Il y a des liens de fer que crée un grand amour lorsqu'il a résisté à la double épreuve de la misère et du succès.
L'amour est un feu divin, sentiment passionné, il attire, il rapproche, il enflamme ; l'amour vivifie tout, il fait connaître les accords, inspire l'harmonie, conserve les êtres, les reproduit, les multiplie ; l'amour est le lien, le charme et l'âme du monde.
La bienveillance est le plus doux lien des hommes, la religion la nomme charité ; c'est par cette vertu qu'elle a conquis l'univers.
Ce qu'on a promis par contrainte n'oblige par aucun lien.
Le mariage est, le plus souvent, un sacrement qui en vaut deux : le mariage et la pénitence. C'est un lien qui unit les corps, désunit les âmes et dissout les moeurs. C'est un pays désolé que les étrangers visitent et que les habitants fuient. C'est une sottise à deux et une galère à trois.
La charité est un des liens les plus puissants de la société, elle réfute par des actes les mauvaises paroles et les mauvais conseils ; elle rapproche les hommes et les invite à s'aimer en proportion des services qu'ils ont les uns à rendre, les autres à recevoir.
Le premier des liens est celui des services, c'est celui d'un cœur juste.
Il faut laisser une certaine latitude à l'esprit, trop de liens l'énervent.
La véritable entre âmes nobles est celle qui a pour nœud le lien respectable des bienfaits et de la reconnaissance.
Que de gens vous enlacent des liens de leur amitié et ne cessent de vous nuire.
Etendre trop un lien, c'est risquer de le rompre.
Le penchant naturel doit être le premier lien, il faut s'aimer avant de s'unir.
La bonne foi et la sincérité sont les premiers liens de la société.
L'amour, qui est si fort qu'il brise tous les freins et tous les liens, meurt d'un bâillement.
La paix ! ce mot seul fait du bien, elle est de l'univers le plus tendre lien.
La chaîne des besoins rapproche tous les hommes, le lien du plaisir les unit encore plus.
Les liens du sang ont une force étrange, et dans les malheurs il n'y a rien qui vaille l'affection d'un parent.
L'amour est un lien que Dieu forme par le moyen de la nature ; il doit donc résister à toutes les considérations, à tous les préceptes, à tous les préjugés sociaux.
S'il suffit à l'homme de changer de travail, de ville, d'amitié pour distendre les liens entre la souffrance et lui ; s'il peut par le songe diluer la mémoire dans l'imprécis du non-lieu, il lui faut l'effort du graveur pour fixer ses souvenirs. Rien ne s'éloigne de nous, le cœur ne perd rien de l'arrière-temps.
L'aumône établit un lien entre la main qui est tendue et la main qui répand.
L'amour est la base de tous nos devoirs, il devrait être dans la morale ce que serait la panacée en médecine. II n'est pas un seul instant dans la vie où nous ne devions en faire usage : c'est le lien universel de la société. Tout nous dit d'aimer, sous peine d'être ingrats et malheureux.
Il y a des amitiés d'étoile et de sympathie, des liens inconnus qui nous unissent et qui nous serrent, où nous n'avons pas besoin de serment, la confiance va au-devant des paroles.
Par l'absence on évalue la force des liens.
Rien ne se brise net dans le cœur ; les liens se dénouent d'eux-mêmes et ne se coupent pas ; l'arbre se pourrit sur pied et ne tombe pas en un seul jour.
L'affection est un lien qui se renforce par tous les autres et qui se passe d'eux, c'est là sa beauté.
Le respect et la déférence sont les liens de l'amitié.
Les liens du sang sont forts quand s'y ajoute l'amitié.
Les bienfaits de la bonté sont les plus doux des liens.
Le plus fort lien qui unit les véritables amis est la ressemblance des mœurs.
Il n'y a pas d'autres liens entre les peuples que ceux des intérêts qu'ils mettent en commun.
Les liens du sang, et les affections communes rapprochent ce que tout le reste divise.
Les liens du sang ne forment pas toujours ceux de l'amitié, et ne prévalent jamais contre l'ambition.
