Santé, vertu, gaieté, bonheur ? Une série d’équations !
Il y a des défauts qui nous quittent quand nous sommes malades, et qui nous reviennent aussitôt que nous nous portons bien : ce sont des baromètres de la santé.
Les problèmes de santé sont surtout une souffrance parce qu'ils nous désarment de nos moyens. C'est presque une humiliation.
La meilleure santé, c'est de ne pas sentir sa santé.
Vivre avec la santé perdue, dieux ! Quel supplice et quel ennui !
La santé et la bonne disposition valent mieux que tout l'or du monde.
La santé, c'est l'unité qui fait valoir tous les zéros de la vie.
Il n'est pas de plus grand bonheur que d'être en parfaite santé.
Plus je vis et plus je m'aperçois qu'après les véritables affections, le premier bien de ce monde est tout grossièrement la santé.
Rien n'aide à expédier le gros des affaires comme une santé prospère ; une santé faible met trop souvent en vacances.
L'ennui est le plus grand ennemi de la santé des femmes, c'est pour elles un mal incurable.
La santé est la fille de la jeunesse.
Pense dans l'opulence à jouir de la vie, ne te refusant rien pour la santé du corps : Le riche a des écus, mais, par la maladie, il perd le plus grand des trésors.
La santé c'est l'élasticité ; dès que le ressort manque ou faiblit la maladie commence, dans le corps ou l'esprit.
Les plus grands biens sur cette terre sont la santé, la paix et l'union des familles, la liberté de tous les citoyens, l'abondance des choses nécessaires et le mépris des superflues.
Quand la santé, la force, la mémoire et la vue s'en vont de compagnie, la gaieté les suit.
Ceux qui ménagent leur santé au préjudice de leur devoir ne la méritent pas.
La santé et l'argent ne sont que pour être dépensés.
La santé est le plus beau et le plus riche présent que la nature nous sache faire.
En perdant la santé, l'aisance, la liberté d'action, on perd la moitié de son âme.
Les trois plus grands biens de la vie : Santé, jeunesse et liberté. Aussi longtemps que nous les possédons, nous n'en avons pas conscience, nous ne les apprécions qu'après les avoir perdus.
Le monde n'est qu'une maison de santé dont les pensionnaires s'estiment tous valides.
Le soleil pour la santé vaut mieux que des millions d'or.
Sans la sagesse, point de santé ; sans la santé, point de bonheur.
La santé, c'est la vie dans sa plénitude et dans sa liberté ! Malades, nous ne voyons pas juste et nous perdons la puissance d'aimer.
On apprécie réellement sa santé que quand on est gravement malade.
De tous les biens, celui qu'on chérit le plus et qu'on ménage le moins, c'est la santé.
La vie ne consiste pas dans l'existence, mais dans la santé.
La santé, comme la fortune, retire ses faveurs à ceux qui en abusent.
La santé donne de plus véritables plaisirs que les plaisirs mêmes.
Santé, premier des biens après la paix du coeur, santé, je soupire après toi.
La santé n'est pas contagieuse ; c'est la maladie qui l'est trop souvent.
Il est permis de demander la santé à Dieu, comme à celui qui peut seul nous la donner, avec cette condition, si telle est sa volonté.
La santé par-dessus tout l'emporte sur les biens extérieurs.
La santé est la chose essentielle après la moralité.
Être en bonne santé, c'est pouvoir abuser de sa santé impunément.
On apprécie à sa juste valeur sa santé qu'après l'avoir perdue.
La mauvaise santé est la raison primordiale de tout ce qui est vie.
La gaieté est la santé de l'âme.
La santé est plus précieuse que l'or.
La santé, la fraîcheur et l'enjouement, sont les enfants de l'amour.
Mauvaise ou bonne, on prend la santé comme Dieu nous la donne.
La santé, c'est comme la liberté, ça n'existe que quand on en manque.
Ceux qui parlent sans cesse de leur santé ressemblent aux avares qui entassent toujours de l'argent sans avoir jamais l'esprit d'en jouir.
La sobriété est l'amour de la santé.
La santé est d'un plus grand prix que les richesses d'un malade ; et il n'y a personne qui ne préfère la santé d'un homme dans la médiocrité aux richesses d'un roi accablé de maladies.
L'idéal serait d'être d'une bonne santé contagieuse.
Le premier bien est la santé, le deuxième la beauté, le troisième la richesse.
Qui a toujours joui d'une santé robuste ne peut connaître la douleur.
La santé, c'est la jeunesse, car la maladie peut faire un vieillard d'un jeune homme.
La gaieté est la moitié de la santé?