Un jeune homme qui a un père qui appartient à une famille respectable, et qui a eu le malheur de faire des dettes, qui se vautre dans la fange de l'emprunt, ne peut être qu'un polisson ! C'est un chenapan !
Cent heures d’inquiétude ne remboursent pas un centime de dette.
À mesure que les besoins augmentent comme un, les dettes augmentent comme trois.
Il faut avoir une occupation de nos jours. Si je n'avais pas mes dettes, je n'aurais rien à quoi penser.
De nos jours tout va grand train, surtout mes dettes.
Comme ceux qui achètent d'abord à crédit, puis, après s'inquiètent de la somme qu'il faut pour solder leur dette ; paraître avant que d'être, s'est s'endetter envers le monde extérieur.
L'âge mûr arrive chargé des sottises de la jeunesse, dont il paie les dettes.
Le devoir est une dette que l'on est plus empressé de reconnaître que de payer.
On aime mieux donner que payer ses dettes, satisfaire son cœur que sa conscience.
On ne paie les dettes de cœur que lorsque l'honneur y est engagé.
Payer ses dettes est une meilleure affaire que de régler ses comptes.
Qui paie ses dettes n'amasse pas mousse.
Pour le peuple, payer ses dettes est un devoir auquel nul ne peut échapper, qu'il s'agisse des dettes qu'on a faites chez l'épicier ou des dettes qu'on a à l'égard de la société.
Être sans argent est une secrète invitation de la nature à faire des dettes, avec l'ordre impitoyable donné par elle de ne pas les payer.
Le travail paie les dettes, et le désespoir les augmente.
Allez plutôt vous coucher sans souper que de vous lever avec des dettes. Gagnez ce que vous pourrez, et gardez votre gain ; voilà le véritable secret de changer votre plomb en or.
L'ordre et la modération dans les désirs procurent l'aisance. Napoléon disait que l'homme qui ne sait pas vivre avec trois mille francs de rente, contracte des dettes avec cent mille francs de revenu.
Rigueur : Modeste contribution personnelle : je supprime les desserts jusqu'à ce que l'assiette de la dette française repasse sous les 3 % du PIB.
Quel est l'imbécile qui a inventé ce principe selon lequel les dettes de jeu sont des dettes d'honneur ?
Condamnation : Différence entre un coupable et un innocent, tous deux condamnés : le premier a payé sa dette à la société quand il sort de prison ; la société rembourse le second lorsqu'elle le libère enfin.
Une dette est un boulet que l'on traîne au pied, on la paye avec usure.
Une dette pèse, et on n'est libre que lorsqu'on ne doit plus rien à personne.
Mon dilemme, c'est que je ne supporte pas de devoir un sou à quelqu'un et que je ne dispose d'aucun crédit. La moindre dette, avec moi, est une affaire terrible, qui met plusieurs mois à s'éteindre.
Pour payer leur dette à la terre, les dieux ont créé l'amitié.
Quand on a une dette à payer, on la paye avec usure.
La misère est la compagne des dettes et des procès.
Endettement : Mieux supporté par l'État que par les ménages. Un père de famille ne saurait obtenir un crédit de sa banque sous prétexte de relancer la consommation.
L'insouciance envers les devoirs, les dettes et les engagements est un tort grave.
La banqueroute d'un État consiste à faire supporter à quelques individus, c'est-à-dire aux créanciers, la dette qu'on ne veut pas faire supporter à tous les contribuants.
Payer ses dettes vaut bien mieux qu'un sermon.
Un débiteur ne possède en propre que l'excédant de ses dettes. Ce qu'il consomme au-delà, il le vole à ses créanciers. L'humanité lui permet de vivre, mais rien de plus ; encore est-ce à condition qu'il travaillera sincèrement à se libérer.
L'homme, en pensant même à la destinée, ne doit pas cesser de faire des efforts. Sans efforts on ne peut tirer de l'huile de la graine de sésame.
Il vaut mieux s'endormir sans souper que de se réveiller avec des dettes.
Toutes les dettes reçoivent quelque compensation, mais seul l'amour peut payer l'amour.
Un aveugle refusa, l'autre jour, de payer une dette sous prétexte que c'était un mandat à vue.
Certaines dettes d'honneur mettent parfois l'honneur à bon marché et à crédit.
Plus la dette s'accroît, plus la volonté et la possibilité d'y satisfaire s'éloignent.
Quelle différence y a-t-il entre voler sur le grand chemin et contracter des dettes sans avoir l'intention et le pouvoir de les payer ? L'assassin ne tue ordinairement qu'un seul homme. L'homme chargé de dettes, assassine souvent un grand nombre de familles, qu'il réduit à mourir de faim et de misère. La méthode si ordinaire de voler en refusant de payer ses dettes est la plus perfide, la plus cruelle et la plus impunie.
Paie exactement tes dettes, car celui qui t'a prêté a compté sur ta bonne foi, et il est injuste et bas de retenir ce qui lui est dû.
Par le temps qui court, il faut remercier ceux qui payent leurs dettes.
L'amitié ne meurt que faute d'acquitter ses dettes, et l'amour ne vit qu'à force de multiplier les siennes.
Pour un cœur qui a de l'ordre, une dette est un souvenir.
La raison est souvent mise en demeure d'acquitter les dettes que le cœur se refuse à payer.
Tu mens ! toi qui te vantes de ne rien devoir à personne, car tu mourras en devant à tout le monde ! N'as-tu pas, avant de rien produire, commencé par consommer les avances que la société a dû te faire ? Or, comme le travail du jour ne paie jamais que la dette de la veille, il suit que nous mourrons tous débiteurs envers la société. Donc prétendre ne rien devoir a personne c'est avoir une dette de plus que les autres : la dette de la reconnaissance.
Un bienfait reçu est la plus sacrée de toutes les dettes : en ne l'oubliant jamais, vous aurez toujours le désir de l'acquitter ; et l'instant de la reconnaissance, loin de vous paraître un fardeau pénible, sera pour votre cœur un vrai soulagement. Vous n'aimez point à devoir : sentez donc le bonheur de rendre plus que vous ne deviez. Je ne croirai jamais qu'avec ce sentiment l'on puisse être réduit à haïr ses bienfaiteurs.
Bien des gens n'auront jamais trop de l'avenir pour payer les dettes du passé.
Quand nous jurons, nous ne prouvons rien, si ce n'est que nous sentons que notre honneur pourrait bien avoir à payer un jour les dettes de notre cœur.
Vous ne possédez rien aussi longtemps qu'il vous reste la plus légère dette à payer.
Une dette impayée est la bassesse, le commencement de la friponnerie.
Pour un homme généreux une dette est l'enfer.
Ne rien devoir nous rend service, une dette payée est un bénéfice.
Les vieilles dettes ne sont payées que d'ingratitude.
Une dette contractée est une dette à honorer.
On ne peut s'obstiner à laisser peser sur les autres une dette dont ils veulent s'acquitter.
Paie exactement tes dettes ; qui t'a donné crédit compte sur ta parole, ce serait injustice de le tromper.
C'est ne pas payer ses dettes que de refuser de justes louanges.
C'est faire un présent que d'avancer le paiement d'une dette.
Payez toujours vos dettes, et vous serez considéré.
C'est assez de payer une fois ses dettes.
Les dettes qu'on diffère de payer abrègent la vie.
L'abolition d'un droit honteux n'est que l'acquit d'une dette envers l'honnêteté.
Vous à qui femme charmante, n'apporte pour dot et pour rente que ses dettes et ses appas, ne vous mariez pas.
Qui se charge de dettes se charge de peines?