Les citations sur mener.

Mieux vaut un sot qu'on mène par le bout du nez qu'un beau parleur qui vous gouverne.

Pour mener les hommes où l'on veut, il suffit de leur persuader que le bonheur y est.

Président : Meneur d'un petit groupe d'hommes qui savent - et sont les seuls à savoir - parfaitement qu'un nombre écrasant de leurs compatriotes ne voulaient d'aucun d'entre eux comme président.

On regrette souvent de s'être lancée dans une aventure qui nous mène plus loin qu'on ne voudrait.

La bonne route conduit sûrement au but, mais la bonne voie y mène avec honneur.

La première condition pour mener avec autorité les hommes, c'est de les respecter.

Combien d'hommes il faut mener comme les chiens, un bâton dans une main et du sucre dans l'autre !

Quand l'Orgueil mène le cheval de l'homme par la bride, Confusion est montée en croupe.

On n'a pas besoin d'être à la tête des affaires pour les mener : le gouvernail se cache à l'arrière du navire qu'il dirige.

Les grandes situations sont comme toutes les hauteurs : les chemins sinueux y mènent plus sûrement que le droit chemin.

On parle beaucoup des inégalités d'ici-bas. Pourtant si la vie n'est qu'un chemin qui mène ailleurs, qu'importe qu'il ne soit pas le même pour tous, pourvu qu'il nous conduise tous au même but ? Lorsque vous y serez arrivé, qui de vous se rappellera si le voyage a été un peu plus court ou un peu plus long ; si la route a été plus âpre ou plus douce, vos pas plus douloureux ou plus faciles ; si vous avez marché seul ou à deux ? Vous l'aurez oublié ; mais Dieu s'en souviendra.

Le hasard, c'est la part de la Providence ; l'homme s'agite, mais Dieu le mène.

Il me semble que je suis redevable à tous ceux qui m'ont fait penser, en bien, en mal, qu'importe ! Le roulis et le tangage nous mènent aussi au port.

Le temps n'a pas de prise sur une passion dominante, elle mène jusqu'au tombeau.

Le plus grand bien auquel on puisse prétendre est de mener une vie conforme à son goût.

Il est des hommes qui ne peuvent ni mener ni être menés, ni administrer, ni conclure, esprits charmants sans caractère et sans virilité, délicats mais sans énergie, nés pour ne jamais réussir, qui ne peuvent être chefs, ni alliés, ni auxiliaires, ni complices, qui ne font rien et nuisent à qui veut faire, non par envie, mais par tempérament.

On mène une vie de fous, ou plutôt nous sommes des fous qui vivent.

Mène ta vie de façon à n'avoir jamais rien à regretter.

C'est une faiblesse et une sottise niaise que de se laisser mener comme des buffles.

C'est par sa volonté de mener à bien son entreprise, par son projet dans le monde, qu'un homme se réalise pleinement.

Un ménage ne se mène pas comme une caserne, et l'on ne peut pas vivre en famille l'épée à la main.

On est presque toujours mené par les évènements, et rarement on les dirige.

La plupart de ceux qui croient conduire les événements ne s'aperçoivent pas que ce sont les événements qui les mènent.

L'amitié est l'un des multiples visages de l'amour, et l'amour ne se laisse pas mener par des opinions : Il accepte sans conditions le compagnon, et chacun progresse à sa manière.

Doit-on vraiment faire quelque chose de sa vie ? La mener jusqu'à son terme devrait suffire, non ?

Vaut-il mieux se mettre tout entier à une chose, l'épuiser, puis passer à une autre ? Ou mener de front, en leur réservant leur temps, plusieurs occupations ? La première méthode s'accorde plus avec l'impétuosité ; la seconde avec la persévérance. - Or la persévérance est ce qui me manque ; j'aime à voir vite la fin et le contour des choses, tout ceci plaide pour le premier procédé.

Décider lentement, entreprendre vite, mener à fin sans défaillance : qu'on est fort, quand on peut cela.

Savoir être prêt, grande chose ! faculté précieuse et qui implique du calcul, de la fermeté, du coup d'œil et de la décision. Il faut pour cela savoir trancher, car on ne peut tout dénouer ; savoir dégager l'essentiel des minuties qui l'enveloppent, car on ne peut tout mener de front, en un mot savoir simplifier ses devoirs, ses affaires et sa vie. Savoir être prêt, c'est savoir partir.

Comme on joue aux échecs savoir mener sa vie, ce serait pour notre âme un affranchissement : L'intérêt et la peur nous gâtent la partie ; le sang-froid l'eût gagnée en jouant posément.

J'aspire à mener ma barque au lieu de dépendre du vent.