Il n'est permis qu'aux gens riches d'aller chercher la santé loin de chez eux ; et à l'égard des pauvres, ils travaillent et guérissent.
Que la santé est une chose fragile ! Un souffle, et la nacelle se fissure ou sombre ; un rien, et tout est compromis ; un nuage, et tout est ténèbres. La vie est bien la fleur de l'herbe qu'un matin fane et qu'un coup d'aile fauche. Pour sentir vivement la poésie des roses d'un matin, il faut sortir des griffes de ce vautour qu'on appelle maladie. Le fond et le rehaut de tout, c'est le cimetière. La seule certitude, en ce monde d'agitations vaines et d'inquiétudes infinies, c'est la mort, et ce qui est l'avant-goût et la petite monnaie de la mort : la douleur.
Mourir en bonne santé, c'est le vœu le plus cher de tout bon vivant bien portant.
Je ne sais s'il ne vaut pas mieux savoir souffrir en paix, au coin de son feu, que d'aller chercher au loin une santé incertaine et courte.
Il n'y a point de richesse égale à la santé du corps, ni de plaisir égal à la joie du cœur.
La sobriété est regardée par tous les moralistes comme la mère de la santé et de la sagesse : c'est le meilleur préservatif contre les maladies et les vices, dont elle étouffe le germe, tandis que l'intempérance en favorise toujours le funeste développement.
Santé, calme d'esprit, fortune, amis sincères, sont les quatre éléments au bonheur nécessaires.
Le plus précieux des biens qu'un homme puisse posséder, c'est la santé de l'âme et du corps.
Santé, vertu, gaieté, bonheur ? Une série d’équations !
Il y a des défauts qui nous quittent quand nous sommes malades, et qui nous reviennent aussitôt que nous nous portons bien : ce sont des baromètres de la santé.
Les problèmes de santé sont surtout une souffrance parce qu'ils nous désarment de nos moyens. C'est presque une humiliation.
La meilleure santé, c'est de ne pas sentir sa santé.
Vivre avec la santé perdue, dieux ! Quel supplice et quel ennui !
La santé et la bonne disposition valent mieux que tout l'or du monde.
La santé, c'est l'unité qui fait valoir tous les zéros de la vie.
Il n'est pas de plus grand bonheur que d'être en parfaite santé.
Plus je vis et plus je m'aperçois qu'après les véritables affections, le premier bien de ce monde est tout grossièrement la santé.
La santé est plus précieuse que l'or.
Rien n'aide à expédier le gros des affaires comme une santé prospère ; une santé faible met trop souvent en vacances.
L'ennui est le plus grand ennemi de la santé des femmes, c'est pour elles un mal incurable.
La santé est la fille de la jeunesse.
La santé, la fraîcheur et l'enjouement, sont les enfants de l'amour.
Mauvaise ou bonne, on prend la santé comme Dieu nous la donne.
Pense dans l'opulence à jouir de la vie, ne te refusant rien pour la santé du corps : Le riche a des écus, mais, par la maladie, il perd le plus grand des trésors.
La santé c'est l'élasticité ; dès que le ressort manque ou faiblit la maladie commence, dans le corps ou l'esprit.
Les plus grands biens sur cette terre sont la santé, la paix et l'union des familles, la liberté de tous les citoyens, l'abondance des choses nécessaires et le mépris des superflues.
Quand la santé, la force, la mémoire et la vue s'en vont de compagnie, la gaieté les suit.
Ceux qui ménagent leur santé au préjudice de leur devoir ne la méritent pas.
La santé et l'argent ne sont que pour être dépensés.
La santé est le plus beau et le plus riche présent que la nature nous sache faire.
En perdant la santé, l'aisance, la liberté d'action, on perd la moitié de son âme.
La santé, c'est comme la liberté, ça n'existe que quand on en manque.
Les trois plus grands biens de la vie : Santé, jeunesse et liberté. Aussi longtemps que nous les possédons, nous n'en avons pas conscience, nous ne les apprécions qu'après les avoir perdus.
Ceux qui parlent sans cesse de leur santé ressemblent aux avares qui entassent toujours de l'argent sans avoir jamais l'esprit d'en jouir.
La sobriété est l'amour de la santé.
Le monde n'est qu'une maison de santé dont les pensionnaires s'estiment tous valides.
La santé est d'un plus grand prix que les richesses d'un malade ; et il n'y a personne qui ne préfère la santé d'un homme dans la médiocrité aux richesses d'un roi accablé de maladies.
Le premier bien est la santé, le deuxième la beauté, le troisième la richesse.
Qui a toujours joui d'une santé robuste ne peut connaître la douleur.
La santé, c'est la jeunesse, car la maladie peut faire un vieillard d'un jeune homme.
La force est une félicité, la santé un paradis.
Sans la sagesse, point de santé ; sans la santé, point de bonheur.
La santé, c'est la vie dans sa plénitude et dans sa liberté ! Malades, nous ne voyons pas juste et nous perdons la puissance d'aimer.
On apprécie réellement sa santé que quand on est gravement malade.
La vie ne consiste pas dans l'existence, mais dans la santé.
Sans la santé, point de clairvoyance morale.
La santé, comme la fortune, retire ses faveurs à ceux qui en abusent.
La santé donne de plus véritables plaisirs que les plaisirs mêmes.
La santé est beaucoup plus que l'absence de maladie.
L'activité donne l'aisance ; l'aisance est mère de contentement et santé.
La santé de l'âme vient du repos de la conscience.
Ma santé, c'est mon trésor ; et bonhomme vit encore !
La santé est le maximum d'énergie de chaque partie compatible avec l'énergie du tout.
Ne néglige pas ta santé : donne à ton corps, mais avec modération, le boire, le manger, l'exercice. La mesure que je te prescris est celle que tu ne saurais passer sans te nuire.
Santé, premier des biens après la paix du cœur, santé, je soupire après toi.
La santé ne s'accorde pas avec la débauche.
La continence et la tempérance de l'homme assurent sa santé ; le mépris des richesses et de la gloire, son repos.
La joie de l'âme conserve la santé du corps, et le repos de la conscience sert de consolation à l'un et à l'autre dans toute sorte d'afflictions.
Ce n'est pas vivre que de n'avoir point de santé.
Il n'existe point pour l'homme de bien plus précieux que sa santé.
La santé est quelquefois plus maligne et pernicieuse encore que la fièvre.
La vie se perd à chercher son rythme et son bien-être, quand la santé est chancelante, rien n'y remédie.
Il est permis de demander la santé à Dieu, comme à celui qui peut seul nous la donner, avec cette condition, si telle est sa volonté.
La santé par-dessus tout l'emporte sur les biens extérieurs.
Être en bonne santé, c'est pouvoir abuser de sa santé impunément.
On apprécie à sa juste valeur sa santé qu'après l'avoir perdue.
La mauvaise santé est la raison primordiale de tout ce qui est vie.
La bonne ou mauvaise santé fait notre philosophie.
La santé et le bonheur sont le seul chantage des dieux.
La gaieté est la moitié de la santé?