trouve une raison pour ne pas le revoir. C'est tout le contraire qu'il faudrait faire ; car le premier article des affaires, c'est que, dès que nous déplaisons à quelqu'un, il faut tâcher de l'accoutumer à nous.

De sourire en sourire, de silence en silence, nous allons l'un vers l'autre.

On ne va jamais si loin que quand on ne sait plus où on va.

Où vais-je ? je ne sais : mais je me sens poussé d'un souffle impétueux, d'un destin insensé.

Dès qu'on ne se comprend plusle plus sage est d'aller chacun de son côté, librement et sans aigreur.

La loi de la vie, c'est d'aller de l'avant ! La roue tourne, qui peut la freiner ?

Pour aller au loin, il faut commencer au plus près ; le pas qui compte le plus est le premier.

Quand on ne se trouve pas bien quelque part, il faut aller ailleurs.

Il faut se laisser aller au courant de ses jours, sans jamais chercher à le remonter.

Quand une femme consent à vous quitter, soyez sûr qu'elle sait où aller.

Une femme ne doit point avoir de laisser aller, de crainte du laisser faire.

S'en aller, c'est gagner son procès contre l'habitude.

Testis unus, testis nullus : on ne va pas bien loin avec une seule couille.

Qui veut aller loin, va à son train.

Qui veut y aller seul n'ira jamais au ciel.

Quand on va vers les autres, le bonheur finit toujours par nous rattraper.

Les vieillards sont des amis qui s'en vont, il faut au moins les reconduire poliment.

Il faut aller de l'avant et regarder en face les problèmes de la vie.