Les citations d'auteurs et de poètes célèbres :
Tous les matins je me dis « l'Amour viendra ». Je me console avec les mots. Je voudrais me perdre dans une forêt où une autre vie m'attendra. Ni plus belle ni plus moche, elle sera neuve et là l'espoir a ses quartiers.
Se consoler, c'est savoir accepter les conséquences.
Notre bonheur n'est qu'un malheur plus ou moins consolé.
Les plaisirs de famille consolent de tout.
Entreprendre de consoler quelqu'un qui veut être inconsolable, c'est lui disputer la seule consolation qui lui reste.
Les malheureux se consolent en voyant plus malheureux qu'eux.
Si l'amitié souffre de se voir primée par l'amour, qu'elle attende... Elle aura à consoler.
La peine qui nous affole, à l'aide du temps peut finir, et nous devons encore bénir la nature qui nous console.
Qui n'a pas un ami pour le consoler est le plus malheureux des hommes.
Demander à un ami de nous consoler, c'est lui demander de partager notre douleur. Plus il affectera d'en souffrir, plus la consolation sera douce à notre égoïsme.
On ne se console pas, on oublie.
Chercher à nous consoler, c'est vouloir arracher de notre cœur jusqu'au souvenir du bonheur perdu.
Si nous voulons garder notre sérénité, ne cherchons pas à découvrir au fond du cœur de ceux que nous aimons les misères que nous ne pouvons guérir, les tristesses que nous ne pouvons consoler, les mobiles que nous ne pouvons purifier.
Avec de l'argent on peut secourir, on ne peut consoler.
L'homme qui n'aime plus peut demander à l'amitié de masquer le vide que l'amour a laissé dans son cœur ; mais, tant qu'il aime, heureux, il n'a pas besoin d'elle malheureux, elle est impuissante à le consoler.
On se console, même d'un amour immense, par l'amour infini.
Jamais une femme ne console une autre femme des peines de cœur, même quand toutes les deux ont souffert de l'amour.
Une femme ne se console d'un amour qui s'en va que par un amour qui vient.
On n'est pas consolé d'un affront, on l'oublie.
Consolez ceux qui sont dans l'affliction, ayez de l'indulgence pour les défauts des autres.
La grande majorité des hommes est souffrante, souffrante de douleurs morales autant que de maux physiques. Le premier pain de l'homme est la douleur, et son premier besoin est d'être consolé.
Les malheureux se consolent mutuellement par la sympathie née d'une ressemblance de destin ; ils trouvent dans l'épanchement réciproque de leurs peines une sorte de baume qui en mitigé l'amertume.
La crainte gouverne le monde, et l'espérance le console.
Dire la vérité qui désespère, c'est faire la moitié du chemin vers la vérité qui console.
Si vous voyez quelque part le mérite opprimé, employez-vous de toutes vos forces à le relever, ou si vous ne le pouvez, employez-vous du moins à le consoler, et à lui rendre hommage.
Rien n'est consolant pour le malheureux comme de se voir traité avec égard, avec bienveillance par ceux qui sont au-dessus de lui ; son cœur se remplit de reconnaissance, et alors il comprend pourquoi le riche est riche, et il lui pardonne sa fortune, parce qu'il l'en juge digne.
Il n'y a que de l'orgueil ou de la puérilité à se plaindre continuellement de ses malheurs. N'en parlez qu'à vos amis les plus intimes et les plus capables de vous consoler.
L'honneur, comme ce suc précieux exprimé des fleurs, se forme de ce qu'il rencontre de plus exquis dans chaque vertu, et telle est sa délicatesse, que la plus légère tache le ternit. Il est à l'âme ce que la vie est au corps ; il vivifie toutes nos actions, dirige tous nos sentiments, ennoblit la vertu même, flétrit le vice, donne de l'éclat à la prospérité, console dans les revers, et soutient l'indigence malheureuse.
La première condition pour consoler un malheureux, c'est d'être malheureux soi-même.
Celui qui souffre de tout se console de tout.
Les femmes ressemblent fort aux enfants qui tombent et se relèvent sans pleurer s'il n'est personne autour d'eux pour les plaindre et les consoler.
Dépêchons-nous d'aimer, de consoler et de faire du bien, car demain nous ne serons plus.
Qu'une femme soit adorée, elle veut bientôt être aimée comme une simple mortelle, et si elle a le bonheur d'être tendrement aimée, elle ne se consolera pas de n'être pas adorée : ni la divinité ni la femme ne veulent abdiquer !
Il est plus difficile de consoler une femme affligée qu'une femme désespérée.
Dans sa phase de dépression, la femme est esclave de son organisme. Toutes ses sensations sont exagérées, une souris lui paraît un éléphant ; tous ses chagrins lui apparaissent à la fois. C'est une déroute. On a quelque peine à la calmer et à la consoler.
Qui donne peu et console fait plus que celui qui donne beaucoup et reproche.
Le Temps console de tout, sauf du Temps perdu.
Consolons-nous des traîtres en pensant qu'ils se trahissent aussi.
On ne se console point des pertes du cœur ; la douleur s'use, il est vrai, mais c'est parce qu'on s'use avec elle.
Qui console est bientôt aimé.