Les 62 pensées et citations sur connaissance. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur connaissance :
J'adore parler de rien. C'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances.
Le peu de connaissance que l'homme a ordinairement de lui-même, vient, je crois, de l'avidité insatiable qu'il a de connaître les autres. Et que, comme il sort ainsi hors de lui-même, il se trouve si rarement chez lui qu'il n'a aucun temps pour pouvoir observer ce qui s'y passe, ce qu'il y a et ce qu'il est lui-même.
La connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information.
La connaissance du monde sans la conscience des désirs de vie est une connaissance morte.
Nos connaissances seraient véritablement plus nombreuses, si nous cherchions moins à les multiplier.
Qu'importent à l'homme de nombreuses mais vagues connaissances ? Que peuvent pour celui que le danger menace mille voix confuses qui l'assourdissent ? Qu'une seule alors lui donne un sage conseil et il est sauvé.
La connaissance engendre l'amour qui donne fleurs et fruits.
Le socle commun de connaissances est le bagage à main d'universitaires ou bien les numéros de portable de filles à garçons.
Il faut secouer très fort l'arbre de la connaissance pour qu'il laisse tomber les fruits de la croissance.
C'est une des plaies de la société que ces gens que vous ne connaissez pas, avec lesquels vous vous êtes trouvé cinq ou six fois sans faire attention à eux, et qui se croient autorisés à en agir avec vous comme de vieilles connaissances.
Après la connaissance des autres doit venir la connaissance de soi-même. Il est nécessaire de se soumettre à un examen rigoureux, de ne point se traiter avec trop de bienveillance, de se demander compte de ses facultés, de ses forces, de ses ressources, et aussi de ses défauts, de ses incapacités et des obstacles que l'on doit craindre.
Il faut toujours se souvenir que la vie est courte, que les connaissances sont sans bornes, et que tous les doutes ne méritent pas d'être éclaircis ; les génies à qui la nature et l'étude ont donné le droit d'instruire le genre humain doivent nous communiquer, tandis qu'ils le peuvent, les trésors qu'ils ont acquis, et ne confier qu'à eux-mêmes le soin de leur réputation.
L'universalité des connaissances est nécessaire pour être supérieur dans une partie quelconque.
Notre connaissance de ce qui sera est en raison de notre connaissance de ce qui est et de ce qui fut. La science est prophétique. Plus une science est exacte, plus on en peut tirer d'exactes prophéties.
La plus grande forme de la pauvreté est le peu de richesse en connaissances.
Si celui qui possède de vastes connaissances pouvant être utiles à ses semblables, se trouve dans des circonstances où il soit nécessaire, il est en chemin de devenir grand homme.
Il arrive le temps où il faudra avoir plus de vertus et de connaissances que les autres pour les conduire.
Si la multitude des connaissances est bonne, ce qui finalement vaut le mieux dans l'homme, c'est la vertu, et la vertu est susceptible de s'allier parfois avec l'ignorance.
La connaissance de ses imperfections est un acheminement infaillible à celle des préjugés reçus.
Il y a une grande différence entre celui qui a travaillé à acquérir des connaissances et a su en profiter, et le paresseux qui est indifférent sur ces avantages et reste enseveli dans l'oubli de lui-même ! le premier ressemble à ces terres cultivées qui font l'ornement de la nature et la richesse de ses habitants, tandis que l'autre peut être comparé à ces pays sauvages que personne n'approche, et qui ne présentent que des ronces et des épines.
Avoir des connaissances sans les partager, c'est se mettre au niveau de celui qui n'a pas d'idées.
La connaissance du monde est importante et nécessaire à tous ceux qui veulent y remplir leur rôle avec honneur, et éviter le ridicule qu'on a si légèrement attaché à l'ignorance des usages.
La plus belle et la plus nécessaire de toutes les connaissances est la connaissance de soi-même.
Le courage intellectuel, c'est de garder actif et vivant cet instant de la connaissance naissante.
Les connaissances acquises sont comme les vices acquis ; elles tirent souvent leur origine de notre orgueil et de notre inconstance.
Nous sommes plus riches en connaissances que n'ont été nos pères, et nous ne sommes pas pour cela plus heureux ; c'est que le bonheur dépend moins du nombre de nos connaissances que de l'usage que nous en savons faire.
Nous n'aimons pas à travailler à la connaissance de nous-mêmes, parce que nous n'aimons pas à être humiliés.
Le trésor des connaissances humaines est inépuisable. Combien de choses ou la sagacité de nos pères n'a pas pénétré, et qui ne sont plus un mystère pour nous ! Combien d'objets qu'ils n'ont point envisagés, et que nous avons saisis. Combien de vérités qui leur ont échappé, et qui nous sont devenues sensibles ! C'est ainsi que chaque siècle offre toujours à l'esprit de nouveaux fruits à cueillir.
Si le goût de la bonne lecture était plus répandu parmi les gens du monde, ils auraient plus de bonnes connaissances pour se bien conduire. L'oisiveté engendre tous les vices, mais c'est l'ignorance qui les accrédite et qui les perpétue.
Les connaissances les plus utiles retomberaient facilement dans l'oubli si l'on n'avait pas le soin de les rappeler de temps en temps à la mémoire des hommes : aussi les ténèbres de l'ignorance se trouvent aujourd'hui répandues dans des lieux que la vérité éclaira jadis de son flambeau.