Qui nie les liens du sang foule aux pieds les valeurs les plus sacrées.
Les liens du sang ou de l'habitude n'ont jamais eu beaucoup d'autorité sur moi, je ne me suis lié que par l'âme et par l'échange des sentiments profonds.
Il est plus facile de se faire aimer d'une femme que de la déterminer ensuite à briser ses liens.
Mieux vaut dénouer d'un commun accord des liens qui nous blessent que de nous délivrer l'un et l'autre d'une chaîne qui nous meurtrit.
Les hommes ne se lient solidement qu'avec les liens du cœur, ceux de l'intérêt sont trop lâches.
Tous les liens du sang et de la parenté valent-ils de deux cœurs la douce intimité ?
Jusqu'au dernier jour de notre vie, il existera des liens de plaisirs qui nous attacheront au monde.
Le mariage doit être un lien indissoluble d'une amitié éternelle.
L'intérêt est le plus fort lien de toutes les sociétés.
Il n'est si faible lien qui ne soit difficile à rompre.
La bonne foi est le lien et l'âme de la société.
La volonté ne peut être ligotée par des liens qu'elle a elle-même noués.
Quand le sage s'élance par la pensée dans le ciel, le besoin ne tarde guère à le ramener sur la terre, en lui faisant sentir les liens qui l'y retiennent.
Le secret de la vie est le lien entre les personnes et les événements.
L'amour est le plus puissant, comme le plus doux des liens, qui unissent entre elles les créatures humaines !
Plus étroits que ceux du sang et de la famille sont les liens de l'amitié.
L'amour est plus fort que la mort. La mort est impuissante à rompre les liens avec l'être aimé.
Un homme amoureux fait, au moment de nouer un tendre lien, toutes sortes d'imprudences.
La famille est le plus doux des liens.
Être ensemble sans avoir rien de profond à se dire, c'est un des liens de l'amitié.
Les liens qui unissent le père à ses enfants, le frère à ses frères, la sœur à ses sœurs, les amis à leurs amis, les citoyens à leurs concitoyens, ont été précédés des nœuds qui attachent l'époux à l'épouse. Rien n'est plus sacré que cette union, et du bon ordre qui y règne résulte celui de toute la société.
Beaucoup de mariages couvent dans leur principe même un germe de dissolution ; combien, noués avec des liens dorés, se brisent comme le métal ! combien, formés sans connaissance réciproque des goûts, des habitudes de chacun, ont mêlé ensemble des caractères antipathiques, des mœurs opposées dont le contact forcé a fait jaillir les plus grandes douleurs !
Le lien du mariage confond en une société commune non seulement la vie extérieure des deux membres, mais encore la vie morale et la vie spirituelle.
L'amitié est un mariage des cœurs dont le respect est le lien.
L'amitié est l'union des âmes dont la vertu est le lien.
Le mariage est de tous les liens celui où il est le moins possible d'obtenir le bonheur romanesque du cœur. Il faut, pour maintenir la paix dans cette relation, une sorte d'empire sur soi-même, des forces, des sacrifices qui rapprochent bien plus cette existence des plaisirs de la vertu que des jouissances de la passion.
Que sont les liens du sang, qui ont tant de poids sur les âmes ordinaires, en comparaison de ceux que nous forge le ciel dans les sympathies.
Abondance de liens ne nuit pas.
Les liens du sang sont les plus précieux des liens.
Le respect est le lien de l'amitié.
Je suis ami, mais libre ; et un affront, une scène pénible pourrait, je crois, me détacher de tous les cœurs qui m'attirent maintenant. Au fond, je ne sens ma vie liée absolument à celle de personne, quoique j'aie beaucoup de liens.
Les malheurs resserrent les liens du cœur.
Le plus fort lien pour attacher des amis est la similitude des mœurs.
Les liens qui nous attachent à des êtres chéris sont élastiques ; plus nous nous éloignons, plus ils nous retirent.
Du partage inégal des talents, il résulte que le vœu de la nature est que les hommes s'unissent par les liens de la société.
Redoutez des liens formés par l'imprudence, le crime quelquefois fuit de près l'innocence.